Personne : Marcel-Dubois Claudie

Prénom
Claudie
Nom
Marcel-Dubois
Civilité(s)
Mlle
Alias

Rôles

Enquêteur

Naissance

Date de naissance
1913-01-19
Lieu de naissance
Tours

Décès

Date de décès
1989-02-01
Lieu de décès
Paris
Biographie

Pianiste de formation, Claudie Marcel-Dubois est diplômée de l’École du Louvre et de l’École des Hautes Études où elle est l’élève de Marcel Mauss. Elle entre au Musée d’ethnographie du Trocadéro dès 1934 comme attachée au département d’ethnologie musicale dirigé par André Schaeffner. En mai 1937, elle rejoint Georges Henri Rivière au Musée National des Arts et Traditions populaires (MNATP) créé cette année-là et deviendra une référence dans le domaine de l’ethnomusicologie française. Un premier enseignement structuré fut instauré à partir de 1960, dans le cadre de l’Institut d’ethnologie de Paris, au titre des enseignements complémentaires. Il se déploie l’année suivante et Claudie Marcel-Dubois se concentra durant vingt années à l’École pratique des Hautes Études, avec une charge de conférences en ethnomusicologie générale, dans le cadre de la direction d’études de Claude Lévi-Strauss.
Elle est considérée comme la fondatrice de la discipline pour le domaine français. Elle dirigera le département d’ethnomusicologie et la phonothèque du MNATP jusqu’à sa retraite en 1980.
Claudie Marcel-Dubois est l’autrice de nombreuses publications et de très importantes collectes de fonds sonores et contribua autant aux tribunes de colloques ou de congrès internationaux de sa spécialisation, que d’ethnologie.
Femme de caractère, elle s’impliquera dans l’ensemble de ses entreprises, avec courtoisie et fermeté. Chevalier de la Légion d’Honneur en 1968, elle recevra la rosette d’Officier des mains du Directeur général du CNRS en 1975.

https://journals.openedition.org/ethnomusicologie/2394
https://www.kubweb.media/fiche/claudie-marcel-dubois-ethnomusicologie-musicale/

URI

Contributions

Enquêteur

Item Description
Il était un petit bonhomme qui s’en allait au chatiâ (enq.) Mme Claire Grozard interprète une ronde débutant par "Il était un petit bonhomme qui s'en allait au Chatiâ"
Devant Bordeaux vient d'arriver (enq.) Mme Clara Groisard interprète le demi-rond "Devant Bordeaux vient d'arriver un tout petit mignon navire". Elle se reprend plusieurs fois et cherche les paroles.
Filles qui avez des serviteurs (enq.) Mme Claire Groisard interprète la chanson "Filles qui avez des serviteurs" qu’elle tient de sa grand-mère.
Il était un petit bonhomme qui s’appelait Simon (enq.) Mme Claire Groisard interprète la ronde commençant par « Il était un petit bonhomme qui s'appelait Simon », en poitevin-saintongeais.
Information sur les noces Les informatrices évoquent les préparatifs et le week-end suivant les noces, appelé « Retour ». Elles parlent également de leur famille, ainsi que de Mme Delavaud.
Information sur Madame Reine Delavaud Les enquêtrices interrogent Reine Delavaud sur sa naissance, ses liens familiaux avec Clara Groisard et la venue sur le continent.
Information sur les foires d’Auray Mme Delavaud et Mme Groisard évoquent la foire d’Auray à laquelle se rendaient les personnes de l’Île deux fois par an en bâteau de pêche, ainsi que certains pélerinages qu’à pu faire Reine Delavaud.
Information sur la première foire de l'Ile-d'Yeu en 1892 Mme Groisard évoque la première foire ayant eu lieu sur l’Île...sous la pluie.
Information sur l'enfance de Madame Reine Delavaud : la garde des moutons et le travail aux champs. Mme Delavaud évoque son enfance pendant laquelle elle a dû aider son père aux tâches de la ferme comme garder les moutons ou cultiver la terre pour permettre à ses frères d’aller à l’école.
Information sur la part aux bourgeois Les informatrices évoquent les obligations dues aux propriétaires des terres cultivées auxquels ils devaient donner la moitié de leur récolte.
Information sur le partage avec les propriétaires avant 1914. Les informatrices évoquent le manque d’homme après la guerre, ainsi que la période d’avant, qui étaient les propriétaires des terres et comment se faisait le partage des récoltes.
Information sur l'activité de l'Ile après la disparition de l'agriculture. Mme Groisard évoque la vie des femmes et leurs ocuupations après la guerre. Elle-même a été couturière. Mme Delavaud gardait les moutons et chantait à ces moments-là. Les enquêtrices la sollicitent pour qu’elle chante une chanson et elle fredonne le début de l’une.
Chanson de Mahomet (enq.) Reine Delavaud interprète la chanson de Mahomet qu’elle a apprise avec son père. Les enquêtrices la sollicitent pour chanter une autre chanson. Une version de cette chanson a été chantée en 1994 par Gilbert Laudato sous le nom « Mahomet Est Ton Nom »
A dix-huit ans, je sortais d'une église (enq.) Reine Delavaud interprète une chanson patriotique qu’elle tient de son père. Elle est sollicitée pour en chanter une autre. Les rubans d'une alsacienne est une chanson patriotique créée par Madame Etienne et notamment chantée par Henri Colomb et Albert Petit vers 1880
Marianne s'en allait-t-au moulin (enq.) Reine Delavaud interprète la chanson "Marianne s'en allait-t-au moulin", avec pour refrain "au p'tit trot", qu’elle tient de son père
Information sur les coutumes des noces avant 1914 Les informatrices évoquent le déroulement des noces à leur époque, avant la guerre de 14 : après être allés chercher la mariée et l’avoir menée à l’égilse et à la mairie, le marié et les gens de la noces la raccompagnaient et chacun mangeait chez soi avant d’aler faire le tour des familles.
Ami, avant d'entrer dans le ménage (enq.) "Ami, avant d'entrer dans le ménage", interprétée par Reine Delavaud, est une chanson à la mariée. Elle s’y reprend à plusieurs reprises.
Ami, avant d'entrer dans le ménage (enq.) Reprise de la chanson de la mariée "Ami, avant d'entrer dans le ménage" par Reine Delavaud.
Chanson de la crinoline (enq.) Mme Groisard interprète une chanson satirique de noces dans laquelle un jeune marié explique son malheur de découvrir la métamorphose de celle qu’il vient d’épouser. Mme Groisard chantait cette chanson à toutes les noces.
Chez nous, y avions un coq qui s'appelait Noudin (enq.) La chanson "Chez nous, y avions un coq qui s'appelait Noudin", avec refrain "Lanterlin-tin-taine" est chantée par Reine Delavaud.
Chez nous y'avions un moine qui ne buvait que du lait (enq.) Mme Groisard interprète la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait" avec refrain "La rigotte". Elle recherche une autre chanson qui était chantée lors des cortèges de noces.
Mon père a fait faire un étang (enq.) Mme Delavaud chante "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "je me roule, en voici la saison". Elle est aidée par une autre informatrice et se reprend à plusieurs reprise pour le dernier couplet.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (fin) Mme Delavaud chante les derniers couplets de la chanson « Mon père a fait faire un étang » Enregistré sur la bande magnétique MUS1967.44.23.
Quand nous sommes à Pâques (enq.) Mme Groisard interprète la chanson "Quand nous sommes à Pâques, nous sommes au printemps"
Information sur les accordéonistes de noces Mme Groisard et Mme Delavaud évoquent les accordéonistes de noces.
Information sur le casino et les bals Mme Groisard et Mme Delavaud évoquent les accordéonistes et musiciens de noces et de bals ainsi que l’arrivée du casino.
En revenant des noces (enq.) Reine Delavaud interprète la chanson de la clairefontaine "En revenant des noces...", refrain avec "Ah ! je l'attends…" Mme Groisard aide pour retrouver quelques paroles.
Derrière chez mon père (enq.) Mme Delavaud chante la chanson "Derrière chez mon père..." ou « Auprès de ma blonde ». Mme Groisard lui indique le début des paroles. Cette dernière évoque par la suite une berceuse souvent demandée par son fils quand il était jeune.
La mère ageasse (inf.) Mme Groisard interprète la chanson de la mère ageasse. Elle dansait la ronde à l’école avec cette chanson. A la fin de l’item précédent, Mme Delavaud raconte que son fils aimait que son père la lui chante.
A la Rochelle vient d'arriver (enq.) Clara Groisard interprète la chanson "A la Rochelle vient d'arriver un beau navire chargé de blé". C’est une chanson pour danser le demi-rond
Information sur les mai L’une des enquêtrices interroge les informatrices sur une coutume saisonnière : le mai.
Information sur le feu de la Saint-Jean avant 1914 Les informatrices évoquent les coutumes du feu de joie lors de la Saint-Jean, ainsi que les moquerie autour d’un jeune homme du village.
Information sur mardi-gras Les informatrices évoquent la coutume des jeunes gens de passer, masquer, de maison en maison dans le but de ne pas se faire reconnaître. Elles parlent d’un jeune simple d’esprit qui était moqué et à qui on faisait des farces. Elles commencent également à chanter une formulette de mardi-gras utilisée pour brûler le bonhomme.
Roulons-le Mathurin (enq.) Reine Delavaud chante une formulette de mardi-gras/carnaval utilisée pour brûler le bonhomme carnaval :"Roulons-le Mathurin"
Information sur mardi-gras Clara Groisard évoque une année particulière pendant laquelle le bonhomme carnaval de paille représentait Hitler et avait été brûlé dans le port.
Information sur la garde des moutons Reine Delavaud évoque les fois où elle gardait les moutons avec d’autres jeunes filles et dansaient et chantaient en oubliant les moutons qui se retrouvaient le soir venu en bas de la falaise. Il fallait alors aller les chercher.
Sur les ponts d'Avignon (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Sur les ponts d’Avignon. Il commente entre chaque couplet.
Nous sommes sortis de Toulon (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Nous sommes sortis de Toulon
Auprès de ma blonde (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Auprès de ma blonde. Les parents de M. Taraud chantaient cette chanson, chantée à toutes les noces.
Là-bas, sous un ciel d'un rouge d'enfer (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Là-Bas, sous un ciel rouge d’enfer. Cette chanson populaire, aussi nommée Petite Ourida, a été chantée par Berthe Sylva en 1933. M. Taraud l’a lui-même apprise au régiment, en Grèce en 1918.
Information autobiographique sur le service militaire de Monsieur Taraud et sur la guerre M. Taraud évoque les conséquences de sa rencontre avec une belle maraichine pendant une permission en 1915 : il fit de la prison puis fut envoyé dans les marines sur la mer Méditeranée et la mer Adriatique.
Devant Bordeaux vient d'arriver (enq.) (début) Monsieur Raymond Taraud commence à chanter la chanson "Devant Bordeaux vient d'arriver" et danse en même temps. Il est vite essoufflé.
Devant Bordeaux vient d'arriver (enq.) (fin) Monsieur Raymond Taraud interprète la chanson à danser Devant Bordeaux vient d'arriver, qu’il a commencé à l’item précédent.
A la Rochelle vient d'arriver (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser A la Rochelle vient d’arriver.
Quand j'étais chez mon père, enfant petit (enq.) M. Taraud interprète le demi-rond Quand j’étais chez mon père, puis montre la danse avec la chanson Bon vigneron.
Bon vigneron (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser et à répondre "Bon vigneron, bon, bon, bon". Un autre homme répond.
Bon vigneron (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser et à répondre "Bon vigneron, bon, bon, bon". Un autre homme répond. Reprise de la chanson enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.47 (item précédent)
Ce sont trois jeunes marins (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser et à répondre "Ce sont trois jeunes marins". Son fils et son petit-fils répondent.
Information sur les tournées de crécelles ou traquets pendant la semaine Sainte, avant 1935 Raymond Taraud et son fils évoquent la coutume des tournées de traquets ou crecelles pendant la semaine sainte, ainsi que leur rapport à l’église suite à la communion de Raymond.
Sur les ponts d'Avignon (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Sur les ponts d’Avignon.
Chanson de la mariée à table. Essai et commentaires. Raymond Taraud interprète la chanson à faire pleurer la mariée. Il la commente et évoque les coutumes de chansons de noces.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (début) Raymond Taraud interprète une chanson de noces « Mon père a fait faire un étang ». Dernier couplet à l’item suivant.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (fin) Raymond Taraud interprète le dernier couplet de la chanson "Mon père a fait faire un étang" avec le refrain « sortez-donc de vos maisons »
Mon père a fait faire un étang (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Mon père a fait faire un étang" avec le refrain "je suis brune gaillardemment »
Annonce par le garde-champêtre sur la place M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques sur la place du village précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Annonce par le garde-champêtre dans une rue M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques dans une rue, précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Annonce par le garde-champêtre sur le port M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques sur le pont du village précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Annonce par le garde-champêtre place de Norvège M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques sur la place de Norvège précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Un jour sur la route de Paris (enq.) Alice Taraud interprète la chanson à répondre et à danser en demi-rond (enq.) ou en rond (doc.) "Un jour sur la route de Paris". Deux autres informatrices répondent.
Quand y'ai sorti de mon village (enq.) Germaine Cadou interprète la chanson en poitevin-saintongeais Quand y'ai sorti de mon village, s'accordia, s'accordia.
L'autre jour y me promenaï (enq.) Germaine Cadou interprète la chanson "L'autre jour y me promenaï", chant satirique en poitevin-saintongeais
L'autre jour y me promenaï (enq.) Alice Taraud interrète la même chanson que précédemment "L'autre jour y me promenaï", chant satirique en poitevin-saintongeais. Une autre informatrice lui souffle les paroles. Mme Taraud a appris cette chanson de sa grand-mère.
O l'est pourtant temps boune mère de me marier (enq.) Germaine Cadou interprète une chanson en poitevin-saintongeais.
Là-bas, là-haut dedans ces bois (enq.) Mme Taraud et Mme Groisard commencent à chanter la chanson Là-bas, là-haut dedans ces bois, à deux. L’une d’entre elle pense s’être trompée de chanson et reprend seule. Chant de marche de noces
Là-bas, là-haut dedans ces bois (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Là-bas, là-haut dedans ces bois", elle reprend le début. C’est un chant de marche des noces (enq.).
Ah ! mon chapîa qu'était si bia (enq.) Alice Taraud interprète la chanson énumérative à répondre "Ah ! mon chapîa qu'était si bia", un chant de table auquel les deux autres informatrices répondent.
Mon père m'a mariée (enq.) Mme Taraud interprète la chanson à répondre "Mon père m'a mariée" avec refrain "Tire ton coq de mon panier". Mme Groisard répond
Mon père m'a mariée (enq.) Mme Taraud et Mme Groisard interprètent ensemble la chanson "Mon père m'a mariée" avec le refrain "Allons donc à Noirmoutiers dans le pays des ânes".
Mon père m'a mariée (enq.) Alice Taraud interprète un extrait de la la chanson "Mon père m'a mariée" avec refrain "Dau poires et dau poumes"
Mon père m'a mariée (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Mon père m'a mariée" avec refrain "J'ai vu la perdrix dans les blés".
Colin va au bois, c'est pour y jouer (enq.) (fragment) Claire Groisard commence à interpréter la chanson Colin va aux prés mais mélange des paroles. L’enquêtrice lui demande de reprendre.
Colin va au bois, c'est pour y jouer (enq.) Reprise de la chanson "Colin va au bois, c'est pour y jouer", enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.72.
Chez nous y'avions un moine qui ne vivait que dau lait (enq.) (fragment) Germaine Cadou interprète le début de la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait". Elle rigole beaucoup, ce qui l’empêche de finir la chanson.
Chez nous y'avions un moine qui ne vivait que dau lait (enq.) (fragment) Germaine Cadou reprend la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait", enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.74. Elle doit de nouveau s’interrompre car elle rigole trop.
Chez nous y'avions un moine qui ne vivait que dau lait (enq.) Germaine Cadou reprend la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait", enregistrée sur les bandes magnétiques MUS1967.44.74 et MUS1967.44.75.
Dans le palais du roi (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent ensemble la chanson "Dans le palais du roi" avec refrain "Lundi, mardi, jour de mai".
Dans le palais du roi (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent le premier couplet de la chanson "Dans le palais du roi" sur un air différent que précédemment, avec un refrain tralala
L'autre jour, je me promène tout le long d'un vert ruisseau (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "L'autre jour, je me promène tout le long d'un vert ruisseau". Elle hésite sur les parole à la fin de la chanson.
C'était une meunière qui se levait matin (enq.) Alice Taraud interprète la chanson C’était une meuière qui se levait matin
Mon père m'a mariée (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent les premiers couplets de la chanson "Mon père m'a mariée" avec refrain "Mon père goulotait".
Voilà 10 heures que nous marchons (enq.) Claire Groisard interprète la chanson énumérative Voilà 10 heures que nous marchons.
Mon bel amant venez me voir (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent à l’unisson la chanson Mon bel amant venez me voir.
Y'en a dix par derrière-nous qui nous regardent (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent à l’unisson la chanson énumérative "Y'en a dix par derrière-nous qui nous qui nous regardent" avec refrain "J'entends le petit rond"
Dans le port de Toulon, y'a plus que dix navires (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent la chanson énumérative Dans le port de Toulon
J'ai une méchante mère (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "J'ai une méchante mère, ma dondaine". Elle est aidée par une autre informatrice pour trouver les paroles.
J'ai une méchante mère (enq.) Claire Groisard reprends la chanson "J'ai une méchante mère, ma dondaine", enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.86.
J'ai une méchante mère (enq.) (fin) Claire Groisard reprend les deux derniers couplets de la chanson "J'ai une méchante mère, ma dondaine", enregistrée sur les bandes magnétiques MUS1967.44.86 et MUS1967.44.87.
Quand j'étais chez mon père tout petit garçonnia (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Quand j'étais chez mon père tout petit garçonnia", avec refrain "ça, ça ne m'arrange guère". Chanson chantée en patois.
A dix heures dans la plaine (enq.) Claire Groisard interprète la chanson énumérative à répondre "A dix heures dans la plaine, j'avais laissé mes moutons".
Mon père m'a mariée (enq.) Claire Groisard interprète la chanson de mal-mariée "Mon père m'a mariée à un tailleur de vigne". Chant de marche appris de la mère Bretet, qui aurait eu 100 ans.
Ce sont ces dames de Paris (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Ce sont ces dames de Paris", avec refrain "Belle, j'entends bien tourner la meule du moulin".
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Claire Groizard commence à chanter la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "Don don les ridaines". Une autre dame lui souffle quelques paroles et elle-même évoque que c’est une chanson à répondre.
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Claire Groisard interrète la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "Rouli, roulons". Mme Groisard interprète une version à marcher de cette chanson, apprise auprès de sa tante Béatrice qui aurait 70 ans.
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Claire Groisard interprète une troisième version de la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "A moi le pompon, charmante demoiselle".
C'était une bergère (enq.) Claire Groisard chante la chanson "C'était une bergère qui gardait ses moutons", avec refrain "mouli les riti, tonton les ritons".
Je vais vous dire une chanson pleine de mensongeries (enq.) (fragment) Clara Groisard commence à chanter la chanson "Je vais vous dire une chanson pleine de mensongeries".
C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré", avec refrain "Adieu, je pars ma mignonne".
Ma ceinture de lin de laine n'a plus que dix brins (enq.) Claire Groisard chante le début de la chanson énumérative "Ma ceinture de lin de laine n'a plus que dix brins". C’est une marche.
Derrière chez nous y-a un p'tit bois (enq.) Claire Groisard interprète la chanson « Derrière chez nous y’a un petit bois »
C'était un p'tit bonhomme (enq.) Claire Groisard interprète la chanson C’était un petit bonhomme, guenillon
Information sur la chanson de la mariée et les coutumes des noces. Clara Groisard et sa fille évoquent différentes coutumes de noces.
Information sur l'arrivée des notables dans l'île. Claire Groisard évoque avec sa mère l’arrivée de personnes imortantes sur l’île et la manière dont cela se faisait.
La première partie du phare de la Loire (enq.) Alice Taraud interprète la chanson "La première partie du phare de la Loire, la connais-tu, frère Grégoire ?".
Retour du fils marin (Le) (enq.) Alice Taraud interprète la romance "Le retour du marin : au nom du ciel...", reprenant un thème traditionnel.
Tout ce que je souhaite à la mariée (enq.) Alice Tauraud interprète une chanson de souhaits à la mariée.
Le berger qui me fait la cour (enq.) Alice Taraud interprète la chanson de bergère « Le berger qui me fait la cour »
Là-haut sur la montagne (enq.) (début) Alice Taraud chante le début de la chanson "Là-haut sur la montagne, y'a des petits oiseaux", une chanson de déception amoureuse et de prévention quant au mariage.
Là-haut sur la montagne (enq.) (fin) ; L’autre jour j’étais aux noces (inf.) (début) Alice Taraud chante la fin de la chanson "Là-haut sur la montagne, y'a des petits oiseaux" puis commence le premier couplet de la chanson « Sans mentir j’aimerais mieux »
L'autre jour j'étais aux noces (inf.) (suite) Alice Taraud inteprète la chanson "L'autre jour j'étais aux noces", avec refrain "Sans mentir, j'aimerais mieux un jeune amoureux qu'un sage...".
L'autre jour j'étais aux noces (inf.) (fin) Alice Taraud continue la chanson "L'autre jour j'étais aux noces", avec refrain "Sans mentir, j'aimerais mieux un jeune amoureux qu'un sage…".
Filles qui avez des serviteurs (enq.) (fragment) Alice Taraud commence la chanson "Filles qui avez des serviteurs faites-leur porter des couleurs" mais se trompe dans les paroles. Elle reprend à l’item suivant.
Filles qui avez des serviteurs (enq.) Alice Taraud interprète la chanson "Filles qui avez des serviteurs faites-leur porter des couleurs"
La guenille à Pierrot (doc.) Alice Taraud interprète la chanson débutant par "De ta chemise de mariage, dis-moi, Pierrot, qu'en as-tu fait ?".
La mariée avait promis un chapeau à son mari (enq.) Alice Taraud chante la chanson énumérative "La mariée avait promis un chapeau à son mari", avec refrain "Nous irons tous en chantant à La Meule boire du vin blanc".
Entre Paris et La Rochelle (enq.) Alice Taraud interprète la chanson "Entre Paris et La Rochelle, aimez-vous, il y a-t'une chapelle".
Là-bas dans ce village (enq.) Alice Taraud interprète la chanson en poitevin-saintongeais "Là-bas dans tche village", avec refrain "Tournia rondia…". Les garçons de la ville sont plus éveillés que ceux du village car ils sont capables d’embrasser les filles sans les réveiller.
Ma mère, je veux avoir Jean (enq.) Alice Taraud interprète la chanson d’une fille qui demande à sa mère comment ça se passera dans son mariage.
Etoile des Flots (enq.) Alice Taraud inteprrète la chanson "Etoile des Flots", cantique de Pardon chanté le lundi de Pâques, lors du pèlerinage à la Meule.
Astre béni du marin (enq.) Alice Taraud interprète le cantique « Astre béni du marin », chanson chantée lors de tous les offices en lien avec les gens de mer.
Cantique pour les péris en mer (enq.) (début) Alice Taraud interprète le début du cantique pour les péris en mer. La suite se trouve sur la piste suivante.
Cantique pour les péris en mer (enq.) (fin) Alice Taraud continue le "Cantique pour les péris en mer", commencé sur la piste précédente
Derrière chez mon père, un oranger il y a (enq.) (début) Alice Taraud intreprète la chanson "Derrière chez mon père, un oranger il y a", avec refrain "Ce n'est pas sur la route qu'on ira faire : la, la, la". Elle hésite sur les paroles et reprend la chanson à l’item suivant.
Derrière chez mon père, un oranger il y a (enq.) (fin) Alice Taraud se remémore l’un des couplets de la chanson "Derrière chez mon père, un oranger il y a", débuté à l’item précédent
Eh ! Montez donc la belle dans ma chambre (enq.) Alice Taraud inteprète la chanson "Eh ! Montez donc la belle dans ma chambre", avec refrain "Herbe coupe, coupe la faux, coupe herbe coupée, il faut la faner".
Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris (enq.) Michel Palvadeau interprète la chanson « Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris »
Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris (enq.) Michel Palvadeau reprend la chanson précédente "Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris", avec refrain "Ce n'est pas sur la route qu'on ira faire : la, la, la...", et la termine.
En revenant de Paris-La Rochelle (enq.) Michel Palvadeau interprète la chanson "En revenant de Paris-La Rochelle", avec refrain "Soulagez un peu votre jambe en l'air" et en cherche les paroles. Claire Groisard l’aide à trouver les paroles.
En revenant de Paris-La Rochelle (enq.) Clara Groisard et Michel Plavadeau reprennent la chanson précédente en chantant en alternance "En revenant de Paris-La Rochelle", avec refrain "Soulagez un peu votre jambe en l'air".
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) (fragment) Claire Groisard et Michel Palvadeau souhaitent chanter "C'était une frégate nommée La Denoé", avec refrain "Camarades, il faut boire". Ils cherchent les proles.
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) Claire Groisard et Michel Palvadeau interprètent ensemble la chanson "C'était une frégate nommée La Denoé", avec refrain "Camarades, il faut boire".
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) Michel Palvadeau interprète la chanson "C'était une frégate nommée La Denoé". Il débute avec le refrain "larguez les riz dans les grandes voiles" puis passe au refrain « Camarades il faut boire »
C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson à danser "C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré" à laquelle son fils répond.
Le berger qui me fait la cour (enq.) (fragment) Raymond Taraud débute la chanson "Le berger qui me fait la cour" mais s’arrête rapidement à la demande des enquêtrices.
Le berger qui me fait la cour (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Le berger qui me fait la cour".
Mon père a fait faire un étang (enq.) (début) Raymond Taraud inteprète la chanson "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "Depuis longtemps que ces deux coeurs s'aimaient". Son fils répond. Il ne se souvient plus des derniers couplets. Il reprend sur la piste suivante.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (fin) Raymond Taraud reprend la suite de la chanson "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "Depuis longtemps que ces deux coeurs s'aimaient". Son fils répond.
Mon père a fait faire un étang (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "vous l'avez vu ce matin fille, femme à présent".
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "C'était une frégate nommée La Denoé", avec refrain "camarades, il faut boire".
Ce sont les dames de Paris (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Ce sont les dames de Paris", et son fils répond.
Un soir, je me suis mise en danse (enq.) Raymond Taraud chante le premier couplet de la chanson "Un soir, je me suis mise en danse".
Derrière de chez mon père un oranger il y a (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Derrière de chez mon père un oranger il y a", avec refrain "ce n'est pas sur la route...".
Un jour, je me suis mis en danse (enq.) Claire Groisard inteprète la chanson « Un jour je me suis mise en danse » avec le refrain « J’ai mon amant bien loin de moi ».
Derrière de chez mon père un oranger il y a (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Derrière de chez mon père un oranger il y a", avec refrain "ce n'est pas sur la route...".
Annonce au tambour par le Garde Champêtre Après avoir frappé du tambour, Prudent Beneteau effectue une annonce concernant il les horaires des voyages du bateau entre Fromentine et l’Ile d’Yeu.
Information biographique Jojo Rousseau évoque son arrivée sur l’Ile d’Yeu, la garde des moutons quand il était jeune et la généalogie des famille de ses gendres.
Information sur la manière d’apprendre une chanson dans les ports M. Rousseau évoque la transmission de chanson, les occasions de chanter dans les ports lorsqu’il était partron d’un thonnier.
Informations sur son bateau le « Marguerite-Marie » M. Rousseau évoque l’évolution de la navigation et de la pêche avec l’évolution du matériel et de l’équipage. Il donne les dates principales de sa carrière et parle de son fils.
Je suis le maître à bord (enq.) (début) M. Rousseau interprète la chanson Je suis le maître à bord, une chanson racontant l’histoire d’un capitaine durant une traversée. La chanson est interrupue à la fin de 2e couplet en fin de bobine et reprend à l’item suivant. apprise d’un neveu marin pendant l’occupation
Le maître à bord » (enq.) (fin) Fin de la chanson commencée à l’item précédent « Je suis le maître à bord » chanté par M. Rousseau
L’océan (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de marin « L’océan »
Ce sont trois filles du Lion d’or (enq.) M. Rousseau interprète la chanson « Ce sont trois filles du lion d’or », chanson que chantait sa mère.
Information sur la famille de sa mère M. Rousseau évoque la famille de sa mère, dont il tient la chanson précédemment chantée et qui ne savait ni lire ni écrire.
Complainte du juif errant (enq.) (début) M. Rousseau interprète la complainte du juif errant. Il butte sur des paroles et arrête là la chanson qui sera reprise à l’item suivant. Transforme sa voix pour chanter cette chanson, pour donner l’impression de dialogue. Passage mineur à majeur ; par variabilité des 4e degré et 7e degré ; interruption et reprise ; stabilité en majeur vers la fin
Complainte du juif errant (enq.) (fin) M. Rousseau continue à chanter la suite des couplets de la chanson commencée à l’item précédent : la complainte du juif errant.
Partons la mer est belle (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de marins « Partons la mer est belle » Apprise il y a dix ans environ à l’occasion des spectacles donnés au bénéfice des péris en mer. Chanson des années 1800
Bercé par la houle (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de 1936 « Bercé par la houle », chanson de matelots et marins qui partent en mer. Romance apprise auprès d’un vieux marin de l’ile d’yeu ayant actuellement 75 ans, quand il était matelos vers 25-30. Il y a deux ans
Chanson du mouchoir (doc.) M. Rousseau interprète la chanson populaire de 1911 La chanson des mouchoirs.
Sur la route de Nantes il y a dix pommiers (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de dix « Sur la route de Nantes y’a dix pommier » avec refrain « ce n’est pas sur la route qu’on ira faire l’amour ». Il termine la chanson par « à la cheminée ! »
Chanson à la mariée (enq.) Joséphine Frioux interprète un chant de noce « Ah mon ami voici le jour aimable » qui est une leçon aux époux leur disant qu'ils se doivent un amour éternel et ne doivent pas pratiquer l'adultère. C'est la chanson qui permet d'offrir le bouquet d'oranger pendant le repas de noces, bouquet qui symbolise le lien de fidélité entre les deux mariés et signifie qu'ils perdent leurs libertés.
La bique (enq.) Edmond Béchiau interprète un chant de table "La Bique" dans lequel une chèvre s’échappe et mange un arbre chez quelqu’un. Elle finit au parlement pour être jugée mais se moque de juge et du président. Edmond Béchiau tient cette chanson de sa mère.
Tu avais promis du temps de ta jeunesse (inc.) Edmond Béchiau interprète une chanson à la mariée, une romance "Tu avais promis du temps de ta jeunesse" dans laquelle une fille se marie alors que dans sa jeunesse elle avait promis de ne jamais se marier. Edmond Béchiau a appris cette chanson de sa mère vers ses 12 ans.
J'ai travaillé 12 mois dans la ville de Rennes (inc.) Joséphine Frioux interprète un chant à la marche « J'ai travaillé 12 mois dans la ville de Rennes ».
L'autre jour je m'y promène (inc.) Joséphine Frioux interprète un chant à la marche "L'autre jour je m'y promène" dans lequel quelqu'un rencontre une jeune fille à la fontaine et lui propose de venir coucher avec lui pour 200 francs.
Soir et matin la jeune Hélène (enq.) Prosper Thibault interprète une romance "Soir et matin la jeune Hélène " qui raconte la mort d'Hélène, qui meurt parce que son amant l'abandonne. Prosper Thibault tient cette chanson de son père natif de la Guérinière.
J'ai fait un rêve cette nuit passée (inc.) Joséphine Frioux interprète une chanson de danse "J'ai fait un rêve cette nuit passée" dans laquelle quelqu'un raconte qu'il a rêvé qu'il était fait prisonnier.
Quand i ai sortie de mon praï (inc.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand i ai sortie de mon praï" dans laquelle un homme revient de guerre et se rend compte que sa maîtresse est en train de se marier. Il arrive le jour du premier ban. Chanson de danse que Florentine Palvadeau appelle « La Danse ». Elle se danse en rang. L’informatrice dit la connaître depuis toujours. Elle rajoute qu’ « au pays on chante aux baptèmes, aux communions, à 4h » (enq.)
La Passion de Jésus-Christ (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "La Passion de Jésus-Christ" qui raconte un épisode biblique : la crucifixion de Jésus-Christ. Cette chanson était chanté pendant le vendredi Saint.
Me suis levée de grand matin (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Me suis levée de grand matin" dans laquelle une personne va dans son jardin pour cueillir la rose et le thym. Un oiseau se pose sur sa main et lui parle en latin, il lui dit que les femmes et les filles ne valent rien.
A 10 heures dans la plaine (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche à la dizaine "A 10 heures dans la plaine" dans lequel la belle promet à son amant doux de ne pas oublier l'heure du rendez-vous
Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle (inc.) Florentine Palvadeau interprète le chant "Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle" dans lequel une fille chante ses amours perdus. Dans les derniers couplets il est demandé à la mariée d'ouvrir la porte de la chambre, ce qu'elle ne peut pas faire car elle est couchée avec son mari. .
Chanteras-tu jolie bergère (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Chanteras-tu jolie bergère" qui est une discussion entre un monsieur et une bergère. Il est question du chant de la bergère qui aime la danse, la contredanse et le vin, le monsieur cherche à savoir s'il est le seul à boire avec elle et s'il tient son coeur en gage.
Entre vous filles de Noirmoutier (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Entre vous filles de Noirmoutier" dans laquelle il est question des filles de Noirmoutier qui sont belles puis de la prise de l'armée d'Angleterre par leurs amants qui sont au service pour quatre ans. La chanson se poursuit avec un histoire de marchand de vinaigre qui va voir sa maîtresse et rencontre sur son chemin le curé et son vicaire à qui il demande de lire une lettre de sa maîtresse.
Quand j’étais chez mon père (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson en poitevin-saintongeais "Quand j'étais chez mon père" dans laquelle un garçon est envoyé aux landes pour garder ses moutons, le loup arrive et lui mange le plus beau. Il demande au loup de garder sa peau, le bout de sa queue pour différents usages.
Mon père veut m’y marier (enq.) Florentine Palvadeau interprète "Mon père veut m’y marier" où il est question d'une fille malmariée à un vieux bonhomme pas à son gré. Le vieux bonhomme va aux foire et au marché sans jamais rien rapporter à la fille sauf un bâton de vert pommier pour la battre.
Nous partons tous mes très chers camarades (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche « Nous partons tous mes très chers camarades » dans laquelle il est question de tromperie. Un amant s'arrache les cheveux en voyant sa mie pleurer du départ d'un autre de ces amants. La chanson est suivie d'une discussion entre Florentine Palvadeau et les enquêtrices qui cherchent à savoir comment se faisait la réponse sur cette chanson.
Mon père a fait faire un étang, son papa qui l'emmène (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Mon père a fait faire un étang, vous la voyez femme à présent (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
A l'ile d'Yeu (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "A l’Ile d’Yeu joli petit bourg" dans laquelle des couturières sans le sous vont chez le perruquier et demandent à se faire friser à crédit, il refuse et leur répond de vendre leurs robes pour avoir de l'argent
Mon père a fait faire un étang / les tambours qui nous mènent (enq-inc) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Mon père a-t-une vigne (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père a une vigne" dans laquelle trois tailleurs des Sables viennent tailler une vigne jamais taillée, un des tailleurs ne peut pas tailler car sa maîtresse ne veut plus l'aimer car il lui a refusé un bouton de rose.
Quand j’étais chez mon père, enfant petit (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand j’étais chez mon père enfant petit" dans laquelle il est question de quelqu'un qu'on envoie chercher des nids, qui en trouve de caille, de perdrix et d'alouette.
Le marchand de velours (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Le marchand de velours" dans laquelle un père marie sa fille avec un marchand de velours qui ne parle que de son velours lors de la première nuit des noces. La fille jure de faire son mari cocu.
C’était un petit bonhomme guenillon (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "C’était un petit bonhomme guenillon" dans laquelle il est question d'un bonhomme qui a une belle fille, il l'envoie au bois pour cueillir la noisille, comme la noisille est haute la fille tombe et se plante une épine dans le doigts. La fille s'endort à cause de la douleur. Trois bourgeois passe et la regarde et le troisième dit qu'elle sera sa mie.
Chez mon père nous étions trois filles (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Chez mon père nous étions trois filles" qui raconte une volonté d'échange de mie entre trois tailleurs de vigne marié à trois filles dont une est plus gentille que les autres. Mais le tailleur marié à la plus gentille ne veut pas échanger.
C’est une dame et un curé (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "C’est une dame et un curé" dans laquelle une dame et un curé vont se promener le soir, la dame veut danser, le curé la jette sur son froment, vient le propriétaire qui se plaint qu'ils égrainent tout son froment.
Que Dieu donne à la mariée (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Que Dieu donne à la mariée" dans lequel on souhaite que dieu donne à tous une bonne année et à la mariée sa couronne, un époux, une pleine armoire de linge blanc, un plein tablier d'argent etc
En revenant de Paris la Rochelle (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "En revenant de Paris la Rochelle" dans laquelle un gars rencontre 80 demoiselles en revenant de Paris La Rochelle, il prend la plus belle sans choisir et la monte derrirère sa selle. Après avoir parcouru 100 lieux sans parler avec elle, elle demande à boire, il la conduit à la claire fotnaine où elle ne veut pas boire puis au logis de son père où elle boit à plein verre.
L’autre jour je m’y promène le long d’un ruisseau coulant (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "L’autre jour je m’y promène le long d’un ruisseau coulant" dans laquelle un homme rencontre une bergère qui dort sur le jonc. Il lui prend son joli petit panier blanc. La bergère s'en plaint, il lui répond qu'il est riche marchand et qu'il va la payer. Elle dit que son panier n'est pas à vendre, que sa grand-mère lui a dit qu'il fallait le garder. Le marchand lui répond que sa grand-mère n'a pas toujours gardé son joli petit panier blanc non plus.
Dans le palais du roi (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Dans le palais du roi" dans laquelle il est question d'une flamande indécise sur le choix de son amoureux. Elle a le fils d'un couturier et un cordonnier. Elle choisi le cordonnier, qui lui fait des beaux souliers et lui propose de coucher ensembles dans un beau lit carré garnie de roses blanches.
Bonjour ma petite Marie (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Bonjour ma petite Marie" qui est un dialogue entre une fille et son amant. L'amant dit qu'il a entendu dire qu'elle n'était pas sage, elle lui assure qu'elle n'a de l'amitié que pour lui. Il lui répond qu'il ne lui envoyait plus de lettres pour lui faire savoir qu'elle était la délaissée. Elle lui répond qu'elle ne veut pas d'un jaloux sans argent.
Une fois disait un guerrier à l'intéressante Imogine (inc.) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "Imogine" qui raconte le départ d'un guerrier pour la Palestine. Il dit à Imogine pleurant qu'elle aura bientôt un autre amant. Elle lui dit qu'elle ne l'oubliera jamais et lui sera toujours fidèle. Florentine Palvadeau ne se souvient pas des paroles à partir du quatrième couplet et dit qu'elle ne peut pas chanter cette chanson.
C’était un moine que d’amour il vivait (enq.) (fragment) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "C’était un moine que d’amour il vivait" dans laquelle il est question d'un moine qui a une maîtresse. Il la trouve en train de pleurer car elle a son ouvrage à faire et ses vaches à tirer. Le moine y va à sa place mais la vache ne le laisse pas faire et lui donne des coups. Voir item UPOI_ATP_0004_0001_028 pour avoir la chanson en entier.
C’était un moine que d’amour il vivait (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "C’était un moine que d’amour il vivait" dans laquelle il est question d'un moine qui a une maîtresse. Il la trouve en train de pleurer car elle a son ouvrage à faire et ses vaches à tirer. Le moine y va à sa place mais la vache ne le laisse pas faire et lui donne des coups.
Serai-je donc toujours bergère (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Serais-je donc toujours bergère" dans laquelle une bergère se demande où elle va mener ses moutons paître. Elle les emmène sur la montagne où elle croyait être seulette. Un berger vient et elle lui peigne tant sa chevelure que ses moutons s'égares. Elle a peur d'être battue, il lui répond qu'il a trois vaisseaux sur l'Atlantique.
Serai-je donc toujours bergère (enq.) (fragment) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "Serai-je donc toujours bergère" dans laquelle une bergère ne demande où elle va mener ses moutons paître. Elle les emmène là-haut sur la montagne où elle croyait être seulette. Un berger vient et elle lui peigne tant sa chevelure que ses moutons s'égares. Elle a peur d'être battue, il lui répond qu'il a trois vaisseaux sur l'atlantique. Voir item UPOI_ATP_0004_0001_029 pour avoir la chanson en entier.
Le galant invité à moucher son nez (Coi.) Louis Prineau interprète le chant de labour « Pierrot et pis Jouine » : Pierrot et Jeanne vont à la foire. Ils se perdent puis se retrouvent dans la rue. Pierrot dit à Jeanne : je voudrais bien te baiser. Elle répond, mouche d’abord ton nez. Il lui mouche le nez. Louis Prineau tient cette chanson de son père, maraîchin. Cette chanson était utilisée pour aller chercher les foins mais se chantait également lors de veillées. Elle était aussi chantée dans le bocage vendéen.
Le frère qui met sa sœur à l’épreuve (Coi.) / La sœur mise à l’épreuve (Laf.) Louis Prineau interprète la chanson Le frère Simon dans laquelle un frère s’inquiétant pour l’honneur de sa sœur bergère aux champs, va la trouver pour la tromper. Louis Prineau tient cette chanson de son père. Elle n’est pas très commune et il est à peu près le seul à la chanter, dans les veillées ou au début des repas de noce.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) Louis Prineau interprète la chanson La maison de Nicole, dans laquelle une femme est mariée par son père à un vieil homme qui la bât. Louis Prineau tient cette chanson de son père, très bon chanteur. Il la chantait lors de fêtes pour faire danser la grand’danse.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) Louis Prineau interprète la chanson La maison de Nicole, dans laquelle une femme est mariée par son père à un vieil homme qui la bât. Louis Prineau tient cette chanson de son père, très bon chanteur. Il la chantait lors de fêtes pour faire danser la grand’danse. Il a la dynamique de chant pour faire danser une grand’danse.
Turlututu (Coi.) / La rare beauté (Laf.) Louis Prineau interprète la chanson Turlututu dans laquelle un jeune homme rencontre une bergère et la demande en mariage. Sa demande est refusée. Louis Prineau a appris cette chanson par son père. C’est une chanson de danse qu’il chantait lors de fêtes et de noces. Elle est assez connue mais avec d’autres paroles, comme celles notées par Trebucq.
Le galant invité à moucher son nez (Coi.) Louis Prineau interprète le chant de labour « Pierrot et pis Jouine » : Pierrot et Jeanne vont à la foire. Ils se perdent puis se retrouvent dans la rue. Pierrot dit à Jeanne : je voudrais bien te baiser. Elle répond, mouche d’abord ton nez. Il lui mouche le nez. Meilleur enregistrement de la chanson "Pierrot et pis Jouine", que celle enregistrée au numéro d’inventaire UPOI_ATP_0005_0001_001
Épousez-moi d’abord - Combien gagnez-vous par an (Coi.) / La belle rose (Laf.) Mme Martel interprète la chanson de danse à répondre Par dessus la verte épine. Un groupe de femmes et d’hommes lui répondent.
Le galant mangé par les rats (Coi.) / Le galant oublié dans l’armoire (Laf.) Mme Martel interprète la chanson de danse à répondre V’la son galant qui arrive avec refrain Les jambes en haut, dans laquelle il est question de cacher le galant dans un coffre. Un groupe de femmes et d’hommes lui répondent. Cette chanson est encadrée de deux passages parlés de présentation.
La ceinture de dix brins (Coi.) / La ceinture de laine (Laf.) Après avoir été présenté, Louis Prineau interprète deux couplets de la chanson de dix Ma ceinture de laine/laene n’a plus que dix brins. Il est applaudit par l’assemblée présente.
Proverbes de cultivateurs Après avoir été présentés, deux hommes énoncent des proverbes et dictons de cultivateurs : Année de glandéa labours gras Quand au mouille à la Saint-Jean la récolte va en dévariant Pâques mouillou Saint-Jean fromentou Chandeleur noir l’hiver fait son devoir Chandeleur clair l’hiver est en arrière Chandeleur trouble l’hiver redouble La présentatrice traduit chacun d’entre eux
Le galant invité à moucher son nez (Coi.) (début) Après avoir été présenté, Louis Prineau interprète la première partie de la chanson Pierrot et pis Jouine dans laquelle Pierrot et Jouine vont à la foire et se perdent dans le marché. Lorsqu’il se retrouvent, Pierrot voudrait embrasser Jouine mais elle a le nez qui coule. L’enregistrement s’arrête avant la fin de la chanson. Seconde partie à l’item UPOI_ATP_0005_0002_007.
Le cotillon volé par trois larrons (Coi.) / Le cotillon lavé (Laf.) Après avoir été présentée, Melle Langevin interprète la chanson de labour « V’ru sé acheté un bia cot’liou ». Les personnes de l’assemblée se joignent à elle sur les refrains.
Le galant invité à moucher son nez (Coi.) (fin) Suite de l’item UPOI_ATP_0005_0002_005 : Louis Prineau interprète la seconde partie de la chanson Pierrot et pis Jouine dans laquelle Pierrot et Jouine vont à la foire et se perdent dans le marché. Lorsqu’il se retrouvent, Pierrot voudrait embrasser Jouine mais elle a le nez qui coule. Il la mouche et lui dépose un baiser sur la joue. Il est applaudit par l’assemblée présente.
La marchande de velours (Coi.) / Le marchand de velours (Laf.) Mme Girault interprète la chanson Mon père m’a mariée avec un marchand de velours, dans laquelle une jeune mariée doit travailler sans relâche avec son mari et en est mécontente. Le tout début est coupé par l’enregistrement. Elle est applaudit par l’assemblé qui a chanté les refrains avec elle.
Le moine qu’on voudrait voir brûler (Coi.) Après avoir été présentée, Mme Martel interprète la chanson Derrière chez nous y’a un couvent dans laquelle un moine qui demande ses amitiés à une dame se fait rejeter par celle-ci. Le chœur des personnes présentes chante avec elle en fin de phrases. On entend la présentation de l’item suivant demandant à Louis Prineau de chanter la chanson du Frère Simon.
Le moine qu’on voudrait voir brûler (Coi.) / Le moine qui demande un baiser (Laf.) Après avoir été présentée, Mme Louise Martel interprète la chanson des six métiers C’était une jeune fille de quinze ans, dans laquelle une jeune femme qui souhaite se marier évoque plusieurs métiers parmi lesquels faire son choix : maçon, chaudronnier, boulanger, maraîchin, couvreur..elle choisi le sonneur. A la fin de la chanson, la présentatrice lui demande de chanter le cinquième métier qu’elle n’a pas interprété dans sa chanson.
Il est pourtant temps de me marier (Coi.) / Il est pourtant temps (Laf.) (début) Melle et Mme Langevin interprètent la chanson Il est pourtant tant de me marier, sous forme de dialogue. L’une chante les paroles de la mère et l’autre de sa fille qui veut se marier et trouve toujours de quoi répondre à sa mère qui lui dit qu’elle n’a pas d’habits, de pain, de vin ni de lit pour se marier.
Il est pourtant temps de me marier (Coi.) / Il est pourtant temps (Laf.) (fin) Mme et Melle Langevin interprètent un dernier couplet de la chanson commencée à l’item précédent : Il est pourtant tant de me marier, sous forme de dialogue. L’une chante les paroles de la mère et l’autre de sa fille qui veut se marier et trouve toujours de quoi répondre à sa mère qui lui dit qu’elle n’a pas d’habits, de pain, de vin ni de lit pour se marier. Dans ce dernier couplet la fille n’a pas de galant. Ce duo est applaudit.
Mariée à un tailleur de vigne (Coi.) / La mariée aux vignes (Laf.) Après avoir été présentée, Mme Louis Martel interprète la chanson Mon père m’a mariée à un bêcheur de vigne, dans laquelle une femme dont le mari la bat demande au curé de la dé-marier. Les personnes de l’assemblée répondent à la chanson.
La marchande de velours (Coi.) / Le marchand de velours (Laf.) Après avoir été présentée, Mme Girault interprète la chanson Mon père m’a mariée avec un marchand de velours, dans laquelle, une femme mal mariée doit aller travailler à la boutique de son mari qui l’a tenue éveillée toute la nuit pour lui parler. L’enregistrement s’arrête avant la fin de la chanson et tourne en boucle pendant quelques secondes.
Le frère qui met sa sœur à l’épreuve (Coi.) / La sœur mise à l’épreuve (Laf.) Après avoir été présenté, Louis Prineau interprète la chanson du Frère Simon dans laquelle un homme dialogue avec sa mère puis va trouver sa sœur, bergère aux champs pour tester sa vertu. Il est applaudi par l’assemblée.
Du haut de la Bertaudière (enq.) Fin d’un enregistrement de la complainte du frère Simon par Louis Prineau. Une informatrice présente la chanson de Yves Girault avant que celui-ci ne la chante : Du haut de la Bertaudière. Dans cette chanson, un homme raconte les différentes étapes de sa vie. L’enregistrement coupe à plusieurs reprises. M. Girault est applaudi par l’assemblée qui a répondu à la chanson.
L’apprenti pastouriau (Coi./Laf.) (début) Après avoir été présenté, un informateur prénommé Yves interprète la chanson Quand j’étais chez mon père tout petit garçonnia, dans laquelle un jeune berger va garder les agneaux mais se fait emporter le plus beau par un loup. Les personnes de l’assemblée présentent répondent au chanteur. L’enregistrement coupe avant la fin de la chanson.
Le paysan qu’on a envoyé à la guerre (Coi.) (fin) Yves Girault interprète la fin de la chanson du départ au régiment dans laquelle le narrateur raconte comme il est parti au régiment où il y a été habillé et envoyé à la citadelle comme sentinelle. Il est applaudi par l’assemblée présente.
Le bouquet demandé par celui qui va-t-en guerre (Coi.) / Le bouquet (Laf.) (début) Après avoir été présenté, Yves Girault interprète la chanson du départ au service Je me suis levée par un beau matin dans laquelle un homme parle avec sa belle à la veille de son départ pour le régiment. Plusieurs femmes de l’assemblée répondent. L’enregistrement est coupé avant la fin de la chanson.
L’apprenti pastouriau (Coi./Laf.) (fin) L’enregistrement débute alors que la chanson est déjà commencée. Un informateur interprète la chanson Quand j’étais chez mon père tout petit garçonnia, dans laquelle un jeune berger va garder les agneaux mais se fait emporter le plus beau par un loup. Les personnes de l’assemblée présentent répondent au chanteur et applaudissent à la fin.
Le paysan qu’on a envoyé à la guerre (Coi.) Après avoir été présenté, Yves Girault interprète la chanson du départ au régiment dans laquelle le narrateur raconte comme il est parti au régiment où il y a été habillé et envoyé à la citadelle comme sentinelle. Il est applaudi par l’assemblée présente. Début de la chanson "Le mandement", enregistrée au numéro d’inventaire UPOI_ATP_0005_0002_017
Le bouquet demandé par celui qui va-t-en guerre (Coi.) / Le bouquet (Laf.) (fin) L’enregistrement début alors que la chanson est déjà commencée. Yves Girault interprète la fin de la chanson de départ au service Je me suis levée par un beau matin dans laquelle un homme parle avec sa belle à la veille de son départ pour le régiment. Plusieurs femmes de l’assemblée répondent. Il est applaudi par l’assemblée. Suite et fin de la chanson "Je me suis levé par un beau matin", enregistré au numéro d’inventaire UPOI_ATP_0005_0002_019
Saute Marie, Marie Saute (doc.) chanté et dansé Une informatrice annonce que les feuilles vont danser. Un homme montre la danse et l’assemblée chante des paroles pendant que des personnes dansent. La présentatrice annonce que l’assemblée va passer à table.
Ah ! restons-y à table (Coi.) / J’ai un coquin de frère (Coi.) / Le berger charmant (Laf.) (fin) L’enregistrement débute alors que la chanson est déjà commencée. Mme Vige Langevin interprète la fin de la chanson Le plaisir d’être à table dans laquelle elle relate les agréments de la table. L’assemblée répond.
Le curé poseur de dents (Coi.) / Le valet qui compte les dents de la belle (Laf.) Après avoir été introduit, J. Martel interprète la chanson à répondre Le vicaire de Challans dans laquelle une homme aime une jeune fille de quatorze ans dont la mère aimerait qu’il en soit de même avec elle. L’assemblée répond.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) (début) Après avoir été introduite, Mme Louise Martel interprète la chanson La meule du moulin, à laquelle répondent en dansant les personnes de l’assemblée. La chanson évoque une femme dont le mari le mari est absent. S’il la bat elle ira trouver réconfort auprès des moines et des abbés.
J’ai perdu hier soir ici (Coi.) / Le mari (Laf.) (fin) L’enregistrement débute après le début de la chanson. Mme Ludivine Langevin interprète la fin de la chanson énumérative L’a été perdu ici dans laquelle une femme énumère les habits perdus par son mari qu’elle doit retrouver pour avoir son amour. Les personnes de l’assemblée répondent et dansent. Elle est applaudit.
Le cavalier revenant de La Rochelle (Coi.) / M’en revenant de la jolie Rochelle (Laf.) Après avoir été introduite, Mme Louise Martel interprète la chanson M’y promenant le long de la rivière, dans laquelle un homme choisi la plus belle de trois demoiselles mais est déçu lorsqu’il se retrouve seul avec elle. L’assemblée l’accompagne pour chanter le refrain de bon cœur et applaudit sa prestation.
La Flamande qui a tant d’amoureux (Coi.) / La mariée s’y baigne ou La merveilleuse nuit de noces (Laf.) La présentatrice annonce qu’il va falloir pousser les tables pour pouvoir danser et que un homme prénommé Jean-Pierre va chanter un branle pendant ce temps. Elle commence à chanter et l’homme poursuit. L’assemblée répond à sa chanson en rangeant.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) (fin) L’enregistrement débute alors que la chanson est déjà commencée. Mme Louise Martel interprète la fin de la chanson La meule du moulin, à laquelle répondent en dansant les personnes de l’assemblée. La chanson évoque une femme dont le mari le mari est absent. S’il la bat elle ira trouver réconfort auprès des moines et des abbés. Elle est applaudi par l’assemblée.
J’ai perdu hier soir ici (Coi.) / Le mari (Laf.) (fin) Après avoir été introduite, Mme Ludivine Langevin interprète la chanson énumérative L’a été perdu ici dans laquelle une femme énumère les habits perdus par son mari qu’elle doit retrouver pour avoir son amour. Les personnes de l’assemblée répondent et dansent. Elle est applaudit.
T’as perdu ta queue - Autres airs (doc.) joués à l’accordéon L’informateur interprète une suite de trois airs de danse (maraîchines) dont T’as perdu ta queue (inf.) en première position. On entend des personnes danser sur cette suite d’airs. L’assemblée applaudit.
La porte mal fermée (Coi.) / La fille surprise par ses parents (Laf.) (début) Après avoir été introduite, Mme Martel interprète la chanson Mon père est au moulin, dans laquelle une jeune fille reste seule chez elle avec les recommandations de ses parents de bien fermer la porte. Les personnes de l’assemblée répètent certaines phrases. Mme Martel se reprend dans les paroles. Un piano accompagne au milieu de la chanson. L’enregistrement est interrompu avant la fin de la chanson.
La porte mal fermée (Coi.) / La fille surprise par ses parents (Laf.) (fin) Mme Martel interprète la fin de la chanson commencée à l’item précédent Mon père est aux noces dans laquelle une jeune fille reste seule chez elle avec les recommandations de ses parents de bien fermer la porte. Les personnes de l’assemblée répètent certaines phrases et applaudissent à la fin. Suite et fin de la chanson "Mon père est au moulin", enregistrée au numéro d’inventaire UPOI_ATP_0005_0002_033
Danse de l’angoise (inf.) jouée à l’accordéon Après avoir été introduit, l’informateur interprète la danse de l’angoise à l’accordéon. On entend des personnes danser. Les gens de l’assemblée applaudissent à la fin du morceau.
Danse de la catin (inf.) jouée à l’accordéon (fragment) Après avoir été introduit, l’informateur interprète la danse de la catin à l’accordéon. On entend des personnes danser. L’enregistrement est coupé au milieu du morceau. La mélodie semble être un air de maraîchine (doc.)
Danse de la guitounelle (inf.) jouée à l’accordéon L’informateur interprète la danse de la guitounelle à l’accordéon. On entend des personnes danser et parfois encourager l’accordéon. Ils sont applaudis à la fin. La mélodie semble être un air de maraîchine (doc.)
Danse des mouchoirs (inf.) jouée à l’accordéon Après avoir été introduit, l’informateur interprète la danse des mouchoirs à l’accordéon. On entend des personnes danser. Ils sont applaudis à la fin de la danse. La présentatrice introduit par la suite une chanson de M. Prineau. Les mélodies semblent être des airs de maraîchine (doc.)
Danse de la catin (inf.) jouée à l’accordéon Après avoir été introduit, l’informateur interprète la danse de la catin à l’accordéon. On entend des personnes danser. Ils sont très applaudis à la fin de la danse. Les mélodies semblent être des airs de maraîchine (doc.)
Danse de la catin (inf.) jouée à l’accordéon L’informateur interprète la danse de la catin à l’accordéon. On entend des personnes danser. Ils sont applaudis à la fin de la danse. La présentatrice annonce la danse de la guitounelle et on en entend les premières notes avant que l’enregistrement coupe. Les mélodies semblent être des airs de maraîchine (doc.)
La jolie fille du chaudronnier (Coi.) Après avoir été annoncé, Louis Prineau interprète la chanson La fille du chaudronnier en poitevin-saintongeais. Il est applaudit par l’assemblée à la fin de sa chanson.
Les deux amoureux dans la danse I (l’amant congédié d’une fleur) (Coi.) / La fille aux deux amants (Laf.) L’enregistrement commence par des bruits de pas de danse en rythme, puis Yves Girault interprète la chanson à danser Fille qui avez des serviteurs et d’autres personnes répondent. On entend des applaudissements à la fin de l’enregistrement.
L’époussette (Coi.) / Le meunier et la belle (Laf.) La présentatrice invite les personnes qui viennent de se produire à rester pour chanter La Meunière. Mme Martel mène le chant, parfois en alternance avec Yves Girault et Mme Girault lors des parties de dialogue avec un homme dans la chanson, et les autres répondent.
Le moine mis à coucher avec la fille aînée (Coi.) / Le bonhomme mouillé à l’hôtel (Laf.) (fragment) La chanson commence avant le début de l’enregistrement. Mme Martel interprète la fin de la chanson du Fonceur de peners. Un chœur répond sur le refrain. Ils sont applaudis.
Danse du bâton (inf.) jouée à l’accordéon Après avoir été annoncé, l’informateur joue La danse du bâton à l’accordéon pendant que des danseurs exécutent la danse. Les danseurs se mettent à chanter la danse au tralala pendant qu’ils dansent. Ils sont applaudis à la fin du morceau. Cette séquence se reproduit une seconde fois.
L’époussette (Coi.) / Le meunier et la belle (Laf.) (fin) Yves Girault interprète la fin de la chanson de la meunière, un chœur d’autres personnes lui répond. La prestation est applaudie par l’assemblée à la fin de la chanson.
Maraîchine croisée, danse (inf.) Après avoir été annoncé, l’informateur musicien commence à jouer en disant « Eh débrouillez-vous en avant la musique ». Il s’arrête après quelques secondes puis reprend. On entend les bruits de pas de pieds des danseurs. Ceux-ci chantent au tralala en dansant sur certaines mélodies.
Le moine mis à coucher avec la fille aînée (Coi.) / Le bonhomme mouillé à l’hôtel (Laf.) (fragment) Après avoir été annoncée, Mme Martel interprète la chanson du Fonceur de peners dans laquelle un homme qui a travaillé ne souhaite pas dormir dans la grange mais accepte de dormir avec la fille. Un chœur répond sur le refrain. Ils sont applaudis à la fin de la chanson.
C’est entre nous les jeunes filles (inf.) Après avoir été annoncée, Mme Martel interprète la chanson C’est entre vous les jeunes filles, dans laquelle une femme déplore que son mari ai changé d’attitude à son égard après le mariage. Une chœur de femme répond à la chanson.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) (début) La présentatrice annonce que la grand’danse va être menée à la goule. Les danseurs se préparent. Louis Prineau interprète la chanson La maison de Nicole dans la ronde. On entend les pas des danseurs et leurs réponses dans la ronde. L’enregistrement s’arrête de manière abrupte au milieu de la chanson.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) (fin) Louis Prineau interprète la fin de la chanson La maison de Nicole, dans la ronde. On entend les pas des danseurs et leurs réponses. Ils sont fortement applaudis à la fin de la ronde. Suite et fin de la grand’ danse chantée"La maison de Nicole", enregistrée au numéro d’inventaire UPOI_ATP_0005_0002_050
La belle a promis (enq.) L’enregistrement revient en boucle trois fois. Après avoir annoncé la fin de la veillée et enchaîne sur la chanson Il est onze heures en ville que toute l’assemblée reprend en chœur.
Quadrille Vendéen, première, deuxième et troisième figures (doc.) Joachim Poitevineau interprète au violon un air de quadrille vendéen à plusieurs figures aussi appelé "Quadrille Bocain". La première figure est "Chaîne anglaise", la deuxième "En avant quatre" et la troisième "Poule". Il fait les annonces des figures de la danse à la voix : "Allez galop", "Chaîne des dames", "En avant deux", "Balancez" (etc.). Joachim Poitevineau interprète les deux dernières figures du quadrille dans l'item suivant : UPOI_ATP_0006_0001_002
Quadrille Vendéen, quatrième et cinquième figures (doc.) Joachim Poitevineau interprète au violon les deux dernières figures d'un air de quadrille vendéen aussi appelé "Quadrille Bocain". La quatrième figure est "Pastourelle" et la cinquième "Galop". Il fait les annonces des figures de la danse à la voix : "Rond", "Balancez", "Deuxième pastourelle en avant", "Chaîne des dames", "Allez galop" (etc.). Joachim Poitevineau interprète les trois premières figures du quadrille dans l'item précédent : UPOI_ATP_0006_0001_001
Avant-deux, moulinet (enq.) Joachim Poitevineau interprète au violon un air d'avant-deux puis de moulinet. Il fait les annonces des figures de la danse à la voix : "En avant-deux", "Balancez", "Rassemblez" (etc.) Joachim Poitevineau annonce la marche de l'enregistrement suivant : UPOI_ATP_0006_0001_004
Marche pour conduire les mariés à la messe (inf.) Joachim Poitevineau interprète à la clarinette un air de marche, il annonce lui-même que c'est une marche pour conduire la mariés à la messe. Joachim Poitevineau annonce la marche à la fin de l'enregistrement précédent : UPOI_ATP_0006_0001_003
Marche pour conduire les mariés à la messe (inf.) Joachim Poitevineau interprète à la clarinette un air de marche pour conduire les mariés à la messe.
Avant-quatre (enq.) Joachim Poitevineau interprète à la clarinette un air d'avant-quatre.
Raspa (enq.) Joachim Poitevineau interprète à la clarinette un air de danse la "Raspa".
Samba "J'ai oublié quelque chose au Chili (enq.) Joachim Poitevineau interprète à la clarinette un air de Samba "J'ai oublié quelque chose au Chili". On entends les enquêtrices, l'informateur et une femme discuter après qu'il ait interprété le morceau, on ne comprends pas bien les propos de cette discussion.
La boulangère, rond (inf.) Joachim Poitevineau interprète au violon un air de rond "La boulangère". Il annonce à la voix les deux parties de la danse "Rond" et "Boulangère".
Scottish anglaise à sept temps (inf.) Joachim Poitevineau interprète au violon un air de scottish anglaise à sept temps.
La gigouillette (inf.) Joachim Poitevineau interprète au violon un air de gigouillette. Dans les notes d'enquêtes les enquêtrices précisent que l'ont retrouvent cet air partout en mi-Vendée.
Polka piquée (inf.) Joachim Poitevineau interprète au violon un air de polka piquée. L'air est suivi d'une discussion entre les enquêtrices et l'informateur concernant une danse et la façon de danser. L'enregistrement n'est pas de bonne qualité à la fin pendant la discussion.
Chanson de la mariée (enq.) Joachim Poitevineau interprète une chanson de la mariée qui raconte le déroulement d'une noce.
Le galant mangé par les rats (Coi.) / Le galant oublié dans l’armoire (Laf.) Joachim Poitevineau interprète la chanson "Perrine était chambrière" dans laquelle un galant se cache dans un coffre pour ne pas se faire surprendre avec sa maîtresse par le curé. Celle-ci l'oublie dans le coffre et il est alors mangé par les rats.
Chanson de la mariée (enq.) Joachim Poitevineau interprète une chanson de mariage qui raconte les péripéties d'une noce.
Le galant mangé par les rats (Coi.) / Le galant oublié dans l’armoire (Laf.) Joachim Poitevineau interprète la chanson "Perrine était chambrière" dans laquelle un galant se cache dans un coffre pour ne pas se faire surprendre avec sa maîtresse par le curé. Celle-ci l'oublie dans le coffre et il est alors mangé par les rats.
Apportez quelque chose aux mariés (enq.) Monsieur Brin interprète au violon et à la voix un air de danse de mariage "Apportez quelque chose aux mariés".
Pas d'été (enq.) Monsieur Brin interprète au violon un air de pas d'été.
Fourre ta main (enq.) Monsieur Brin interprète au violon et à la voix un air d'avant-deux "Fourre ta main".
La mouchampaise (enq.) Monsieur Brin interprète au violon deux airs de danse dont un appelé par les enquêtrices "La mouchampaise". A la fin de l'enregistrement il essaie de chanter les paroles de l'air qu'il joue en même temps au violon.
Mes petits amis (enq.) (fragment) Monsieur Brin interprète au violon un air de danse "Mes petits amis". L'enregistrement n'est pas de bonne qualité, on entends qu'une partie du morceau.
La mouchampaise (enq.) Monsieur Brin interprète "La mouchampaise" au violon, un air de danse.
Le berger et la bergère (enq.) Monsieur Brin interprète une marche de noces au violon et à la voix "Le berger et la bergère" dans laquelle un berger demande à une bergère de chanter une chanson.