Item : Je suis le rémouleur (enq.)
Général
- Titre
- Je suis le rémouleur (enq.)
- Description
Urbaine Jounault chante une chanson de rémouleur qui s’intitule Je suis le rémouleur. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation chanté par un chansonnier du 19ème siècle.
Personnes
- Enquêteurs
- Martine Roy
- Pierre Morin
- Dominique Bernard
- Informateurs
- Urbaine Jounault
Indications géographiques et culturelles
- Lieux
- La Guichardière (Poitou)
- Langues
- Français
- Contexte d'enregistrement
- Enquête chez l'informateur
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0006_0005_002
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00001d piste 2 fin - Item 11
Données techniques
- Durée estimée
- 00:02:04
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Refrain
A repasser les couteaux, les ciseaux
Par le vent et par la pluie
Toujours à l’œil, toujours content.
Je passe gaiement ma vie
Mes jours s’écoulent en chantant.
Tourne vite tourne ma meule
Mon aimée, mon unique avoir.
C’est en toi que je trouve seule
Mon pain, ma gaieté, mon espoir.
- Paroles
Je suis le rémouleur
Je va de ville en ville,
Parcourant le pays
Jusqu’au fond des hameaux.
Tout le long du chemin
Portant ma meule agile,
Je crie :À repasser les couteaux, les ciseaux (bis)
Par le vent et par la pluie
Toujours à l’oeil, toujours content.
Je passe gaiement ma vie
Mes jours s’écoulent en chantant.
Tourne vite tourne ma meule
Mon aimée, mon unique avoir.
C’est en toi que je trouve, seule,
Mon pain, ma gaieté, mon espoir.Tout le long du chemin
Je vois de jolies filles.
Mon bâton à la main
Sur ma tête mon chapeau.
Dans les sentiers pierreux
Moi je suis bien tranquille
Et je crie :À repasser les couteaux, les ciseaux (bis)
Par le vent et par la pluie
Toujours à l’oeil, toujours content.
Je passe gaiement ma vie
Mes jours s’écoulent en chantant.
Tourne vite tourne ma meule
Mon aimée, mon unique avoir.
C’est en toi que je trouve, seule,
Mon pain, ma gaieté, mon espoir.Ce pauvre rémouleur,
Tout le monde le regarde.
Mais je fais le bonheur
De ces petits loupiaux
Qui me suivent pas à pas,
Moi je n’y prends pas garde,
Je crie :À repasser les couteaux, les ciseaux (bis)
Par le vent et par la pluie
Toujours à l’oeil, toujours content.
Je passe gaiement ma vie
Mes jours s’écoulent en chantant.
Tourne vite tourne ma meule
Mon aimée, mon unique avoir.
C’est en toi que je trouve, seule,
Mon pain, ma gaieté, mon espoir.