Coutumes de Noël : bûche et pain |
On entend les stagiaires qui sont dans la rue et qui demandent à une voisine pour entrer chez la dame qu’ils veulent enquêter. C’est là que la voisine leur dit qu’elle a 83 ans et qu’elle a une bonne mémoire.
Les enquêteurs lui demandent si il y avait des coutumes pour Noël |
Évocation de comptines |
Deux enquêtrices questionnent Mme Chataigneau à propos de comptines qu’elle pourrait connaître. Mme Chataigneau cherche mais ne se souvient pas, mis à part un fragment d’une poule sur un mur. |
Coiffes et tenues portées à la fin du XIXe siècle |
Mme Chataigneau évoque les tenues vestimentaires qu’elle a pu voir chez les femmes et les hommes de son entourage, ainsi que les coiffes et bonnets des alentours de Gençay, là où elle a vécu.
Elle invite les enquêtrices à entrer chez elle pour rencontrer son mari. |
Le grenadier et la fille laide (Coi.) |
M. Chataigneau interprète la chanson de marche « C’était dans une jolie ville il y a de charmantes filles » dans laquelle les parents d’une jeune fille enceinte vont demander au cantonnier responsable de se marier, mais celui-ci refuse. |
J’ vais vous chanter un’ chansonnette (enq.) |
M. Chataigneau interprète la chanson « J’vais vous chanter une chansonnette » dans laquelle un homme raconte ses rencontres avec des filles qui ont toutes un « n’importe quoi ». |
Les scieurs de long (Coi./Laf.) (fragment) |
M. Chataigneau commence à chanter la chanson des scieurs de long mais ne se souvient plus de la totalité des paroles. |
Ah ! qu’ l’envie m’y démange (inc.) |
M. Chataigneau interprète la gavotte de danse « Ah ! qu’ l’envie m’y démange ». |
Le déjeuner oublié ou la danse du troupeau (Coi.) / Les moutons égarés (Laf.) |
M. Chataigneau interprète un fragment de la chanson « Quand j’étais chez mon père j’allais aux champs aux gorets » mais ne se souvient pas de la suite. |
Le bouc à José (enq.) |
M. Chataigneau interprète quelques couplets de la chanson Le bouc à José, dans laquelle un homme et sa femme vont vendre leur bouc mais ne parviennent pas à le faire avancer.
Il ne se souvient pas de l’ensemble des paroles |
Le bavardage des femmes (doc.) |
M. Chataigneau interprète la chanson populaire de 1857 « Le bavardage des femmes » qui décrit le comportement bavard des femmes. Il s’arrête avant la fin. |
T’es saoul goret, t’as bu (doc.) |
M. Chataigneau danse en chantonnant un air, ce qui fait rire les personnes présentes. Il chante ensuite la gavotte de danse « T’es saoul goret », en dansant. |
C’est la fille de la meunière (enq.) |
M.et Mme Chataigeau interprète la gavotte de danse C’est la fille de la meunière. On entend des pas de danse, probablement de M. Chataigeau.
La mazurka double est évoquée à propos d’un autre air. |
Si tu voulais chatouiller mon lézard (enq.) |
Sur demande des personnes présentes, M. Chataigneau fredonne un air de scottish. Poussé par tout le monde, il la chante avec des paroles, en compagnie de sa femme : Si tu voulais chatouiller mon lézard. |
Pour bien la dansa vive la limousine (enq.) |
M. Chataigneau interprète la gavotte de limousine « Pour bien la dansa vive la limousine ».
On peut entendre des tests d’enregistrement à la fin de l’item. |
Ce n’est pas toi que nous voulons (enq.) |
M. Soulard interprète la ritournelle de conscrits « Ce n’est pas toi que nous voulons ».
On entend les enquêteurs rigoler à la fin de la chanson. Cette ritournelle était chantée par les conscrits lorsqu’ils allaient chez les filles de leur âge pour qu’elles leur donnent une poule. |
Le petit ageasson (Coi.) / L'ageasson (Laf.) |
Mme Chataigneau évoque une offrande faite le jour de la fête-dieu.
Puis M. Chataigneau interprète la chanson Au printemps la mère ajhasse dans laquelle une mère pie donne naissance à un petit.
A la fin de la chanson, on entend M. chantonner un refrain qu’il avaient chanté à une mariée lors d’une noce. |
Histoire sur la guérison de bœufs par un sorcier |
L’informateur évoque une vieille famille de Montreuil-Bonnin, la famille Chataignier, ainsi qu’une autre.
Il raconte ensuite une histoire dans laquelle un sorcier parvient à faire en sorte que les bœufs d’un homme retrouvent leur appétit. Il donne son avis sur ce qu’il s’est réellement passé.
Les grésillements et la dégradation de la bande empêchent une bonne compréhension en permanence. Lors de l’enquête, Dominique Bernard avait relevé l’histoire de sorcier que raconte l’informateur. Ce relevé avait été revu par Pierrot quelques temps plus tard. |
Surnoms des gens du village |
L’informateur évoque des surnoms de plusieurs personnes.
Les grésillements et la dégradation de la bande empêchent une bonne compréhension des propos. |
Contes de menteries : les pas dans la nuit, le tir nettoyeur de cheminée, la moitié de lièvre |
L’informateur raconte des contes de mensonges.
La mauvaise qualité de la bande ne permet pas de comprendre ce qui est dit. La transcription provient du relevé effectué au moment de l’enquête |
J'ai des poules à vendre (Coi.) / J’ai des pommes à vendre (Laf.) |
Mme Ayrault et Jeanne Roy chantent deux versions différentes d'une même chanson. Il s'agit d'une chanson sur des pommes de couleur blanche ou rouge qui se retrouvent en grand nombre dans un grenier. |
Conscrit faut pas pleurer (enq.)(fragment) |
Maximilien Roy interprète une chanson qui débute par "Conscrit il ne faut pas pleurer en quittant ton village". Il évoque aussi la chanson de la poulette. |
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) |
Mme Roy recherche puis chante un fragment de chanson ayant pour refrain « Devenez-vous promenez-vous ».
Elle évoque également une rengaine qui était prononcée lorsque quelqu’un disait qu’il était malade mais ne l’était pas en réalité. |
Elle est morte la chèvre à Margot (enq.) |
Mme Marie-Eugénie Roy chante une courte phrase musicale sur la chèvre à Margot. |
L'avocat gourmand (Coi.) / J’aime pas ça (Laf.) (début) |
Madame Odette Bernard chante le début de la chanson de l’avocat dans laquelle celui-là va à la foire puis dans une auberge. Elle explique ensuite qu'il existe une autre version avec des mots qui changent et chante cette seconde version. Dans la seconde version, l'avocat s'étouffe avec une arête de poisson. Fin de la chanson dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_006 |
L'avocat gourmand (Coi.) / J’aime pas ça (Laf.) (fin) |
Odette Bernard chante la suite de la chanson de l'avocat entendue dans l'item précèdent. A la fin de l'enregistrement elle explique que deux versions existent.
Ambiance de veillée en fond sonore. Suite de la bande GDC00038 - Veillée à Cherves. Le début de la chanson est dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_005 |
L'avocat gourmand (Coi.) / J’aime pas ça (Laf.) (début de la seconde version) |
Mme Roy interprète le début d’une seconde version de la chanson de l'avocat en compagnie du chœur des personnes présentes lors de la veillée. La chanson de l'avocat évoque un avocat qui part à Paris avant de se rendre dans une auberge pour y manger.
Mme Roy a du mal à se souvenir des paroles ainsi que de la mélodie. Il est précisé que cette version ne se danse pas, qu'elle devrait être plus rapide et plus sauté. Suite et fin de la chanson dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_008 |
L'avocat gourmand (Coi.) / J’aime pas ça (Laf.) (fin de la seconde version) |
Mme Bernard interprète la fin d’une seconde version de la chanson de l'avocat en compagnie du chœur des personnes présentes lors de la veillée. La chanson de l'avocat évoque un avocat qui part à Paris avant de se rendre dans une auberge pour y manger. Fin de la chanson débuté dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_007. |
Chauffe du four : techniques pour chauffer le four et aliments |
M. Huet se sert du four pour montrer ce qu'il est possible d'y faire cuire tout en prenant le temps de bien expliquer la technique et les étapes à suivre afin d'obtenir un four bien chaud. Deux photographies se trouvent dans les transcriptions fournies par Pierre Morin. |
Chauffe du four : fonctionnement du four et test du journal |
Les enquêteurs partagent un moment avec Xavier Huet, qui leur explique le fonctionnement du four et sa préparation afin d'obtenir une température adéquate. La suite de l'enregistrement se trouve dans l'item UPOI_GDC_0008_0008_003 |
Chauffe du four : dimension et cuisson d'aliments et type de chaleur. Faire monter son levain. |
M. Huet discute autour du four qui chauffe. À l'intérieur sont cuits des tartes, de la pâte à pain que des rôtis. M. Huet parle de divers thèmes tels que la difficulté de faire lever la pâte à pain l'hiver, la tâche ardue d'attraper un cochon en liberté ou encore le courage qu'avait sa grand-mère à s'occuper seule du four pour le faire chauffer et y cuire ses aliments. Suite et fin de l'item UPOI_GDC_0008_0008_002 |
Le coucou et les deux villageois (Coi.) / Le coucou a chanté pour qui ? (Laf.) |
Germain Barcq interprète un fragment de la chanson Je vais vous conter un plaisant tour, présentant un dialogue entre deux villageois s'interrogeant sur le chant du coucou. Ils s'en vont quérir l'avis du procureur.
L'informateur indique que sa grand-mère chantait cet air. Il dit également : Elle aurait au moins cent-vingt ans, maintenant.
Les discussions des personnes présentes forment une ambiance sonore s'arrêtant lorsque M. Barcq chante.
L'enregistrement se conclut sur des applaudissements. |
L’appel à boire (Coi.) |
Mme Marot entame la chanson à boire À boère, à boère, à boère. Elle est rejointe par un autre informateur, Germain Barcq, puis par l'assemblée.
Cette chanson se présente sous forme de refrain à boire, se répétant à l'envie. Après une coupure dans l'enregistrement : nous pouvons entendre la voix d'Alice Recoupé s'adressant à quelqu'un pour lui demander de chanter.
Mme Marot s'adresse à un prénommé Olivier en lui demandant si il ne connaîtrait pas des chansons. Il lui répond ne se souvenir que de chansons à boire mais pas de «chansons anciennes».
Les discussions des personnes présentes forment une ambiance sonore. |
En revenant des noces ou À la claire fontaine (Coi.) / À la claire fontaine (Laf.) |
Les informateurs échangent et plaisantent sur la mémoire de Mme Marot.
Mme Marot tente de retrouver l'air de la chanson En m'y rendant des noces sous fond de brouhaha sonore. Cette chanson raconte l'histoire d'une jeune femme délaissée par son amant, se baignant à la fontaine, s'essuyant à la feuille d'un chêne et dialoguant avec le rossignol.
Son chant est doublé par l'assemblée voire soutenu lorsque sa mémoire lui fait défaut. Après cela elle est interrompue. Germain Barcq lui dit de recommencer et qu'il faudrait s'exercer un petit peu. Elle reprend mais très vite elle est coupée.
Après avoir chanté, Germain Barcq précise sur la chanson : elle est comme elle est, parce que nous on a fait des petits arrangements.
Mme Marot précise qu'ils ont fait comme ils pouvaient avec leurs souvenirs. |
J'ai tant d'enfants à marier (Coi./Laf.) |
Les discussions des personnes présentes forment une ambiance sonore.
- George Meunier dit : Ils veulent retrouver des vieilles chansons, c'est entendu mais c'est pas toujours facile à se rappeler.
- L'informatrice interprète ensuite un fragment de la chanson J'ai trente-cinq filles à marier.
Après une coupure dans l'enregistrement, l'informatrice dit : Oh je m'en souviens pas. C'est vieux… Je l'ai entendu chanter moi. |
Le galant mangé par les rats (Coi.) / Le galant oublié dans l’armoire (Laf.) |
Il semblerait que les informatrices soient à la recherche de la suite de la chanson J'ai trente-cinq filles à marier. Une des femmes présentes déclame : Ses jambes aviont servi de chandelier pi son crâne de bénitier.
- L'informatrice lui répond : Non, non, o doit pas être la même. A l'aviont fourri dans un coffre pi les rats l'aviont mangé!
Ensuite, elle débute la chanson.
Elle est rejointe par l'assemblée sur le refrain Diguedon ma dondaine.
- Elle termine en riant et en disant " Ah vous savez, je ne croyais pas me souvenir de ça !"
Cette chanson présente l'histoire de Perrine, servante du curé, à qui son amant vient rendre visite. Le curé revenant, elle cache son ami dans un coffre puis l'y oublie pendant plusieurs semaines. Il finit dévoré par les rats sauf son bonnet. |
L'énorme noyer (Fragment) (enq.) |
Germain Barcq dit : - Il [le collecteur] arrache les paroles du ventre.
Après un moment de calme, on entend Georges Meunier raconter un fragment d'histoire. Puis Germain Barcq se prépare à chanter une autre chanson. Il dit : - Faut que vous m'disiez quand faut partir.
Le collecteur répond : - Quand vous voulez! C'est prêt là. C'est enregistré là !
Germain Barcq répond : - C'est enregistré tout ce qu'on dit? Ah bah ça vaut rien alors. |
Le bouquet demandé par celui qui va-t'en guerre I (Coi.) / Le bouquet (Laf.) |
Germain Barcq chante la chanson Quand Jeanneton va t-au jardin de bon matin présentant un dialogue entre Jeanneton et son amant, partant au régiment. La belle, au jardin, est enceinte et s'interroge sur le devenir de leur enfant. Son amant lui répond qu'on l'enverra rejoindre son père au régiment.
Il est précisé par Pierre Morin que ce chant était chanté au moment de monter le bouquet sur le paillé à la fin d'une batterie. |
Marchand de robinets (inf.) (Fragment) |
Le collecteur demande à l'assemblée : - Est-ce que vous connaissez trompette et robinet?
Cela déclenche le rire des personnes présentes. Germain Barcq dit alors : - Oh non mais ça, ce n'est plus pareil !
Un autre informateur enchérit : - Ce n'est pas bien vu...
Germain Barcq essaye de se souvenir d'un air qu'il nomme Le marchand de robinets.
Après un moment d’hésitation, il dit qu'il n'est pas prêt à chanter cet après-midi là, il a peur de se tromper. Il a la tête vide. Pourtant il la chantait souvent. Après avoir chanté quelques couplets, il ne veut finalement pas aller plus loin.
Cette chanson raconte l'histoire d'un vendeur itinérant, invité par une dame à rentrer chez elle. |
La fille qui a trop fait la difficile (Coi.) / Souffrances des vieilles filles (pro-part) (Laf.) |
Martine Roy, enquêtrice membre de l'association des Gens de Cherves, chante la première strophe de cette chanson recueillie chez Marie Couillault.
La chanson évoque l'histoire d'une jeune fille de quinze ans ayant refusé tous ses amants. Elle demeure aujourd'hui seule et regrette le temps passé. |
Air de la danse de l'ours (enq.) |
Mme Marot chante sur des tralalas l'air nommé par l’enquêtrice La danse de l'ours. Mme Marot précise à la fin : - Pi tout le temps comme ça. |
Elle a perdu la baleine de son corsage (enq.) |
Mme Marot interprète la gavotte de danse Elle a perdu la baleine de son corsage et précise à la fin : - Pi ainsi de suite.
À la fin de l'enregistrement, Martine Roy indique : - Une autre chanson que l'on chantait en suivant le cortège de la mariée. |
L'aéroplane (enq.) |
Olive Marinho interprète la chanson l'Aéroplane en poitevin-saintongeais. La chanson présente les réactions face à un aéroplane ainsi que les qualités de cette invention.
Elle précise, en interrompant, son chant qu'elle pense avoir inversé les couplets deux et trois. |
Mon mari, il est malade, en grand danger de mouri (enq.) |
Marinho interprète la chanson Mon mari il est malade, en grand danger de mouri, présentant l'histoire d'une femme dont le mari est à l'agonie. Pour le sauver, il lui faut du bon vin blanc de Paris. Elle se met en quête mais entend alors les cloches sonner. Elle revient alors pour assister à l'enterrement. |
Avé-ve poè vu cou lloscomotive (enq.) |
Mme Bernard interprète la chanson Avé-ve poè vu cou lloscomotive en poitevin-saintongeais. L'enregistrement semble se dérouler au cours d'un rassemblement de plusieurs informateurs.
La chanson raconte le voyage d'une femme à bord d'un train. La locomotive déraille durant le trajet, faisant dire à la protagoniste qu'elle restera désormais bien tranquille sur ses terres. |
Et la mariée a le cœur content (enq.) |
Mme Bernard interprète une partie de la chanson Et la mariée a le cœur content, présentant les qualités d'un époux économe aussi bien dans sa toilette qu'à la maison. |
Polka Espagnole (enq.) |
Jenny Manteau interprète un air de polka espagnole sur des tralalas.
Elle est parfois rejointe à la voix par les enquêteurs. Il semblerait qu'elle montre les pas de danse en même temps qu'elle chante.
Alain Meunier précise au cours de l'enregistrement qu'il s'agit d'une polka espagnole.
Mme Manteau donne quelques indications à la fin de l'enregistrement sur comment tourner durant la danse mais celles-ci sont coupées. |
La Gigouillette (inf.) |
Jenny Manteau interprète un air de danse sur des tralalas.
Nous pouvons entendre les collecteurs danser et chanter en même temps que l'informatrice. |
Le violon brisé (enq.) (Fragment) |
Martine Roy indique le titre de la chanson qui va suivre.
Jenny Manteau interprète une partie de la chanson Le violon brisé, se rapprochant du type de chansons patriotiques (1876). Cette chanson raconte l'histoire d'un vieillard à qui on a brisé le violon pour avoir joué l'air de la marseillaise. |
Le petit bonnet (enq.) |
Jenny Manteau interprète une partie de la chanson Le petit bonnet présentant un dialogue entre une jeune fille et un galant, la complimentant sur sa beauté.
Martine Roy indique le titre de la chanson à la fin de l'enregistrement.
L'enregistrement semble être altéré. |
Le mari ivrogne (Coi.) |
Jenny Manteau interprète la chanson Mariez-moi ma mère, présentant un dialogue entre une mère et sa fille. La mère tente de dissuader cette dernière en invoquant toutes les raisons pour lesquelles le mariage est un malheur mais la jeune fille lui tient tête.
L'enregistrement semble être altéré. |
Au premier d'l'an pour mes étrennes (enq.) |
Martine Roy indique le titre de la chanson qui va suivre.
Jenny Manteau interprète la chanson Au premier d'l'an pour mes étrennes, présentant un dialogue entre un garçon et une fille se couchant ensemble au nouvel an.
Elle s'interrompt une première fois à la fin du premier refrain puis le chant est coupé entre la deuxième strophe et la fin de la strophe suivante par un essai d'enregistrement. |
Mardi-gras t'en va pas (enq.) |
Martine Roy indique le titre de la chanson qui va suivre.
Jenny Manteau interprète un air de jeu (ou incantation de carnaval, de farce) également utilisé comme air de ronde.
On entend derrière le chant le bruit des pas. Il s'agit peut être de l'informatrice montrant la danse aux enquêteurs.
L'enregistrement semble être altéré. |
Mon père m'offre en mariage (enq.) |
Martine Roy indique le titre de la chanson qui va suivre.
Jenny Manteau interprète la chanson Mon père m'offre en mariage. La protagoniste de cette chanson explique à son public ses préférences en matière d'homme.
L'enregistrement semble être altéré. P. Morin note : Chant de rue, fin 19ème, début 20ème. S'inspirant d'un thème populaire ancien (malmariée). |
Je vais-je m'y promène (enq.) |
Martine Roy indique le titre de la chanson qui va suivre.
Jenny Manteau interprète la chanson Je vais-je m'y promène, présentant un dialogue entre une jeune fille et un galant souhaitant la séduire.
L'enregistrement semble être altéré. P. Morin ajoute qu'il s'agit d'une version originale et unique dans les collectes de l'association des GDC. |
Mademoiselle Suzon – Scottish (enq.) |
Martine Roy indique le titre de la chanson qui va suivre.
Jenny Manteau interprète la gavotte de scottish Mademoiselle Suzon. Nous pouvons entendre le bruit des pas derrière le chant. Il s'agit peut être de l'informatrice montrant la danse aux enquêteurs.
L'enregistrement semble être altéré. |
Conte, conte… (inf.) |
Martine Roy indique que l'enregistrement contient un conte (non titré).
Mme Manteau interprète une comptine (petit conte) ou "conte" à se moquer (Mme Manteau dit "un conte"). Elle précise : - Je chante pour M. Alain Meunier.
L'enregistrement semble être altéré. |
Message à l'attention d'Alain Meunier |
L'informatrice s'adresse directement à Alain Meunier pour s'excuser de sa précédente chanson. Nous pouvons entendre quelqu'un qui semble souffler les mots à l'informatrice.
L'informatrice s'adresse à Alain Meunier à qui elle a dédié une précédente comptine de moquerie (voir UPOI_GDC_0001_0008_011). Elle lui demande en riant de lui pardonner toutes les bêtises qu'elle a pu dire et conclut en disant qu'elle ira se confesser le lendemain pour être pardonnée.
L'enregistrement semble être altéré. |
Ce sont deux jeunes gens (enq.) |
Jenny Manteau interprète la complainte d'une jeune femme, morte le soir de son mariage. Tandis que l'amant se lamente, sa mère lui dit qu'il finira par trouver une autre belle. Le document d'analyse de P. Morin précise :
Remarque : Lavaux est un lieu-dit de la commune de Thénezay (79) limitrophe avec Cherves (86). Mme Manteau avait de la famille à Lavaux. Renvoi vers l'enregistrement n°27 b 3 |
Le paysan qu'on a envoyé à la guerre (Coi.) |
L'enquêtrice incite l'informateur à chanter.
L'informateur entame la chanson Ol est venu un mandement racontant l'histoire d'un jeune conscrit devant quitter sa mère pour aller faire la guerre. Il devient sentinelle au sein d'une citadelle.
L'informateur s'interrompt à la fin du premier couplet, apporte la précision que la chanson est issu d'un livre, puis il poursuit sur la deuxième strophe. |
Les perots (enq.) |
L'enquêtrice donne le titre de la chanson à suivre.
L'informateur interprète la chanson Les perots racontant l'histoire d'un paysan possédant quatre dindons qu'il va vendre à la foire. Une fois à destination, les oiseaux ont disparus. La famille se lance à leur recherche et le vacarme provoqué par les dindons finit par les faire retrouver. |
Ol est Ufrasie (enq.) |
L'informateur interprète la chanson Ol est Ufrasie présentant l'histoire d'un homme marié, heureux malgré qu'il soit battu par sa femme. Il doit lui obéir. Le premier jour il se prend un coup de botte, puis des assiettes... Mais il la trouve quand même très belle.
À la fin du deuxième couplet, des pages sont tournées et l'informateur poursuit sa chanson. |
Polka espagnole jouée au violon (enq.) |
L'enquêtrice indique que le morceau qui va être joué est une polka espagnole.
L'informateur interprète ensuite l'air au violon. |
Damon et Henriette (Laf.) (Fragment) |
L'informatrice interprète la complainte d’Henriette et Damon. Elle a des difficultés à se souvenir de l'entièreté de la complainte. Son récit est très fragmentaire.
Martine Roy répète les paroles données à l'informatrice.
Le début de l'enregistrement semble altéré.
La complainte raconte l'histoire de deux amants Henriette et Damon. Le père de la première refuse de la marier, par peur de devoir diviser ses biens entre son fils et son gendre. Il l'envoie au couvent tandis que Damon part à la guerre. Cependant, le fils du baron meurt et il veut alors faire revenir sa fille. Mais son amant est mort et elle veut rester au couvent. Un jour, un jeune homme se présente au couvent et par un coup du destin, les deux amants se retrouvent. L'informatrice a déjà été enregistré sur cette chanson, se référer aux items UPOI_GDC_0002_0002_003 et UPOI_GDC_0002_0011_002. |
Le capitaine et le maréchal (Forgeron) (enq.) |
L'informatrice récite par cœur la chanson Le capitaine et le maréchal qu'elle introduit comme "n'étant ni une chanson, ni une complainte".
En fond, les enquêteurs discutent.
La chanson raconte l'histoire d'un cavalier s'arrêtant dans un village car son cheval est déferré. Le maréchal, y reconnaissant un camarade, l'invite chez lui et s'occupe de sa monture. Le capitaine repart ensuite et le maréchal trouve trois fers en or sur son enclume. |
Jeu de veillée : Le cache-mimi |
M. Clément raconte ses souvenirs, notamment de veillée et d'un jeu qu'il nomme le cache-mimi. |
Jeu de veillée : Venir au monde dans un paillon |
M. Clément raconte ses souvenirs, notamment de veillée et du jeu V'nir au monde dans i paillon. |
Jeu de veillée : La Berte |
M. Clément raconte ses souvenirs, notamment de veillées et d'un jeu de cartes, la Berte. Ils arrivaient que les joueurs parient de l'argent ce qui interpelle les enquêteurs. |
Les tourneurs de baguette ou sourciers. |
M. Clément évoque le souvenir de ses parents qui broyaient du chanvre.
Il évoque les croyances autour des sourciers (trouveurs de sources). |
Dans mon pays l'y a (enq.) |
M. Clément interprète la chanson Dans mon pays l'y a. Chanson faisant partie de la rubrique 047 « Demandes en mariage repoussées ou agréées » du catalogue de classification de la chanson francophone de Partice Coirault |
Informations et démonstration d'un chant à rôder (doc.) |
M. Clément interprète un exemple de chant à rôder (pour mener les bœufs). |
Vins megnougne vins (enq.) |
M. Clément interprète deux versions de la chanson Vins megnoune.
La première version amuse autant l'informateur que les enquêteurs.
Il interprète ensuite la deuxième version. Il est précisé dans le document d'analyse de Pierre Morin, pour le chant : Invitation cocasse. |
Le bouzé : aire de battage |
À la demande de l'enquêteur, M. Clément évoque la préparation de l'aire de battage du blé, aussi appelée le Bouzé. |
Dansez don les filles, dansez don les gars : scottish double (enq.) |
Mme Dinais interprète la gavotte de scottish double Dansez don les filles, dansez don les gars. Elle précise qu'elle ne s'en rappelle pas bien.
L'ambiance sonore présente une forme de réverbération. |
Une jeune fille de quatre-vingt-dix ans : scottish simple (enq.) |
Mme Dinais interprète la gavotte de scottish simple Une jeune fille de quatre-vingt-dix ans.
L'ambiance sonore présente une forme de réverbération. |
Polka "sauter le tabouret" : Et ta sœur est-elle en Suisse (enq.) |
Mme Dinais interprète la gavotte de polka Et ta sœur est-elle en Suisse. Elle explique la manière de la danser.
L'ambiance sonore présente une forme de réverbération. Le document d'analyse de Pierre Morin précise : La seconde partie correspond à la partie sautée sur la chaise : galop. |
Jean Brisquet : C'est la fille à Jean Brisquet (enq.) |
Mme Dinais interprète la gavotte de brisquet C'est la fille à Jean Brisquet. La première partie est chantée sur des paroles et la deuxième sur des tralalas. Elle explique la manière de danser
À la fin de l'enregistrement, suite à une coupure, l'informatrice doit reprendre depuis le début. |
Bonjour mademoiselle : Polka piquée (enq.) |
Mme Dinais interprète la gavotte de polka piquée Bonjour mademoiselle, comment vous portez-vous ? qu'elle commente au fur et à mesure. |
Le quadrille simple |
Mme Dinais présente la chorégraphie du quadrille et explique l’enchaînement des figures. Elle s'attarde particulièrement sur l'avant-deux. |
Y avait dos camarades d'aussi belles que mê (Fragment) (enq.) |
Mme Dinais interprète la chanson Il y avait des camarades d'aussi belles que moi en poitevin saintongeais.
Ensuite, la collectrice et l'informatrice dialoguent :
- Vous pouvez pas le chanter ?
- Ah non je ne sais pu. Ale est longue, mais je ne sais pas plus long, après. Elle se retrouverait ptête quelque part. |
Diverses danses dont la limousine |
L'informateur parle d'une danse avec un début de polka et un refrain de la gâtinelle. Ensuite, lui et l'enquêtrice parlent de la limousine.
Le document sonore est grandement altéré. L'enregistrement est difficilement audible |
Le pot que devaient casser la mariée ou le marié |
L'informateur évoque la pratique de casser un pot de bonbons lors d'un mariage.
Le document sonore est grandement altéré. L'enregistrement est difficilement audible |
Évocation du jeu pince sans rire |
L'informateur évoque très succinctement le jeu du Pince-sans-rire.
L'enregistrement est très altéré, le reste des informations est difficile à comprendre. L'enregistrement est difficilement audible |
Le trajet des conscrits vers Airvault. |
L'informateur se souvient de l'époque où il était conscrit et musicien. Il se remémore le char décoré pour aller au conseil de révision et le trajet en musique.
L'enregistrement est très altéré, toutes les informations ne sont pas compréhensibles. L'enregistrement est difficilement audible |
Quand ils se sont rassemblés (conscrits) (enq.) |
La fille de Mme Thoreau interprète le refrain Quand ils sont rassemblés. Le document d'analyse de P. Morin précise qu'il s'agit d'une ritournelle de conscrit. |
La barrique percée à l'endroit qu'il fallait (Coi.) / La vieille qui vendait du vin clairet (Laf.) |
Geneviève Thoreau interprète la chanson En m'y rendant de Neuville présentant le dialogue entre un voyageur et une vendeuse de vin.
Sa fille l'encourage à chanter et la soutient durant l'interprétation du chant. |
Frère Jacques et la belle Guillaumette (Coi.) |
Geneviève Thoreau interprète la chanson En m'rendant d'la Valie Vinette. Les paroles de la chanson, parlant à mot couverts, font rire les personnes présentes.
Les enquêteurs tentent d'arrêter Mme Thoreau pour enregistrer correctement la chanson. Le document d'analyse de P. Morin précise :
La Valie Vinette est le nom d'une zone territoriale de la commune de Cherves (86) située dans le triangle formé par les hameaux du Dujet, de Beauvais (côté Cherves) et le village d'Ayron. Cette petite vallée sèche, orientée Sud-Ouest, était, avant le phylloxéra, plantée de vignes d'un petit rapport. |
Au premier de l'an, pour mes étrennes (enq.) |
Jenny Manteau interprète un couplet de la chanson Au premier d'l'An pour mes étrennes. L'informatrice a déjà chanté cette chanson lors d’une enquête réalisée auprès d’elle en 1971. Se référer à l'item UPOI_GDC_0001_0008_006. |
Le galant qui voit mourir sa mie (Coi./Laf.) |
Jenny Manteau interprète la chanson Ce sont deux jeunes gens qui s'y marient ensemble, complainte d'une jeune femme, morte le soir de son mariage. Tandis que l'amant se lamente, sa mère lui dit qu'il finira par trouver une autre belle.
Lorsque Mme Manteau s'interrompt en raison de paroles manquantes, elle est relancée par l'enquêteur. |
La fille qui a du bien et le garçon qui n'a rien (Coi.) |
Geneviève Thoreau interprète la chanson Bonsoir petit bonhomme, présentant l'histoire d'un galant en quête d'une fille à marier. Le père commence par accepter puis refuse, bien que la fille ai donné son consentement.
L'informatrice signale quelque fois ne plus se souvenir des paroles ou ne pas être sûre de ses propos mais elle finit toujours par relancer le chant. |
Les regrets du garçon mal marié (Coi.) / Garçon à marier (Laf.) |
Geneviève Thoreau interprète la chanson Quand j'étais chez mon père, présentant l'histoire d'un jeune marié à qui l'épouse rend la vie difficile.
L'informatrice a des difficultés à chanter. |
L’apprenti pastoureau (Coi.) / L’apprenti pastouriau (Laf.) |
Geneviève Thoreau interprète la chanson Quand i étais chez mon père, présentant l'histoire d'une bergère (ou d'un berger, non précisé) envoyé·e par son père garder le troupeau de moutons. Cependant, le loup en dévore un, ne laissant que la peau. |
Marianne au moulin - L'âne mangé à la porte du moulin (Coi.) / Marianne s’en va-t-au moulin (Laf.) |
M. Colon interprète alors la chanson Quand Marion va t-au moulin, racontant l'histoire d'une femme allant au moulin sur son âne, ce dernier finissant dévoré par le loup. L'enregistrement débute par des tests du microphone. |
Biguette n’veut pas sortir des choux (Coi.) / Biquette (Laf.) |
L'informatrice interprète la chanson Derrière chez nous il y a des choux, présentant l'histoire d'une chèvre refusant de sortir des choux. L'enquêteur chante parfois avec l'informatrice et l'oriente lorsqu'elle se trompe. La fin de l'enregistrement semble contenir un fragment d'une autre enquête. |
Mariée en rêve (Coi.) |
L'informatrice interprète la chanson Ol tet pour un lundi, listant avec farce la tenue de la mariée. |
Germaine (Coi.) / Le retour du mari soldat : L’anneau cassé (Laf.) |
L'informatrice interprète la chanson Germaine s'y promène dans son jardin fleuri présentant un dialogue entre une jeune femme et un cavalier, soldat revenant de guerre. Ce dernier essaye de se faire reconnaître en tant que mari parti il y a des années.
Lorsqu'elle a un doute, l'informatrice s'interrompt et un échange bref prend place avec l'enquêteur.
L'informatrice a déjà été enregistrée lors d’une autre enquête alors qu’elle chantait cette chanson. Se référer à l'item UPOI_GDC_0002_0033_001. |
Conscrit faut pas pleurer (enq.) |
M. Servent interprète une partie de la chanson Conscrit faut pas pleurer. Il a des difficultés à se souvenir des paroles. |
Notre saint père le Pape : scottish (enq.) |
M. Servent interprète la gavotte de scottish Notre Saint père le Pape. Dans un premier temps, il fredonne les paroles puis, dans un second temps, il répète l'air sur des tralalala. |
Airs de polka - mazurka (enq.) |
M. Servent fredonne différents airs de danses sur des tralalas.
Puis, il fredonne la gavotte de polka piquée Piquez mademoiselle.
Il est fatigué et en a assez de chanter.
Il évoque ses souvenirs de fête. |
Tu n'auras pas ma queue d'mouton (enq.) |
M. Servent interprète la chanson Tu n'auras pas ma queue d'mouton. Il se souvient des paroles au fur et à mesure. Il rencontre des difficultés de mémoire. |
Chez nous la pendule avance (enq.) |
M. Servent interprète la chanson Chez nous la pendule avance et recule présentant l'histoire d'un homme, d'une servante et d'un patron mis en scène dans diverses situations.
Il précise avoir un doute sur les derniers vers du troisième couplet. |
Hélas mes amis j'viens de me marier (enq.) |
M. Servent interprète la chanson Hélas mes amis, j'viens d'me marier, présentant l'histoire d'un jeune marié trompé dans son choix par la beauté des vêtements de son épouse. |
Aide vétérinaire |
M. Servent narre un conte présentant l'histoire d'un aide vétérinaire militaire. Voyageant en train avec un camarade et le cheval du colonel, l'animal tombe alors malade et il faut le soigner.
L'informateur précise ne pas se souvenir de certains passages. |
La mariée d'chez nous que lui faut-il ? (enq.) Chantée et expliquée |
L'informateur présente la chanson À la mariée d'chez nous, que lui faut-il ?, servant à caricaturer la cérémonie religieuse du mariage. |
Le jour où je fus présenté (enq.) |
M. Servent interprète la chanson Le jour où je fus présenté, présentant l'histoire d'un homme récemment marié, qui pensait pouvoir bien s'entendre avec sa belle-mère. Cette dernière se révèle être une véritable marâtre. |
Pour aller à Foncoutu (enq.) (Fragment) |
Le début du chant est partiellement enregistré.
M. Servent interprète la chanson Pour aller à Foncoutu présentant un jeu de mot entre Foncoutu et Coutufon.
À la fin de l'enregistrement, M. Servent se prépare à chanter le début d'une autre chanson. Note de l’analyste : Une chanson portant le nom de Foncoutu et Coutufon a été composée par Henri Salvador, mais il ne s’agit pas de la même chansons. |
La Buée : la grande lessive |
Le début de l'enregistrement contient la fin d'une histoire (ou conte) raconté par l'informatrice.
Puis, elle explique le déroulement de la buée (la lessive). |
Croyance : la veillée de Noël |
L'informatrice évoque ses souvenirs sur le chant (non enregistré) lié à la coutume de la bûche sous le lit. |
Les bêtes qui parlent durant la nuit de Noël |
L'informatrice explique le fait de ne pas rendre visites aux bêtes le soir de Noël, après huit heures du soir. |
Histoires de sorcellerie en rentrant des veillées (chandelle, Galipote) |
L'informatrice évoque des récits en lien avec la sorcellerie. |
Croyance : Sabbat des chats, croix Chabot |
L'informatrice évoque une croyance dans laquelle les chats dansaient au mardi-gras. |
Dicton : se débarbouiller avec la rosée |
L'informatrice évoque un dicton qui énonçait qu'il fallait se débarbouiller à la rosée du jardin pour avoir le teint frais. |
La fabrication du pâté |
L'informatrice évoque des souvenirs de cuisine de sa mère. |
Croyance : Petit œuf de poule, cocatri |
L'informatrice explique que les œufs des dernières pontes n'étaient pas bon à consommer. |
Croyance : La poule qui chante jho |
L'informatrice narre la croyance que quand une poule chante comme le coq, elle est tuée. |
Lorette et le seigneur aux anneaux (doc.) |
Encouragée par l’enquêtrice, Mme Girard interprète la chanson Lorette et le seigneur aux anneaux présentant l'histoire d'une jeune femme, enlevée pour sa beauté par le seigneur du village. Le père se lamente puis s’enlève la vie.
Mme Girard se corrige sur les vers Ton corps hélas, ah quel malheur ! |
Jeu : p'tite pomme de riz laisse moi dormir |
Accompagné de sa petite-fille, Mme Girard chante et explique le jeu Petite pomme de riz. |
Madame la mariée, vous êtes bien ornée (enq.) |
Mme Girard interprète la chanson Madame la mariée vous êtes bien ornée, développant à une mariée ce qui l'attend après le mariage. Chanson faisant partie de la rubrique 052 « Les noces » du catalogue de classification de la chanson francophone de Partice Coirault mais n'ayant pas été cataloguée. |
Oger. La Marguerite dans la tour (Coi.) / 0ù est la Marguerite ? (Laf.) ronde chantée et expliquée |
Mme Girard interprète et explique un jeu d'enfant (ronde) ayant pour chant Où est la Marguerite. |
La jeune Sylvie (Coi.) / Message de la bergère Sylvie (Laf.) |
Mme Blanche interprète la chanson La jeune Sylvie de bon matin dessous l'ormeau, présentant l'histoire d'une jeune fille attendant son amant en vain.
Des précisions sur les vers sont demandées par l’enquêtrice. |
La fleur de blé noir (enq.) (fragment) |
Mme Blanche interprète un extrait de la chanson Fleur de blé noir de Théodore Botrel. Cette chanson évoque les danses de la fin de la moisson et glorifie la beauté de la fleur de blé noir, plus belle des bretonnes. |
Colin était au village le garçon le plus beau (enq.) (fragment) |
Mme Blanche interprète la chanson Colin était au village le garçon le plus beau, présentant l'histoire de Colin, jeune homme ignorant les soupirs des demoiselles jusqu'à ce qu'il tombe amoureux de l'une d'entre elles.
La réponse de Colin n'est pas prononcée sur des paroles mais des hm. |
Colin était au village (enq.) (fragment) |
Mme Blanche interprète la chanson Colin était au village le garçon le plus beau, présentant l'histoire de Colin, jeune homme ignorant les soupirs des demoiselles jusqu'à ce qu'il tombe amoureux de l'une d'entre elles.
Elle précise à propos des réponses de Colin sur des hm :
« - Pi ça à tous les couplets ! » |
Le traître noyé (Coi.) |
M. Bontemps interprète la chanson Belle Jeanneton veux-tu venir le long de la mer courante ? présentant l'histoire d'un galant amenant sa Jeanneton pour la tuer. Mais la jeune femme évite le danger et pousse le mauvais à l'eau. Série de coupures/relances du magnétophone. |
Le diable au bal (enq.) |
M. Bontemps raconte l'histoire du diable qui s'est invité au bal. Le diable a pris une jeune femme pour danser et ne l'a relâchée qu'après que le curé du village l'ai aspergée d'eau bénite.
Il a appris l'histoire de sa grand-mère. |
Le sorcier guérissant les animaux malades |
M. Bontemps évoque l'histoire de l'intervention d'un sorcier auprès des bêtes malades d'une famille Recoupé.
Il est précisé dans la transcription d'origine que, dans ce contexte, dégrossir signifie éduquer, faire comprendre les choses. De la même manière lorsque l'informateur dit "Il était plus de son temps", il signifie que son patron était en avance par rapport à son époque. |
Remèdes : deux techniques pour supprimer les verrues |
M. et Mme Bontemps évoquent deux façons de se défaire des verrues, soit avec des petits pois, soit avec du crin de cheval. |
Le livre Le Dragon Rouge proposant de rencontrer Satan |
M. Bontemps évoque comment, grâce à un livre titré Le Dragon Rouge, il a tenté de voir Satan. La fin du récit n'est pas enregistrée. |
Marianne au moulin - L'âne mangé à la porte du moulin (Coi.) / Marianne s’en va-t-au moulin (Laf.) |
M. Bontemps interprète la chanson La jolie p'tite Marie Jeanne s'en va t-à son moulin, racontant l'histoire d'une femme allant au moulin sur son âne, ce dernier finissant dévoré par le loup. |
Jeu de tir |
M. Bontemps raconte un rassemblement de jeunes gens, filles et garçons confondus, de tous âges qui permettait de définir le roi ou la reine de la fête et ses conséquences. Il est précisé sur le document d'analyse de P. Morin :
- Il dit bien Antogné, à l’époque commune proche de Châtellerault et non Antoigné (commune au sud du Maine et Loire).
Note du documentaliste : la commune de Châtellerault s'écrit Antoigné également.
- À propos des coups tirés sur l'oiseau : Certainement qu’on faisait exprès de rater jusqu’à temps que celui qui avait été choisi tue l’animal |
La rencontre au bois charmant (Coi./Laf.) |
Mme Bontemps interprète une partie de la chanson Tout le long du p'tit bois charmant, présentant l'histoire de deux jeunes gens qui se rencontrent dans un bois, discutent ensemble puis repartent en s'embrassant, à l'instar des danseurs. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin :
- Certainement une ronde, mais à cette époque, les GDC n’avaient pas encore assez de connaissances ethnographiques pour poser les questions appropriées à ce document. |
L'curé d'chez nous s'en allant à la chasse : polka (enq.) |
M. Bontemps interprète l'air L'curé d'chez nous s'en allant à la chasse. |
Nout' journie eut be finie (enq.) |
L'enregistrement débute par un échange sur le paillé entre l'enquêteur et M. Laroche. Ensuite, ce dernier interprète la chanson Nout' journée eut bê finie.
Il ralentit sur le neuvième couplet ainsi que sur le dernier. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin :
Version complète, suite au document 49 b 2 (UPOI_GDC_0015_0002_003). |
Le battage au clia |
M. Laroche évoque le battage au fléau (aussi appelé clia).
Lorsque l'informateur propose d'interpréter la chanson La Guimbarde, il est interrompu et recentré sur le témoignage.
L'informateur évoque également une épidémie de typhoïde ayant poussé les patrons à s'entraider face au départ des métiviers. |
La fête des reliques à Saint-Jouin de Marnes |
M. Laroche raconte ses souvenirs sur la fête des reliques de Saint-Jouin-de-Marnes. |
La légende de Saint-Jouin |
M. Laroche raconte la légende de Saint-Jouin de Marnes. Elle lui a été transmise par ses arrières grands-parents. |
Quand i va tous noces (ou La guimbarde) (enq.) |
Au début de l'enregistrement, M. Laroche échange avec l'enquêteur pour savoir ce qui va être chanté.
Raoul Laroche indique le contexte dans lequel étaient chantées les chansons. M. Laroche interprète la chanson Quand i va tou noces, aussi appelée La Guimbarde, présentant l'histoire d'une famille se rendant aux noces sur une calèche. |
Quand i va tous noces (reprise) (enq.) |
M. Laroche interprète la chanson Quand i va tou noces, aussi appelée La Guimbarde, présentant l'histoire d'une famille se rendant aux noces sur une calèche.
L'informateur, en chantant, prend deux voix différentes, une rattachée à la jeune femme (atténuée) et une à un jeune homme (plus forte) La répétition du dernier vers avec l'imitation de la voix féminine amuse les enquêteurs présents. Il est précisé par P. Morin dans le document d'analyse que la guimbarde était un véhicule à quatre roues. Cette chanson se chantait en couple, d'où la différenciation des voix faite par l'informateur. |
Les gars de Sarboué : Limousine (enq.) |
L'enregistrement débute par une discussion inaudible jusqu'à ce que l'enquêteur fasse signe à M. Laroche de commencer.
M. Laroche interprète la gavotte de limousine Les gars d'Sarbouè. L'enregistrement est interrompu avant la fin du deuxième couplet. |
C'est la femme à Jean Brisquet (enq.) |
M. Laroche interprète le début de la gavotte de brisquet C'est la femme à Jean Brisquet. Il chante la première partie sur les paroles et la seconde sur des tralalas |
Adieu Marie (conscrit) (enq.) |
M. Laroche commence à interpréter l'air Adieu Marie mais il s'interrompt et dit ne pas s'en souvenir. Il précise que c'était un air de conscrit. |
Fours à chaux et veillées dans les fours à chaux |
Une informatrice des Chauleries évoque les veillées vécues autrefois dans les caves et dans les fours à chaux. Elle explique également à quoi servaient les four à chaux : à la fabrication de tuiles pour les bâtiments. |
Fonctionnement des fours à chaux |
Après s'être présenté Eugène Albert explique le fonctionnement d'un four à chaux : le temps de chauffe, le déroulement d'une cuisson, comment le feu était alimenté, le séchage… |
Terre pour la fabrication des tuiles et malaxage |
Eugène Albert explique où était extraite la terre pour la fabrication des briques et des tuiles dans les fours à chaux. Il explique également le travail de malaxage de la terre.
Parfois Mme Cécile Albert ajoute quelques mots. |
Fabrication des tuiles et des briques |
Eugène Albert explique l'étape de fabrication des tuiles et des briques après le malaxage de la terre.
Parfois Mme Cécile Albert ajoute quelques mots. |
Quantité de tuiles fabriquées par jour et séchage des tuiles |
Eugène Albert parle du nombre de briques qui étaient produites par jour, de la manière dont elles étaient fabriquées et séchées. Sa femme Cécile Albert évoque la vente des tuiles fabriquées par des femmes, chez elles. |
Zone géographique de vente des briques et des tuiles |
Eugène Albert explique à quoi servaient les tuiles et les briques fabriquées dans les fours à chaux et dans quelle zone géographique elles étaient vendues. Sa femme Cécile Albert donne également quelques informations. |
Fête des fagoteurs et fête des boulangers. Les fagoteurs et les fagots. |
Après avoir évoqué les fête des fagoteurs et des boulangers Eugène Albert évoque les fagoteurs. Sa femme Cécile Albert donne également quelques informations. |
Pour bien la dansa (inc.) (fragment) ; La limousine, la chabourrée et la bourrée |
Après avoir chanté un fragment d'une chanson à danser un informateur évoque la limousine, la chabourrée et la bourrée, et explique les danses. |
Travail des tuiliers en hiver |
Monsieur Landry explique quel travail les tuiliers effectuaient l'hiver, lorsqu'il n'était plus possible de fabriquer de tuiles à cause du gel. Il évoque également les endroits où la terre était extraite et comment elle était conservée. |
Machines pour fabriquer les tuiles et fabrication manuelle |
Monsieur Landry explique comment fonctionnaient certaines machines pour fabriquer les tuiles. Il explique aussi comment se faisait la fabrication manuelle avant l'apparition des machines. Il donne beaucoup de détails sur la fabrication, le nombre de fagots utilisés pour le feu, combien gagnaient les ouvriers avant la mécanisation, comment étaient payés les fagoteurs... |
Mouton et loup-garou |
L'informatrice évoque un mouton qui se trouvait en fait être un homme. Il est ensuite question de courir le loup-garou, chose dont les gens avaient très peur. |
La lueur au dessus du puit |
L’informatrice raconte une histoire entendue par son mari lorsqu'il était au régiment : il est question d'une lueur observée au dessus d'un puit. |
Le battage du blé au fléau ; Traitement pour une verrue |
L'informatrice évoque le battage du blé au fléau et une croyance populaire pour soigner les verrue. |
A Paris sur mon petit cheval gris (enq.) |
L'informatrice chante une comptine pour faire sauter les enfants sur les genoux : À Paris sur mon petit cheval gris. |
C'est un choupin, c'est un copain (inc.) |
L’informateur chante un monologue dont le refrain est chanté et les couplets parlés. C'est l'histoire d'un homme de Chouppes qui va à la foire de Mirebeau pour vendre ses deux bœufs et à cette foire un homme demande à lui emprunter son chapeau. Il a du mal à le récupérer ce qui fait dire aux gens de la foire : "A Chouppes, le chouppin est sans chapiô" L'informateur précise qu'il a appris cette chanson-monologue auprès d'un curé avec qui il faisait du théâtre (ce qui lui a permis de se rendre à Poitiers en train, lui qui n'avait jamais pris le train jusqu'alors !) |
À dada sur mon petit cheval blanc (inc.) |
Une informatrice de Saint Gervais chantonne une sauteuse pour faire sauter les enfants sur les genoux "À dada sur mon petit cheval blanc". Elle ne se souvient pas de toutes les paroles. |
Méthodes de soins pour les cotissures, les contusions, les verrue, la teigne de lait. Méthodes de soins pour les mammites et la diarrhée des veaux. |
Un couple de Saint Gervais évoque différents moyens pour soigner les verrue, les cotissures, les contusions, la teigne de lait et également comment soigner les mammites des vaches et la diarrhée des veaux. |
Coutume des jeunes de Jaulnay pendant le mercredi des cendres |
Un couple de Saint Gervais évoque une coutume de jeunes à Jaulnay durant le mercredi des cendres, pendant laquelle ils mangeaient et dansaient. |
Les coiffes locales |
Un couple de Saint Gervais évoque les coiffes locales portées par leurs grands-mères. |
Germaine (Coi.) / Le retour du mari soldat : L’anneau cassé (Laf.) |
Au début de l'enregistrement, Pierre Morin fredonne un air ou fait des tests d'enregistrement.
L'informatrice interprète la chanson Germaine s'y promène dans son jardin fleuri, présentant un dialogue entre une jeune femme et un cavalier, soldat revenant de guerre. Ce dernier essaye de se faire reconnaître en tant que mari parti il y a des années.
L’informatrice se trompe et se reprend sur le premier vers. Par la suite, lorsqu'elle a un doute, elle s'interrompt et le signale avant de poursuivre son chant. |
La plus aimable à mon gré (Coi.) / C’est la plus belle de céans (Laf.) |
Urbaine Jounault interprète une version de la plus belle à mon gré, chanson qui accompagne une danse qui forme des couples. On retrouve dans les paroles la figure de la bergère. L’enregistrement est entrecoupé mais on peut tout de même en distinguer une version avec des paroles complètes. Notes de Pierre Morin dans son fichier de transcription : Sur la première partie une farandole de danseurs passe sous un pont formé de deux personnes. Les danseurs se mettent ensuite en rond avec celle qui mène la farandole au milieu, elle choisit ensuite un garçon. Le couple s’exécute et forme ensuite le prochain pont et la danse recommence. |
Mère mariez-moi cet an (Coi.) |
Urbaine Jounault chante un chanson qui livre un dialogue entre une fille et sa mère. La fille souhaite se marier avec l’homme qu’elle aime, la mère lui expose plusieurs prétextes contre (il n’a pas de fortune, il sera ivrogne, il la tromperait…) et la fille répond à chaque fois en trouvant des arguments qui s’y opposent. La chanson n’est pas tout à fait fluide, Mme Jounault met parfois un peu de temps à se remémorer les paroles et les enquêteur.rice.s l’aident. |
La belle qui veut épouser un négociant (Coi.) |
Urbaine Jounault interprète une chanson qui énonce tous les métiers d’un futur époux. Chaque couplet dévoile les raisons de refuser le menuisier, le cordonnier et d’autres métiers d’artisanat. La belle finira par choisir un négociant. |
Mon père me donne en mariage (enq.) |
Urbaine Jounault chante une une chanson très courte qui parle des offrandes dans un mariage. On retrouve cette chanson dans une version plus longue dans la troisième enquête auprès d’elle. |
Voici le printemps ou Le refus de changer de maîtresse (Coi.) |
Urbaine Jounault interprète une version de la chanson le bon vin m’endort dont il existe de multiples versions. |
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une chanson de mal mariée : une fille se plaint à sa mère d’être mariée avec un vieillard qui veut la battre. |
Quand la bergère s’en va-t-aux champs (Coi.) / La bergère facile (Laf.) |
Urbaine Jounault chante Quand la bergère s’en vait au champs qui parle de la rencontre entre une bergère et un cavalier. La bergère fini par annoncer à sa mère qu’elle accepte les avances. C’est la fin d’une bande avant les deux derniers couplets, Pierre Morin a dû lui demander pour enregistrer la suite après avoir remis une autre bande. Il y a des problèmes de coupures sur ces deux derniers complets, ils sont entrecoupés. Suite de deux pistes différentes sur deux bandes distinctes. |
Avant-deux de quadrille (enq.) |
Il s’agit d’un avant-deux de quadrille turluté avec quelques paroles. |
En avant-deux les gens do peux (inc.) |
Il s’agit d’une gavotte de danse. Urbaine Jounault propose des paroles en poitevin-saintongeais puis refait la mélodie en tralala. Elle propose ensuite des paroles en français qui semblent être une autre variante locale avec les noms de personnes du coin en reprenant ensuite en tralala comme si l’alternance paroles/tralala était structurelle. |
Moe qu'ietet dans la debine (enq.) |
Urbaine Jounault interprète Moe qu’ietet dans la debine, une chanson en poitevin-saintongeais. |
La chèvre au Parlement (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault interprète , Chez nous iaviont in’ grand’ chèvre une chanson en poitevin-saintongeais. |
Le moine mis à coucher avec la fille aînée (Coi.) / Le bonhomme mouillé à l’hôtel ; Le bonhomme mouillé : les souliers ; Le pauvre homme et la dame (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une chanson en poitevin-saintongeais. Elle raconte l’histoire d’un marchand qui rencontre une femme qui veut le donner à sa fille mais celle-ci refuse. |
A la foère d'Amailloux (enq.) |
Cet item est très court, Urbaine Jounault chante uniquement le tout début de la chanson. |
La fille de Parthenay (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault chante une chanson sur une fille volage de Parthenay et sur la vision qu’en ont ses parents. |
C’est le temps où la bergère (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson de bergère aux champs qui parle du printemps. |
La bergère aux cinq cents moutons (Coi.) / Mon père avait cinq cents moutons (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version de mon père avait cinq cents moutons. |
Et puis dame c’est tout (enq.) |
Urbaine Jounault chante une forme brèveque le chanteur chantait lorsqu’il en avait marre d’être sollicité, pour terminer. |
Le petit mari - Le mari perdu et retrouvé ; Les mésaventures du petit mari ; La jeune mariée qui chasse son mari du lit (Coi.) / Le petit mari ; Le nouveau marié piqué (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version de mon père m’a mariée à un vieillard point à mon gré où le vieillard se fait manger par le coq puis par le chat. |
La danse des bourguignons (enq.) |
Urbaine Jounault chante une gavotte de danse. Dans sa transcription, Pierre Morin nous explique la danse correspondante : sur la première partie, les danseurs évoluent en couple en pas de polka sur un cercle ou dans le désordre. Sur la deuxième partie ils se tapent le derrière sur celui d’un autre couple après avoir fait un tour sur eux-mêmes. |
La paskovia (enq.) |
Urbaine Jounault chante l’air de la paskovia. Elle indique sur le premier thème que les danseurs se donnent la main. Dans sa transcription, Pierre Morin précise que sur le premier thème musical ils vont côte à côte en se tenant par une main plutôt levée au niveau de l’épaule. Sur le deuxième thème, les danseurs se lâchent et à petits pas ils font un tour puis se saluent dans un sens et dans l’autre deux fois (on peut également le faire à quatre en alternant les personnes que l’on salue). Ils repartent ensuite en se redonnant la main, ce peut être dans l’autre sens. |
Voyez-vous ce p'tit galopin (enq.) |
Urbaine Jounault chante cette gavotte de danse qui est une mazurka. |
Notre saint père le pape (enq.) |
Urbaine Jounault nous propose une gavotte de danse à propos du pape qui aime les filles et les garçons sur l’air de l’autrichienne. |
Jean Brisquet (enq.) |
Urbaine Jounault chante sa version de Jean Brisquet. Elle commence par deux couplets avec des paroles puis une deuxième partie mélodique en tralala. |
Colin était du village (enq.) |
Urbaine Jounault essaie ici de se rappeler des paroles de Colin était du village. Les paroles données sont très parcellaires, mais elle raconte que l’on oubliait fréquemment les paroles et que ça en devenait amusant car on remplaçait les paroles en imitant le bruit du chalumeau comme lors du refrain. |
En passant par la Lorraine ou C'était Anne de Bretagne (Coi.) / En passant par la Lorraine (Laf.) |
Urbaine Jounault chante cette chanson qui reprend l’histoire d’Anne de Bretagne ou de En passant par la Lorraine mais sans évoquer aucun des deux. Cette version comporte un refrain. |
Le rossignol et son latin ou Gentil coquelicot (Coi.) / La belle au jardin (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une chanson qui reprend la thématique des garçons qui ne valent rien contrairement aux filles. |
Pis a sent l’bouc (enq.) |
Urbaine Jounault chante cette chanson qui reprend les plaintes d’un mari à propos de sa femme, il cite tous les inconvénients, tout en disant pourtant qu’ils lui plaisent. Cette chanson est entièrement construite sur l’ironie. |
Pierre le bossu (enq.) |
Urbaine Jounault chanteune chanson à propos de la rencontre entre le bossu et la boiteuse qui décident de se marier ensemble. |
Le billet partagé (Coi.) |
Urbaine Jounault chante une version du billet partagé. |
Dans ton lit (enq.) |
Urbaine Jounault chante des paroles peu communes sur un air de scottish bien connu dans le Poitou : Ton petit chien. Dans une autre enquête Urbaine Jounault reprend cet air sous le titre de la berceuse. Cet air est également joué actuellement sous le nom de Ton petit chien. |
Chez nous dans le temps (enq.) |
Urbaine Jounault chante Chez nous dans le temps, une polka galopante, accompagnée par sa sœur Juliette Laurendeau. |
Un, deux, trois, quatre (enq.) |
Urbaine Jounault chante cette forme brève qui expose un jeu dansé. |
Les regrets des parents qui marient leur fille (Coi.) / La mère pleure aux noces (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une chanson à propos d’un mariage qui s’annonce d’ores et déjà malheureux pour la fille. On retrouve dans la chanson plusieurs symboles des chansons traditionnels : le pont de Nantes, la Saint-Jean, le rossignol. |
Tu m’écris (enq.) |
Dans cet item, Urbaine Jounault chante le premier couplet d’une chanson populaire à propos d’une rupture amoureuse. |
La mort du colonel (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault et sa sœur Juliette Laurendeau chantent ensemble une version de La mort du colonel. |
Ma femme c’est aujourd’hui (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson qui expose une dispute entre femme et mari qui surenchérissent des menaces. |
Le soldat qui trouve sa mie morte (Coi.) / Le retour du soldat : sa blonde morte ; Le jeune voyageur inconsolable (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version du soldat qui trouve sa mie morte alors qu’il vient lui rendre visite pendant un congé. |
En revenant de la veillée (enq.) |
Urbaine Jounault chante cette chanson qui est une composition, elle relate une discussion entre Lisette et sa mère à propos des garçons. |
Dans mon pays il y a (enq.) |
Urbaine Jounault chante Dans mon pays il y a qui raconte une histoire d’amour entre une couturière et un boulanger qui couchent ensemble. |
Enfin nous te tenons (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson qui relate un dialogue entre une souris et une petite fille. |
Elle avait vingt ans de courage (enq.) |
Urbaine Jounault chante uniquement le premier couplet d’une chanson d’amour. |
Renaud le Barbe-Bleue (Coi.) / Renaud, le tueur de femmes (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version du traître noyé. On entend en arrière plan sa sœur Juliette Laurendeau qui se met à chanter avec elle. |
Mon père a fait bâtir maison I ou Le pâté de trois pigeons (Coi.) / Le pâté de trois pigeons (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version de Mon père a fait bâtir maison, elle précise qu’elle chantait ça quand elle allait se promener. Dans l’item suivant il y a une autre version de cette chanson. |
Mon père a fait bâtir maison I ou Le pâté de trois pigeons (Coi.) / Le pâté de trois pigeons (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version de Mon père a fait bâtir maison. A la fin de l’item on entend qu’elle reprend une autre chanson mais celle-ci est coupée. Dans l’item précédent il y a une autre version de cette chanson. |
Les garçons du village ne savent point faire l'amour ou L'engagé pour Bourbon (Coi.) / Je me lève à l’aurore du jour (pro parte) (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version de Les garçons du village ne savent point faire l'amour. |
Et pi v'la l’bout (enq.) |
Urbaine Jounault chante une forme brève. |
La foire aux maris (enq.) |
Urbaine Jounault chante La foire aux maris, une chanson de rue pour filles à marier. |
Le moulin de mon grand-père (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson populaire. Elle précise à la fin qu’il y a quatre couplets mais elle ne s’en souvient plus et ne chante que les deux premiers. On entend à la fin sa sœur Juliette Laurendeau lui souffler des paroles mais la suite ne lui revient pas en mémoire. |
Le canard blanc (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault chante Derrière chez nous il y a un étang. |
Le pauvre soldat qui revient de guerre (Coi.) / Le retour du mari soldat : trois enfants (Laf.) |
Urbaine Jounault chante Pauvre soldat se rendant de guerre qui raconte l’histoire d’un soldat qui revient de son service et qui retrouve sa femme mariée avec un autre. Il meurt alors de chagrin. |
Mon père me donne en mariage (enq.) |
Urbaine Jounault chante Mon père me donne en mariage, la chanson fait rire l’assemblée. On retrouve cette chanson dans une version plus courte dans la première enquête. |
Colin était du village (enq.) |
Urbaine Jounault chante Colin était du village. On retrouve cette chanson dans d’autres enquêtes avec des versions différentes. |
Jeu avec du charbon (doc.) |
Urbaine Jounault raconte un jeu avec un banc et du noir de charbon. |
On donnait des gages (enq.) |
Juliette Laurendeau, la sœur d’Urbaine Jounault explique un jeu. Ce jeu s’apparente au cache-mimi. |
La lune se lève (enq.) |
Urbaine Jounault raconte un court jeu de veillée qui est un jeu de sous-entendus. |
Un gorét sprmène (enq.) |
Urbaine Jounault récite une forme brève. |
Chez nous dans le temps (enq.) |
Urbaine Jounault chante Chez nous dans le temps, une polka galopante qui alterne des paroles et du tralala. |
Où vas-tu belle boiteuse (Coi.) / Boiteux hermite ; Petite boiteuse (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une version de Où vas-tu belle boiteuse. |
La tour prends garde (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault chante La tour prends garde et donne quelques explications sur la danse qui lui correspond. |
Quand la Mer Rouge apparut (Coi.) / Notre grand-père Noé (Laf.) |
Urbaine Jounault chante une courte chanson, il s’agit d’une version de Quand la mer rouge apparut. |
Monsieur le curé cirez vos bottes (doc.) |
Urbaine Jounault chante une gavotte de danse qui alterne une partie avec des paroles et une partie en tralala. Cela semble être un air à danser. |
Enfin nous te tenons (enq.) |
Urbaine Jounault chante Enfin nous te tenons qui est un dialogue entre un oiseau et des enfants qui l’ont attrapé mais qui le relâchent à la fin de la chanson. |
Le moulin de mon grand-père (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson populaire qui relate des souvenirs avec des grand-parents. |
J'faisons noutre toilette (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson à moitié en poitevin-saintongeais et à moitié en français qui parle d’une rencontre amoureuse avec le terme récurrent de « sabiots d’bois ». Il y a une partie en tralala sur laquelle elle précise qu’on tape des pieds. |
Le chasseur fatigué (Coi.) |
Urbaine Jounault chante Ah ! Que la chasse est belle qui parle d’un chasseur amoureux dont la belle refuse les avances. |
Colin était du village (enq.) |
Urbaine Jounault chante Colin était du village dans une version complète. |
E pi trjhou Jhul disait (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson à moitié en français et à moitié en français qui parle de Lucie qui n’est pas satisfaite de son mari Jhul qui a trop peur. Elle précise à la fin qu’elle pense avoir sauté des couplets. |
Je suis le rémouleur (enq.) |
Urbaine Jounault chante le premier couplet et le refrain d’une chanson de rémouleur dans lesquels celui-ci vente les mérites de son métier et de sa meule. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation de chansonniers du 19ème siècle. |
Tout le long du chemin (inc.) |
Urbaine Jounault chante le début d’une chanson sur un rémouleur mais elle s’arrête en disant : « Non c’est pas ça». |
Tout en passant par la ville (enq.) |
Urbaine Jounault chante un chant de rémouleur mais il n’y a que des bribes, la chanson est incomplète et il est difficile d’en comprendre la structure. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation et que souvent la chanson était accompagnée de mimes du rémouleur. On retrouve la chanson dans une version différente dans l’enquête suivante. |
La fille au cresson (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault chante l’histoire du galant qui rencontre Jeanneton et avec qui il va à la fontaine cueillir du cresson. |
Je suis le rémouleur (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson de rémouleur qui s’intitule Je suis le rémouleur. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation chanté par un chansonnier du 19ème siècle. |
Tout en passant par la ville (enq.) |
Urbaine Jounault chante Tout en passant par la ville dans une version avec deux couplets et un refrain. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation et que souvent la chanson était accompagnée de mimes du rémouleur. |
Qu’est-ce qui passe ici si tard (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault chante les deux premiers couplets de la chanson Pan pan pan pan, ensuite la bande coupe mais elle a donné la fin des paroles aux enquêteur.rice.s. On entend au début de l’item un très court passage d’une discussion où Juliette Laurendeau intervient sur quelque chose qu’elle faisait sur ses genoux avec ses mains. |
L'amant confesseur (Coi./Laf.) |
Urbaine Jounault chante l’histoire d’un galant qui se fait passer pour un prêtre confesseur pour vérifier que sa belle n’aime bien que lui. |
J’ai rencontré ma mignonnette (enq.) |
Urbaine Jounault chante J’ai rencontré ma mignonnette à moitié en français et à moitié en poitevin-saintongeais. |
Que les amants sont insouciants de se mettre en ménage (Coi.) / Adieu de la mariée à ses parents (Laf.) |
Urbaine Jounault chante Là-haut sur la montagne. Elle dit à la fin qu’elle ne se souvient plus ce, qui laisse imaginer que la chanson a d’autres couplets. |
A qui la dansera la mieux (enq.) |
Urbaine Jounault chante une chanson à propos de la danse de la guimbarde qui correspond à la danse du même nom. Notes de Pierre Morin : « On danse en pas ternaires sur le couplet. On lève la jambe alterné pas ternaire sur le refrain ; on frappe les mains sous la jambe levée. Pouvait se faire avec ou sans bâton par deux. » |
Piquez belle Madeleine (enq.) |
Urbaine Jounault chante Piquez belle Madeleine, une gavotte de polka piquée. |
La berceuse (inf.) |
Urbaine Jounault chante une scottish, en tralala puis après avec des paroles. Elle explique que pour la danse "on tourne en berçant". Dans une autre enquête Urbaine Jounault reprend cet air avec plus de paroles sous le titre Dans ton lit. Cet air est également joué actuellement sous le nom de Ton petit chien. |
Il a fort bien chanté (enq.) |
Urbaine Jounault chante une courte ritournelle pour féliciter un bon chanteur qui dit qu’il faut boire à sa santé. |
T’as ben dit (enq.) |
Urbaine Jounault chante une ritournelle pour féliciter un chanteur après qu’il ait chanté. |
Les répliques de Marion (Coi.) / Corbleur, sambleur, Marion (Laf.) |
Urbaine Jounault chante un dialogue entre deux amoureux. La chanson comporte beaucoup de refrains imbriqués. |
Avant-deux du quadrille (enq.) |
On entend Hilaire Bonnin qui chante l’air, mais l’air est difficile à déterminer. Lorsque Marie Couillault se joint à lui, l’air est clair. Lorsqu’elle a fini, Hilaire et Marie font comprendre que l’air se joue deux fois complètes. On entend la voix de Jacques Bonnin (membre des Gens de Cherves). |
La pastourelle (inf.) |
Marie Couillault chante l’air, elle précise à la fin qu’il faut le faire deux fois. |
Rapidité de danse des quadrilles |
Les informateurs discutent à propos de la manière de danser les quadrilles. L’enregistrement est de mauvaise qualité ce qui rend parfois le propos inaudible. |
La berline (inf.) |
Suite à la demande de l’enquêtrice, Marie Couillault chante l’air de la berline, elle précise que ça se dansait avec un pas de polka avant de reprendre l’air une deuxième fois. |
La danse à l’ours (inf.) |
Plusieurs témoins et des gens de Cherves dansent la danse à l’ours qu’ils chantent en même temps. Marie Couillault confirme. |
Explications de la danse Jean Brisquet |
Marie Couillault chante l’air de Jean Brisquet et avec les autres témoins, elle explique la danse. Les explications sont partielles à cause de coupe de la bande et du brouhaha par moment mais aussi car les témoins ont des souvenirs manquants. |
La Gâtinelle (inf.) (fragments) |
Marie Couillault et Simone Bonnin chantent l’air puis les témoins discutent de la danse par bribes. On devine que Simone danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0010 et UPOI_GDC_0007_0001_0013 avec des informations supplémentaires. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes. |
Galop du quadrille (inf.) (fragments) |
L’enregistrement commence avec Martine Roy qui essaye de reproduire un air qu’elle a entendu. Marie Couillault chante ensuite le galop du quadrille. Il n’y a que des fragments, il est difficile d’en comprendre la mélodie en entier. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0003_0005 et UPOI_GDC_0007_0002_0005 |
La gigouillette |
Marie Couillault chante l’air de la gigouillette au tralala. La bande contient quelques bruits parasites mais la mélodie est intelligible. |
Polka piquée (enq.) |
Marie Couillault et Simone Bonnin chantent l’air au tralala sur la première partie et avec des paroles sur la deuxième. A la fin, elles parlent d’une scottish qu’elles n’arrivent pas à retrouver. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0007, où Pierrot Morin lui donne le nom de Bonjour cabaretière. |
Valse vienne (inf.) |
Marie Couillault chante l’air, apparemment des témoins la dansent en mazurka, alors elle précise à la fin qu’il s’agit d’une valse vienne. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0002_0008 |
Début d’un air de mazurka (enq.) |
Marie Couillault chante au tralala l’air d’une mazurka mais la bande coupe, il manque la fin. |
Danse de la gâtinelle : contexte et danse |
Marie Couillault explique comment se danse la gâtinelle et dans quel contexte elle était dansée. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0007 et UPOI_GDC_0007_0002_0010. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes. |
Air de scottish (enq.) |
Marie Couillault chante l’air au tralala, on entend des danseurs en fond. |
L’autrichienne (enq.) |
Marie Couillault chante la chanson. Elle ajoute à la fin que c’est plutôt les jeunes qui chantaient ça. On retrouve cet air sur UPOI_GDC_0007_0002_0013 |
Limousine (inf.) |
Marie Couillault chante l’air au tralala. Elle précise à la fin que c’est une limousine. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0014. |
Fragments d’explication d’une danse où l’on saute |
A cause des coupures les paroles des témoins n’apportent rien de précis sur cette danse où semble-t-il on saute. |