Les bals du dimanche |
Léontine Travouillon explique qu'elle allait au bal du dimanche après-midi ainsi qu'à celui du dimanche soir. |
Le quadrille et la scottish |
Léontine Travouillon répond plus ou moins aux questions de l'enquêteur sur le quadrille puis sur la scottish.
Il y a beaucoup de coupures dans l'enregistrement. |
Coutume de mardi-gras : les tourtisseaux |
Léontine Travouillon évoque une habitude à la veille de mardi-gras, de manger des tourtisseaux et des crêpes. |
Le feu de la Saint-Jean |
Léontine Travouillon répond aux questions de l'enquêteur sur les feux de la Saint-Jean et les évènements (danses, chants…) qui les accompagnaient. |
Veillées à la bougie |
Léontine Travouillon se souvient des veillées faites à la bougie, chez sa grand-mère. À l'époque, il n'y avait pas d'électricité et les histoires racontées étaient en patois. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin que le nom de la petite bougie, cherché par Mme Travouillon, est la rousine. |
Fantômes et chandelles au cimetière |
Léontine Travouillon évoque les revenants dont lui parlait sa grand-mère et des chandelles qu'elle a aperçues en passant devant le cimetière, dans sa jeunesse. |
Familles voisines, elle-même et sa famille |
Léontine Travouillon évoque des connaissances ayant plus ou moins le même âge qu'elle (85 ans) et rit en disant que son petit-fils souhaite pouvoir vivre jusqu'à cent ans. |
Coutumes de mariages : feu de joie et découpe du ruban |
Léontine Travouillon se souvient du déroulement de noces et des coutume de sortie d’église comme le feu de joie ou la découpe du ruban. |
Musiciens de noce locaux : Ernest Roy et M. Billard |
Léontine Travouillon se souvient de deux musiciens locaux, Ernest Roy, dit Nanette, et M. Billard. Le premier jouait du piston et le second du violon. Un autre informateur enquêté lors de ce stage, connu sous le nom d'informateur Roy (M.), indique être le frère d'Ernest Roy. Ce dernier était aussi surnommé Néness (voir UPOI_GDC_0016_0010). |
Tisanes et remèdes |
Léontine Travouillon se souvient des méthodes d'autrefois pour se soigner (cataplasme de moutarde, tisanes, herbes…). |
Loups garous et sorciers |
À la demande de l'enquêteur, Léontine Travouillon évoque très succinctement les loup-garous et assure qu'aucun n'a été vu dans le pays. |
Processions et bénédictions des champs |
Léontine Travouillon répond à l'enquêteur à propos de processions et de bénédictions dans les champs, permettant de s'assurer une bonne récolte. |
Coiffes, canions, bonnets et capulet |
Léontine Travouillon se souvient de coiffes (Canion, Capulet) qu'elle mettait autrefois. |
Tenues vestimentaires des hommes |
Léontine Travoillon se souvient des tenues des hommes (patelot, blouse). |
Éléments biographiques : métiers, vêtements, origines, liens familiaux |
Estelle Arnaud évoque son âge, sa sœur et donne des informations sur sa vie (métier, préférences vestimentaires…).
Il est parfois difficile de comprendre ce qu'elle dit. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Souvenirs de la vie de commerçante : échange avec un client |
Estelle Arnaud se souvient d'une discussion avec un client (?) . Elle était alors commerçante. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Souvenirs de la vie de commerçante : échange et litige avec un client |
Estelle Arnaud se souvient d'un échange avec un ou une client·e à propos de la vente de cornichons pour quarante sous. La discussion se termine en litige, il a fallu aller chercher le commissaire. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Éléments biographiques : éducation, différences générationnelles, bonté de l'entourage |
Estelle Arnaud évoque des passages de sa vie, sur la générosité des gens, son apprentissage des chiffres et les différences entre la génération d'autrefois et celle d'aujourd'hui. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Souvenirs de la vie de commerçante : difficultés de la vie |
Estelle Arnaud parle de sa vie personnelle et professionnelle. Elle évoque cinquante ans et trois mois d'esclavage ainsi que les conséquences physiques qu'elle supporte aujourd'hui. Elle se souvient ensuite de gens ayant voulu lui acheter du matériel et qu'elle a traité de voyous. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Histoire de la fille mariée au riche |
Estelle Arnaud raconte un fragment de l'histoire du paysan qui marie sa fille à un riche du coin. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Jeu de langue, virelangue du tourneur |
Estelle Arnaud commence par indiquer qu'elle n'a jamais connu ses deux grands-pères, à l'inverse de ses grands-mères. Ces dernières lui ont appris un virelangue. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Prière ou histoire sur Jésus |
Estelle Arnaud se souvient d'une prière (?) qu'elle récite par cœur. Elle termine en disant qu'elle l'a apprise à ses petites-filles.
L'enregistrement débute par un échange difficilement compréhensible. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
Quand je t'ai rencontré (doc.) |
Estelle Arnaud essaye de se souvenir d'une chanson présentant l'histoire de deux amants qui se rencontrent et se séparent après plusieurs années. Il n'existe pas de transcription ni d'informations complémentaires dans le document d'analyse de P. Morin. L'enquête auprès de Mme Arnaud est répertoriée dans le document relatif à la K7 00020 (XX) mais est remplacée par l'analyse de l'enquête auprès de Raymond Terrasson (voir UPOI_GDC_0016_0004) |
La polka belge : explication de danse |
L’enquêteur interroge Mme Penot à propos de la polka belge. Elle en fredonne la première partie, montre la danse et l’explique.
L’enquêteur la questionne sur la boulangère mais elle ne connaît pas cette danse. Ils évoquent le violoneux Roger Manceau. |
Pas d'été, bourrée et danse de l'ours |
L'enquêteur interroge Mme Penot à propos de plusieurs danses pour savoir si elles étaient dansées ou non.
Le pas d'été : elle décrit les mouvements que faisaient le couple en dansant. Elle évoque un monsieur qu'ils étaient allé voir l'année précédente qui leur avait chanté et décrit cette même danse.
La bourrée : Mme Penot dit qu'elle ne se dansait pas beaucoup.
La danse de l'ours : elle fredonne l'air et se met à danser. |
Jean Brisquet (enq.) chanté et expliqué |
L'enquêteur interroge Mme Penot à propos de la danse dansée sur l'air de "Jean Brisquet". Elle fredonne l'air et décrit la danse. |
Les achats au marché (Coi.) / Les animaux du marché (Laf.) |
Mme Penot chante l'air, en cherchant les paroles. L'enquêteur cherche à savoir s'il y a d'autres paroles que celles dont elle se souvient. Elle décrit ensuite la danse. L'enquêteur cherche à savoir si on accélérait ou non pendant la danse. |
Brave capitaine (Coi.) / La fille du maréchal de France (Laf.) |
Mme Meron interprète une chanson à la marche "Jeune capitaine" dans laquelle un capitaine revenant de la guerre cherche la fille qu'il aime et la trouve enfermée dans une tour par son père. |
La belle qui veut prendre les armes (Coi.) |
Mme Meron interprète la chanson "Réveillez-vous la belle" dans laquelle un amant vient prévenir sa belle qu'il part pour le régiment et qu'elle doit attendre son retour. Celle-ci préfère le suivre jusqu'au champ de bataille. |
Jeu de veillée : assis sur une bouteille |
L'enquêteur interroge Mme Meron sur un jeu pour adulte qui était pratiqué durant les veillées, appelé "Assis sur une bouteille". |
En revenant des noces ou A la claire fontaine (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) |
Mme Meron interprète la chanson "En revenant des noces" dans laquelle une femme se repose au bord d'une fontaine au retour d'une noce et dialogue avec un rossignol.
Mme Meron dit qu’elle n’a jamais chanté ça mais qu’elle l’a entendue de la génération d’avant. |
Le galant qui est plus riche qu'on ne croit I : Joli tambour (Coi.) / Joli tambour (Laf.) |
Mme Meron raconte dans quelles circonstances elle a entendu des chants de marche lorsqu'elle était enfant et interprète ensuite la chanson "Petit tambour" dans laquelle un petit tambour demande au roi de lui donner sa fille. |
Le Kieru ou Karoi |
Mme Meron et son mari indiquent le lieu clandestin où les jeunes gens se réunissaient pour les veillées, avant que la nuit tombe. Mme Meron et son mari n'appellent pas ce lieu de la même façon, elle le karoi, lui le kiéru. |
Veillées de filage du chanvre |
Mme Meron raconte une anecdote sur la vie domestique : le filage du chanvre. Elle évoque une des ses tantes qui filait comme toutes les femmes de la campagne et à quelle point c'était un travail fatiguant |
Farce avec une citrouille |
Mme Meron raconte une farce faite par un domestique avec une citrouille et un drap. Il s'était déguisé et avait fait peur à deux bonnes dans le temps de mardi-gras. |
Croyance : le loup chèvre |
Mme Meron évoque le loup-garou, la chasse galerie et le loup chèvre. Elle dit que ce sont des imaginations |
Le bois d’amour (Coi.) / Savez-vous ce qu’il y a ? (Laf.) |
Mme Meron interprète la chanson énumérative "Derrière chez nous il y a un pré".
Pendant l’énumération des différents éléments de la chanson, Mme Meron précise qu’il faut courir ou sauter. Note de l’enquêteur :
RONDE : simple, marcher sur la 1ère partie puis en sautant ou courant pour la fin. |
Les achats au marché (Coi.) / Les animaux du marché (Laf.) |
Mme Meron interprète la chanson énumérative "Mon père m'envoya au marché". |
Histoire de Perrotte et Mounique (fin) |
Mme Meron raconte l'histoire de Perrotte et Mounique. Version incomplète, enregistrement commencé au milieu de l'histoire |
Histoire de la soupe au chat fouereux (début) |
Mme Meron raconte le début d’une histoire réelle arrivée au temps où son beau-père, dans sa jeunesse, était domestique dans une ferme derrière Monts-sur-Guesnes, à Champot. C’est arrivé aux riches voisins de cette ferme. Il est question de deux soupirants et d'une jeune fille. Le soupirant qui n'était pas bien vu et qui s’est fait rejeté, a mis un chat dans la marmite de soupe pour se venger avant de partir. Voir item UPOI_GDC_0004_0024_014 pour la suite et la fin de l'histoire |
Histoire de la soupe au chat fouereux (fin) |
Mme Meron raconte la fin d’une histoire réelle arrivée au temps où son père était domestique derrière Monts sur Guesnes à Champot. Il est question de deux soupirants et d'une jeune fille. Le soupirant qui n'était pas bien vu et s’est fait rejeté a mis un chat dans la marmite de soupe pour se venger avant de partir. Voir item UPOI_GDC_0004_0024_013 pour le début de l'histoire |
Mon père avait dix canes (Coi.) (fragment) |
Mme Meron interprète un fragment de la chanson Les cannes de chez mon père et enchaîne avec un virelangue Lève toi donc petit bougre. Voir item UPOI_GDC_0004_0024_016 pour une version complète de Lève toi donc petit bougre |
Virelangue Lève toi donc petit bougre (inc.) |
Mme Meron récite un virelangue Lève toi donc petit bougre. Note de l’enquêteur : pour faire peur aux enfants ou les faire se lever tôt |
Bonjour ma marraine (inc.) |
Mme Meron récite un dialogue entre une jeune fille et sa marraine concernant une invitation à des noces. |
Traductions de mots poitevins |
Mme Meron donne le sens de certains mots que lui demande l'informateur : la jouanné pour dire le feu de St Jean par exemple. |
Virelangue Si ces six cent six sangsues (inc.) |
Mme Meron récite un virelangue Si ces six cent six sangsues. |
Virelangue Quatre plats creux dans quatre creux plats (inc.) |
Mme Meron récite un virelangue Quatre plats creux dans quatre creux plats. |
Devinette : Deux enlevé d’un |
Mme Meron dit une devinette ou une énigme. |
Le rossignol et son latin (Gentil coquelicot) (Coi.) / La belle au jardin (Laf.) |
Mme Meron interprète un fragment de la chanson J'ai descendu dans mon jardin. |
Le peureux (Coi./Laf.) |
Mme Meron interprète une chanson En passant dans le bois le coucou il chantait, dans laquelle une personne s'enfuie dès qu'elle passe devant quelque chose car elle ne comprend pas bien ce qu'il se passe. Par exemple en passant devant le coucou qui chante "coucou" il croit que celui ci dit "coupe lui le cou". |
Histoire de vie ; La fille accouchée d’un moulin à vent (Coi.) |
Marcelin Frement chante les paroles de la première partie d'une scottish puis il rechante l'air et enchaîne avec l'air de la seconde partie. Avant qu'il ne chante, l’enquêteur l'interroge sur son âge et cherche à savoir s'il est originaire de Verrue ou non. L'informateur donne également quelques précisions sur la danse. |
Danse du bâton (doc.) et explication de danse |
Marcelin Frement interprète un extrait d'un air à danser, avec un salut, et répond ensuite aux questions de l’enquêteur concernant la façon de danser. |
Le pas d'été (enq.) et explication de danse |
Marcelin Frement interprète un air de pas d'été et donne ensuite des informations sur la manière de danser. |
Figures du quadrille simple |
Marcelin Frement explique le déroulé des figures du quadrille simple. |
Voilà ma chanson dite (inc.) |
Mme Daguin chante la courte chanson « Voilà ma chanson dite » avec un refrain « Tara cé tatchoum bali bali tchoum » |
La pipe à la tulipe (enq.) |
Mme Richard chante la chanson populaire dont le refrain est « C’est la pipe à la tulipe » dans laquelle une femme qui séduit un homme, se fait rejeter par celui-là qui a choisi une autre maîtresse. Cette chanson est chantée sous forme de dialogue. Note de l’enquêteur : Mme Richard avait appris ses chansons auprès de très vieilles femmes, dans son enfance. |
Quand Pierre tôt se lève (enq.) |
Mme Richard interprète la chanson Quand Pierre tôt se lève, dans laquelle une jeune fille préfère son Pierre à un fils de roi ou de baron. Note de l’enquêteur : En parlanjhe. Air très particulier, sur un rythme de bourrée ou valse |
La chapelle de Saint-Cloud (Coi.) |
Mme Richard interprète la chanson Sont les filles de la Rochelle, dans laquelle le tailleur qui a fait des chemisettes courtes à des filles a pu voir par en dessous. Note de l’enquêteur : Apprise auprès de Mme Louise PROUX, vieille femme originaire de THENEZAY (79), dans sa jeunesse |