Item : Le moulin de mon grand-père (enq.)
Général
- Titre
- Le moulin de mon grand-père (enq.)
- Traduction(s) titre(s)
- Le fuseau de grand-mère (ref.)
- Description
Urbaine Jounault chante une chanson populaire. Elle précise à la fin qu’il y a quatre couplets mais elle ne s’en souvient plus et ne chante que les deux premiers. On entend à la fin sa sœur Juliette Laurendeau lui souffler des paroles mais la suite ne lui revient pas en mémoire.
Personnes
- Enquêteurs
- Martine Roy
- Pierre Morin
- Dominique Bernard
- Informateurs
- Urbaine Jounault
Indications géographiques et culturelles
- Lieux
- La Guichardière (Poitou)
- Langues
- Français
- Contexte d'enregistrement
- Enquête chez l'informateur
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0006_0003_019
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00002c piste 2 début - Item 10
Données techniques
- Durée estimée
- 00:03:02
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Refrain
Ah ! le bon temps qui s'écoulait
Dans le moulin de mon grand-père
Pour la veillée qu'on s'assemblait
Près du fauteuil de ma grand-mère
Ce que grand-père racontait
Comme en silence on l'écoutait
Et comme alors gaiement trottait
Le vieux fuseau de ma grand-mère
Comme il trottait, comme il trottait
Oh ! quel bon temps, quel temps c'était
- Paroles
Grand-père était un vieux bonhomme,
Il avait bien près de cent ans.
Tout était vieux sous son vieux chaume,
Pour les enfants de ses enfants :
Vieux vins dans de vieilles armoires,
Vieilles amitiés douces toujours,
Vieilles chansons, vieilles histoires,
Vieux souvenirs des anciens jours.Ah ! Le bon temps qui s'écoulait
Dans le moulin de mon grand-père,
Pour la veillée qu'on s'assemblait,
Près du fauteuil de ma grand-mère.
Ce que grand-père racontait,
Comme en silence on l'écoutait,
Et comme alors gaiement trottait,
Le vieux fuseau de ma grand-mère.
Comme il trottait, comme il trottait
Oh ! Quel bon temps, quel temps c'était.Le vieux moulin de mon grand-père,
Tout comme lui s'est abattu.
Le vieux fuseau de ma grand-mère,
À la muraille est suspendu.
Et nous, couchés sur l'herbe épaisse,
Comme au vieux temps encore unis,
Je crois vous voir quand le jour baisse,
Et tout en larmes je redis :Ah ! Le bon temps qui s'écoulait
Dans le moulin de mon grand-père,
Pour la veillée qu'on s'assemblait,
Près du fauteuil de ma grand-mère.
Ce que grand-père racontait,
Comme en silence on l'écoutait,
Et comme alors gaiement trottait,
Le vieux fuseau de ma grand-mère.
Comme il trottait, comme il trottait
Oh ! Quel bon temps, quel temps c'était.[...]