Item : Le quadrille simple
Général
- Titre
- Le quadrille simple
- Description
Mme Dinais présente la chorégraphie du quadrille et explique l’enchaînement des figures. Elle s'attarde particulièrement sur l'avant-deux.
Personnes
- Enquêteurs
- Martine Roy
- Dominique Bernard
- Informateurs
- (Mme) Dinais
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0002_0024_006
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- K7 00011 (XI) GDC piste 1 – Item 008
Données techniques
- Durée estimée
- 00:01:36
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Témoignage
Texte/Paroles
- Paroles
Légende :
Italique : dit par l'enquêteur·trice(s) et/ou ajouts/commentaires de l'analyste
Normal : dit par l'informateur·trice(s)— Ah le quadrille, c’est difficile.
— Y avait combien de figures ?
— Cinq.
— Cinq figures.
— Y avait cinq figures. La pastourelle, le galop, l’avant deux... Je ne me rappelle pu.
— Vous ne vous rappelez pas ?
— La chaîne anglaise
— La chaîne anglaise... Ah mais c'est pas dans le quadrille des lanciers ça, la chaîne anglaise ?
— Ben non.
— Non c'est dans le quadrille simple.
— Ah non, c'est dans le quadrillle simple ça...
...
— La première figure c'est quoi ?
— C'est ça, qu'i m'rappelle pas d'la première.
— Vous savez pas l’ordre, quoi.
— Non, je sais bien qu'l’avant deux, c’était la deuxième.
— L'avant-deux c'est la deuxième...
— Après la troisième, c’est la poule.
— Non... Oui, la poule, la poule c'est la troisième et pi le galop, c'était l'galop après... Et après, voyez, y avait toujours quatre figures pi quand j’étais un peu plus vieille, on en avait mis une cinquième...
— C’était un petit peu ce que vous aviez tout à l’heure, là.
— C’est-à-dire un homme et une femme face à face, enfin par quatre ?
— Deux et deux, c’était toujours les quadrille par quatre. Voyez quatre, quatre et quatre, quatre. C'était par quatre et on se mélangeait pas aux autres, que pour le galop. Tout le monde faisait la chaîne après. Mais la première figure, on faisait... L’avant-deux, je sais ben que les quatre tout d’un coup, on se saluait...