Personne : Bourreau Jeanne-Marie
- Prénom
- Jeanne-Marie
- Nom
- Bourreau
- Civilité(s)
- Mlle
- Alias
- Jeanne-Marie
Rôles
- Enquêteur
Naissance
- Date de naissance
- Lieu de naissance
Décès
- Date de décès
- Lieu de décès
- Biographie
Professeur d’éducation musicale au sein du lycée de jeunes filles de Niort, Mme Bourreau a été la contributrice chargée de rassembler des informations préliminaires pour les missions Saintonge 69 et Deux-Sèvres 70. Elle était également membre de l’équipe de recherche Ethnomusicologie du Musée-laboratoire et élève titulaire à l’École des Hautes Études,
- URI
Contributions
Enquêteur
Item | Description |
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Apprentissage du violon et du métier de violoneux | M. Aubrière raconte ses premiers bals et donne des informations sur son père. |
Apprentissage du violon et pratique de la musique | Charles Aubrière évoque son père et sa pratique de la musique en général, dont sa pratique du violon. |
Apprentissage du violon | M. Aubrière évoque son professeur de violon, M. Gabaret ainsi que sa famille de musiciens . |
Déroulement musical des noces | Charles Aubrière parle de sa pratique de musicien dans les noces, les déplacements, le bal, les lieux...et quelques coutumes de noces. |
Déroulement des noces en musique, les bals sur l'Île d'Oléron, les musiciens, le répertoire. Extraits de chansons de noces. | Charles Aubrière évoque le déroulement complet des noces en musique, les bals sur l'Île d'Oléron, les musiciens, le répertoire… |
Énonciation de l’étiquette dans le violon et évocation du jeu de violon. | Charles Aubrière lit l’étiquette présente dans son violon et parle de sa manière d’en jouer. Cet item pourrait faire partie de l’enquête suivante. |
Le muet (inf.); Reprise du jeu de violon | Charles Aubrière interprète au violon un air à 2 parties. Il évoque également sa reprise du violon après 15 ans d’arrêt, qu’il trouve plus moins difficile qu’il ne le pensait. Les carnets d'enquête mentionnent "Marches pour noces" et "Marche nuptiale". (Cf. items 2 et 20 de cette enquête). L’air reprend le timbre de « Bon voyage Monsieur Dumollet » (cf item 3) |
Marche (inf.) | Charles Aubrière interprète au violon un air à 2 parties. Les carnets d'enquête mentionnent "Marches pour noces" et "Marche nuptiale". (Cf. Items 1 et 20 de cette enquête). |
Valse (inf.) | M. Aubrière joue une valse comprenant quelques chromatismes, modulations. Le violon semble accordé approximativement 3 demi-tons au-dessous du la 440Hz. L’informateur utilise la technique du démanché avec des glissés. Quelques doubles cordes à vide. Il transpose à l'octave supérieure. Le carnet de Mlle Boudreau (enquêtrice) précise "Marche pour noces", celui de Mlle Pichonnet-Andral (enquêtrice) précise "Marche nuptiale". |
Viens, poupoule (enq.) | Charles Aubrière joue au violon l’air de la chanson « Viens, poupoule ! » (1902). |
Air de Siebel (doc.) | L’informateur tente de jouer au violon et fredonne l'air de Siebel : « Faites-lui mes aveux », issu de l'opéra Faust (1859) de Charles Gounod. |
Le muet (inf.) | Charles Aubrière joue à nouveau "Le muet" (cf. item 1). Air à 3 parties de forme [ABAC] joué plusieurs fois, avec fin sur la partie A. L’air reprend le timbre de « Bon voyage Monsieur Dumollet », et module sur la partie C. L’informateur utilise la technique du démanché. |
Polka piquée : La Fille de la Meunière (enq.) | M. Aubrière joue la mélodie au violon, puis la transpose à l’octave supérieure (difficultés). Le carnet d'enquête de Mlle Bourreau intitule l'air "Polka piquée". |
Rondes à baisers et à mariages fictifs (Coi.) | M. Aubrière chante un extrait de l'air et décrit sa chorégraphie. Présent dans : Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest. (2 vol., in-4°, musique) (rééd. Niort, Clouzot, 1864-1865)-Bujeaud (Jérôme) (Laffitte Reprints, Marseille-1975), page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers. Bien que non référencée selon la classification Coirault, cette chanson fait partie de la rubrique 73 Rondes à baisers et à mariages fictifs. |
Le gros Pierre (inf.) ; Air au violon | Charles Aubrière joue « Le gros Pierre » au violon, mais dit qu’il ne s’en rappelle plus. Il joue un autre air sur un mouvement de marche. Le carnet d'enquête de Mlle Boudreau précise "ronde de noces" pour "Le gros Pierre". Autre version présente dans : Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest, Bujeaud Jérôme, page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers. |
La Matchiche (inf.) au violon | Charles Aubrière joue La Matachiche, et précise : « c’est nouveau, ça date de 1903, par là ». |
Le gros Pierre (inf.) au violon | Charles Aubrière joue « Le gros Pierre » au violon et décrit le déroulement chorégraphique. Il reprend l’air en le transposant dans l’aigu. Présent dans : Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest. (2 vol., in-4°, musique) (rééd. Niort, Clouzot, 1864-1865)-Bujeaud (Jérôme) (Laffitte Reprints, Marseille-1975), page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers. |
La Sauce aux lumats; La Fille de la Meunière; Une marche (inf.) | M. Aubrière joue la fin de "La Sauce aux lumats" (d'après le carnet de répertoire des Déjhouqués), puis enchaîne sur "La fille de la meunière" (nommée "Polka piquée" sur le carnet d'enquête de Mlle Bourreau), puis sur "une marche" (cf. items 15 et 16). Il précise à l'item suivant que la marche de noces est tirée de la deuxième figure de quadrille. Il rejoue la même à l'item 28 de l'enquête. "La fille de la meunière" est nommée "La Gigue" dans le carnet de répertoire des Déjhouqués. |
Marche (inf.) au violon | Témoignage sur l'utilisation en marche de noces de la deuxième figure de quadrille, puis interprétation d'une marche (Cf. items 2 et 14 de cette enquête) |
Marche (inf.) au violon | Interprétation d'une marche (Cf. items 2 et 13 de cette enquête) |
La Sauce aux lumas (enq.) au violon | Charles Aubrière joue en lisant une partition de Gilbert Bourassé (d'après Mlle Bourreau) ou Bourassé (d'après Mlle Pichonnet-Andral). Il indique que la tonalité n'est pas adaptée au violon. Mention d'un groupe folklorique (Les Déjhouqués ?). (Cf. item 12 et 16) |
La Sauce aux lumas (enq.) au violon | Charles Aubrière joue le même air d'après la partition de G. Bourassé en le transposant dans une tonalité plus naturelle au violon. (Cf. item 12 et 15) |
Polka piquée ; Première figure de quadrille : Le Polichinelle (enq.) au violon | Charles Aubrière ne jouait jamais cette polka piquée. Il la déchiffre sur partition. La figure de quadrille est jouée entièrement à l'item suivant. |
Première figure de quadrille : Le Polichinelle (enq.) au violon | Charles Aubrière joue à la lecture de la partition. Cet air fait partie du carnet de répertoire du groupe folklorique oléronnais "Les Déjhouqués". |
Deuxième figure de quadrille : Le Polichinelle (enq.) au violon | Charles Aubrière joue à la lecture de la partition. M. Aubrière ajoute : "J'ai eu, attention... trente airs de quadrille". Cet air fait partie du carnet de répertoire du groupe folklorique oléronnais "Les Déjhouqués". |
Achat de partitions, du violon, composition des musiciens de bals | Charles Aubrière évoque l'achat des partitions, du violon, et sur la pratique des bals. M. Aubrière évoque également avoir fait partie de plusieurs ensembles musicaux. |
Acquisition du violon et métier de musicien | Témoignage de Charles Aubrière à propos de son apprentissage du violon et des instruments dont il a joué. |
Fabrication de sifflets en frêne | Mme Aubrière témoigne de la fabrication de sifflets en tiges. |
Pratiques de Charles Aubrière, évolution des danses, Trianon de Marennes | Mme Aubrière évoque de nouveau la fabrication des sifflets. M. Aubrière témoigne à propos de son apprentissage du violon, des danses d’aujourd’hui et d’hier, des salles de bal et chante . L'air est nommé "Mazurka" par les enquêtrices. (il reprend l'air chanté au violon à l'item suivant) |
Air à danser et "Mon Paris" au violon ; Les bals au café | M. Aubrière joue au violon des airs qu'il jouait entre 1926 et 1946. Le premier air est intitulé "Mazurka" par les enquêtrices. (chanté à l'item précédent) |
Mon Paris (extrait) | M. Aubrière chante. (air joué au violon à l'item précédent) |
Mon Paris, air de chanson jouée au violon | M. Aubrière joue au violon. (air chanté et joué au violon aux items précédents) |
Valencia, chanson jouée au violon et chantée | M. Aubrière joue au violon et chante. |
Une marche (inf.) ; Marche nuptiale (enq.) ; Valse (extrait) au violon | M. Aubrière joue au violon une marche pendant que C. Marcel-Dubois filme. Puis un extrait de la valse jouée à l'item 3. (jouée à l'item 12 de l'enquête) |
Femmes que vous êtes jolies (fragment) (enq.) | Essai de la chanson "Femmes que vous êtes jolies" Composée en 1913; L'informatrice dit ne pas être sûre de l'air de la musique |
Femmes que vous êtes jolies (enq.) | Chanson de la Belle Époque "Femmes que vous êtes jolies" interprétée par Mme Ricou. Composée en 1913 |
Origines et apprentissage de la chanson "Femme que vous êtes jolie" | Témoignage à propos de l’apprentissage d’une chanson à la mariée par Mme Ricou et discussion sur cette chanson "Femme que vous êtes jolie" (chantée à l'item précédent). |
Femme que vous êtes jolie (dernier couplet) (doc.) | Dernier couplet de la chanson « Femmes que vous êtes jolies » interprété par Mme Ricou Composée en 1913 |
Obligations familiales empêchant de faire de la musique | Mme Ricou évoque les obligations familiales qui l’on empêchée d’apprendre la musique |
Répertoire et pratique de chansons ; Bénédiction d'un père (Laf.) | Mme Ricou évoque les noces auxquelles elle a assistées et les cahiers de son père. Elle tente de chanter "Chanson à la mariée" Seulement le premier couplet |
Cahiers de chansons et pratique ; Viens mon bateau poussé par le rêve (inf.) | Mme Ricou évoque les cahiers de son père, ainsi que son répertoire de chansons. Elle chante un fragment de chanson. |
Formulette sur les doigts de la main (enq.) | Formulette à chanter sur les doigts de la main, interprétée par Mme Aubrière |
Formulette sur les doigts de la main (enq.) | Reprise chantée de la formulette à chanter sur les doigts de la main. |
Tan de litan tan tan taine (enq.) | Formulette chantée par Mme Ricou Formulette que sa mère chantait notamment avec un enfant sur les genoux |
Avril vient de parer la terre (enq.) | Chanson interprétée par Mme Ricou Thématique du mois d'Avril |
Amour d' avril (enq.) | Chanson interprétée et discussion sur les chansons de son père ainsi que sur le répertoire qu’elle aime chanter. Thématique du mois d'Avril |
Répertoire de chansons en poitevin-saintongeais et pour des occasions particulières | Mme Ricou évoque les chansons en poitevin-saintongeais, qu’elle n’a pas chantées, ainsi que les répertoires qu’elle aimait interpréter, aux noces ou non. Les enquêtrices cherchent à connaître des chansons se chantant dans des occasions particulières. Mme Ricou fredonne la chanson des Bretons chantées lors de la Saint-Jean. |
Coutumes de la nouvelle année et du Mardi-gras | M. Charles Aubrière évoque les coutumes réalisées lors de la nouvelle année. |
Coutumes du mardi-gras ; C'était le soir du Mardi-gras (premier couplet) (enq.) | Témoignage de Charles Aubrière sur le Mardi-gras et chanson interprétée par Marie-Henriette Ricou Seulement le premier couplet |
Entendez-vous (fragments) (enq.) | Noël, "Entendez-vous" chantée Chanson incomplète |
Repas d’Anciens combattants et répertoire de chant | Mme Marot évoque un repas lors duquel elle a chanté. Elle parle des différents patois ainsi que de son apprentissage du piano. |
Repas d’Anciens combattants et informations sur son mari | Mme Marot évoque un repas lors duquel elle a chanté. Elle parle également de son mari et prononce quelques mots en charentais |
Le mariage d'Agathe (enq.) | Mme Marot interprète une chanson en charentais. |
Quand le soleil s'enfuit à l'horizon (enq.) | Cécile Marot interprète la chanson populaire Quand le soleil s’enfuit à l’horizon. Créée en 1888 |
Après quatre ans d'espérance (enq.) | Mme Marot chante la chanson populaire Après quatre ans d’espérance. On l'entend tourner une page Créée en 1919 |
Les perots (début) (enq.) | Cécile Marot chante le début de la chanson La perots, en poitevin-saintongeais. La fin est chantée sur la piste suivante de cette enquête |
Les perots (fin) (enq.) | Cécile Marot chante la fin de la chanson La perots, en poitevin-saintongeais. Le début est chanté sur la piste précédente de cette enquête |
Parcours de vie de Cécile Marot | Cécile Marot témoigne en compagnie de son mari à propos de son enfance à l’école, de son aptitude au chant, son apprentissage du piano, son métier de couturière, son mariage et de la manière de mener les bœufs. |
Coutumes de Noël | On entend seulement une phrase de M. Marot à propos de Noël |
Coutumes de Carnaval | Mme Marot évoque les coutumes de Mardi-Gras. |
Coutumes de Pâques | Mme Marot témoigne sur les coutumes et chansons de différentes fêtes comme Pâques et Toussaint |
Bon laboureur, le jour se lève (enq.) | Cécile Marot chante une chanson et témoigne à propos de son cahier de chansons et de l’apprentissage de la chanson |
Nous irons tous les deux (fragments) (enq.) | Chante un fragment de la chanson et témoigne d'une cavalcade |
Franchette à l'exposition (fragment) (enq.) | Mme Marot tente de se souvenir de la chanson. Fragment Monologue sur l'exposition universelle de 1900 au champ de Mars. |
Suzon en chemin de fer (enq.) | Mme Marot interprète une chanson qu’elle chantait pour les fêtes de l’école |
O le langue français (enq.) | Mme Marot chante "O le langue français" une parodie d'anglais, puis raconte la partie parlé du monologue Chantait cette chanson pour les fêtes de l’école |
Chanson du domestique (enq.) | Chante le début de la chanson et témoigne sur ses répétitions, les veillées et les danses Chantait cette chanson pour les fêtes de l’école |
Dis-donc mon gros Pierre (Coi.) (fragment) | Essai de la chanson Mon gros Pierre, chante au tralala et information sur la danse (ronde à baisers) Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest. (2 vol., in-4°, musique) (rééd. Niort, Clouzot, 1864-1865)-Bujeaud (Jérôme) (Laffitte Reprints, Marseille-1975), page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers |
Le soir (enq.) - Informations sur les marchands de musique | Cécile Marot chante des couplets de la chanson et donne des informations sur les marchands de musique. Chanson incomplète, poème de Lamartine, imprimé gardé dans le cahier de chansons de Cécile Marot et dédicacé à Pauline Viardot |
Le langage des fleurs (enq.) | Chante des couplets de "Le langage des fleurs" qu'elle avait apprise au piano Rondeau Valse, créé par Amiati à la Scala et Chapini au Jardin de Paris |
On m'a coupé l'subiet (inf.) ; Informations sur la chanson et sa transmission | M. Troussereau chante une chanson en charentais apprise récemment et évoque la manière dont il l’a apprise et de quelle informatrice. |
Les drôlesses d'aneut (inf.) | M. Troussereau chante la chanson en charentais en lisant les paroles. Sur le même air que "Les perots", Marot, Cécile Enquête 0004, item 007 |
Ma Nastasie (inf.) | M. Botineau interprète la chanson Ma Nastasie en charentais. |
Félicia (premier couplet) (inf.) | M. Botineau chante le premier couplet d’une chanson en charentais Reprise de la chanson à l'item suivant de l'enquête |
Félicia (suite) (inf.) | M. Botineau interprète une partie de chanson en charentais à partir du second couplet. Premier couplet de la chanson présent à l'item précédent de l'enquête |
Vie de Goulebenèze | M. Botineau évoque la vie de Goulebenèze, chansonnier charentais. |
Ôte toi de là que je m'y mette (inf.) | M. Botineau interprète une chanson de Goulebenèze en charentais. Du répertoire de Goulebenèze (pseud. de Poitevin, Marc-Henri Évariste) |
La demande en mariage (inf.) | M. Botineau interprète une chanson de Goulebenèze en charentais. Sur l'air de "Félicia" Item 004 et Item 005 de cette enquête |
Dis-donc mon gros Pierre (Coi.) | M. Troussereau interprète la chanson Dis-donc mon gros Pierre. Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest. (2 vol., in-4°, musique) (rééd. Niort, Clouzot, 1864-1865)-Bujeaud (Jérôme) (Laffitte Reprints, Marseille-1975), page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers |
Rondes de noces le lendemain des noces | M Botineau et M. Troussereau évoquent les rondes se dansant lors des noces autour d’un feu de balais, ainsi que la danse du tapis, sur la demande des enquêtrices. |
Chantons notre Île lumineuse (enq.) | La famille Troussereau chante en chœur Chanson sur l'Île d'Oléron composée par un médecin de l'Île d'Oléron |
Harmonie de St-Savinien et animation d'une noce à la clarinette | Robert Boquet témoigne sur son parcours de musicien avant et après guerre. |
Apprentissage de musicien de Robert Bocquet | M. Boquet témoigne sur l'apprentissage de la musique et de la clarinette auprès de divers musiciens, sur son parcours de musicien de bal et de noces. |
Musique jouée aux noces | Robert Bocquet évoque sa pratique musicale lors des noces. |
Répertoire de chansons de noces | Robert Bocquet évoque le répertoire de chansons chantés lors des noces |
Répertoire de chansons de noces de Robert Bocquet | Robert Bocquet évoque les chansons qu’il chantaient lors des noces |
Choix du répertoire de Robert Boquet ; Marche de Noces | Robert Boquet évoque le répertoire qu’il aimait jouer. Il chante un air au tralala. Air chanté au tralala. L'informateur pense que l'air a au moins 100 ans. |
Acquisition de clarinette - Groupes folkloriques Les Barguenas et Les Batégails | Témoignage sur sa clarinette et sur les groupes folkloriques Les Barguenas et Les Batégails |
Apprentissage d’une marches de noces | Extrait chanté et témoignage sur une marche de noces qu'il s'apprête à jouer à la clarinette Fredonné, air incomplet |
Marches de noces (inf.) à la clarinette | Air de marche de noces jouée à la clarinette |
Marches de noces ou Marche pour mariés (inf.) à la clarinette | Air de marche de noces jouée à la clarinette L'informateur précise que l'air n'a pas de nom particulier : Marche pour noces, ou Marche pour mariés, ou Marche de noces |
Déroulement des noces pour un musicien | Robert Boquet évoque le déroulement d’une noce pour le musicien et différentes coutumes s’y rapportant. |
Le prisonnier des Hollandais ou Auprès de ma blonde (Coi.) / Par derrière chez ma tante (Laf.) | Robert Bocquet chante et donne des informations sur l'usage de cette chanson durant les noces. |
A combien sont les oignons Marie-Madeleine ? (inf.) | Robert Bocquet chante et donne des informations sur l'usage de cette chanson durant les noces. L'informateur ne se souvient pas des autres couplets |
Lieux de danse, répertoires et ensembles de musiciens | Témoignage sur les salles de danse lors des noces, sur le répertoire de danses de bal et les ensembles de musiciens |
Les frairies, tarifs des musiciens de bal | Témoignage sur les frairies, sur les tarifs des musiciens de bal, sur l'achat de sa clarinette |
A la pêche des moules (Coi.) | Robert Bocquet chante mais ne se rappelle pas de tous les couplets. Il parle de chansons licencieuses. L'informateur donne cette chanson en exemple pour les chansons à danser, sans préciser la danse. R. Boquet ne se souvient pas de tous les couplets. Il ajoute qu'il y a d’autres chansons qu’on ne peut pas chanter en public : “c’est très vilain”. |
Entrée de bal de Saintonge (enq.) | Robert Bocquet chante le "début du bal breton", et donne des informations sur l'origine et la modification des paroles Plusieurs versions (paroles) |
La Circassienne (inf.) | R. Boquet chante et commente la chanson de danse "La Circassienne". |
Essai de lecture à vue à partir de l'ouvrage de Bujeaud ; A la claire fontaine ou En revenant des noces (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) | R. Boquet déchiffre un air du recueil de J. Bujeaud en chantant le nom des notes. |
A la claire fontaine ou En revenant des noces (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) | R. Boquet chante "En revenant des noces", ne se rappelle plus bien des paroles. Fin de la piste coupée, enchaîne avec "Le cabinet de ma grand-mère". |
Le Brisquet ou Le cabinet à ma grand-mère (inf.) | Robert Bocquet chante Le brisquet et témoigne sur l'ancienneté présumée de l'air. “C’est une danse folklorique”. R. Boquet ne sait pas d'où elle vient, mais pense qu’elle a au moins 120 ou 130 ans. Une partie chantée au tralala. |
A la claire fontaine ou En revenant des noces (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) | R. Boquet chante "En revenant des noces". "Même version que Bujeaud" (enq.) |
Chanter au branle de la goule | Robert Boquet évoque l’expression « chanter au branle de la goule » lorsqu’il n’y avait pas d’instrument. |
Chants composés d'un seul petit refrain | Robert Boquet parle des gavottes de danse : petit couplet. |
Acquisition du répertoire et mémoire ; Extrait de mélodie chantée | Robert Bocquet interprète un air au tralala et évoque sa manière d’apprendre les airs et sa mémoire. Valse ou Bourrée ? |
A la claire fontaine ou En revenant des noces (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) (fragment) | R. Boquet chante "En revenant des noces". "Déchiffré dans le livre de J. Bujeaud" (enq.) |
Chanteurs de la famille de Robert Bocquet et leur répertoire. Activités aux veillées | Robert Boquet évoque sa famille de chanteurs, leu répertoire, ainsi que les activités réalisées lors des veillées. |
Énumération des titres du cahier de chanson du père de Robert Boquet | Témoignage sur son père, chanteur, et énumération des chansons de son répertoire |
Le Bal de l'Hôtel de ville (inf.); énumération des titres du cahier de son père (suite) | L'informateur chante en lisant les paroles sur le cahier de son père, puis d'autres titres de chansons sont énoncés. Chanté en lisant les paroles |
Les Bretelles (enq.) | Chant et évocation de la réception de paroles licencieuses Chanté en lisant les paroles |
Énumération des titres du cahier de chanson du père (suite) | Robert Bocquet fini d’énumérer les titres de chansons écrites sur le cahier de son père et commente. Ce dernier avait 18 ans quand a écrit ce cahier. |
Tu peux t'fouiller mon pauvre' canard (inf.), et énumération des titres du cahier de chansons | Robert Bocquet chante la chanson Tu peux t’fouiller mon pauvre’ canard et énumère des titres du cahier de chansons de son père |
Les passants (inf.) et informations sur le répertoire de sa mère | Robert Boquet interprète la chanson populaire Les passants, que chantait sa mère. Il évoque son métier et les circonstances de chant de celle-ci. |
L'vin bianc (enq.) | M. Boquet interprète une chanson du répertoire de sa mère. Chanson que chantait la mère de l'informateur (cf. item précédent) |
La danse du troupeau (Coi.) / Les moutons égarés (Laf.) | Robert Bocquet interprète la chanson à danser Quand j’étais chez ma grand-mère. Il évoque une autre air et son contexte de chant. "Quand j'étais chez ma grand-mère" contient souvent d'autres couplets en laisse. |
A la claire fontaine ou En revenant des noces (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) | Chant d'un refrain (évoqué à l'item précédent : chanté quand on allait au bal, en se tenant bras-dessus, bras-dessous les uns les autres.) Refrain usuel de la chanson "A la claire fontaine" |
Frairie la Saint-Eutrope à Saintes | Robert Bocquet évoque la « Saint-Eutrope », une frairie sur la place du village où il y avait des jeux pour enfants, des anguilles grillées et autres distractions. |
Marche de noces La Jolie (inf.) à la clarinette | Air de marche de noces jouée à la clarinette, que l'informateur appelle "La Jolie" à l'item précédent. |
Marche de noces (inf.) à la clarinette | Air de marche de noces jouée à la clarinette par Robert Bocquet. |
Marche de noces (inf.) à la clarinette | Air de marche de noces jouée à la clarinette par Robert Bocquet. |
Polka de bal (inf.) à la clarinette | "Petite polka de bal", "qui n'est pas jeune", jouée à la clarinette par Robert Bocquet. Il la jouait dans les bals quand il était jeune. R. Boquet la jouait pour faire danser aux bals. Mélodies "apprises sur partitions manuscrites - communiquées par d'autres musiciens" (enq.). |
Scottish (inf.) à la clarinette - Information sur l'apprentissage sur partitions | Scottish ("EScottish") jouée à la clarinette, témoignage sur les partitions de ces airs Mélodies "apprises sur partitions manuscrites - communiquées par d'autres musiciens" (enq.). |
Valse (inf.) à la clarinette | Robert Boquet interprète une valse à la clarinette. Mélodies "apprises sur partitions manuscrites - communiquées par d'autres musiciens" (enq.). |
Fabrication des mirlitons en sureau | Témoignage sur la fabrication de mirlitons en sureau par Robert Boquet |
Fabrication d’anches en paille de seigle | Témoignage sur la fabrication d’anches en paille de seigle par Robert Boquet |
Fabrication des sifflets d'écorce | Témoignage sur la fabrication de sifflet et énonciation d’un formulette |
Tournées de crécelles pendant la Semaine Sainte | Témoignage sur l’une des coutumes de la semaine sainte : la crécelle passée la veille de Pâques |
Le charivari | Témoignage sur le fonctionnement et le déroulement du charivari |
La Veuze, et les musiciens du groupe folklorique de Robert Bocquet | Témoignage à propos de l’absence de cornemuse en Charente ainsi que sur le groupe folklorique de Robert Boquet |
Le muet (inf.) | L’ensemble "Les Déjhouqués" interprète Le muet. |
Le quadrille, première figure (inf.) | "Les Déjhouqués" interprètent la première figure du quadrille |
Le quadrille, deuxième figure (inf.) | "Les Déjhouqués" interprètent la première deuxième du quadrille |
Le quadrille, troisième figure (inf.) | "Les Déjhouqués" interprètent la troisième figure du quadrille |
Le quadrille, quatrième figure (inf.) | "Les Déjhouqués" interprètent la quatrième figure du quadrille |
Le muet (inf.) | L’ensemble "Les Déjhouqués" interprète Le muet, de nouveau Note d'enquête : "dansé à l’ancienne manière - acrobatique" |
La Circassienne (inf.) | L'ensemble joue La circassienne. On entend les pas des danseurs. Note d'enquête : "Refrain communiqué par la jeune Troussereau “ T’es saoul bonhomme (ter) T’as bu” |
La sauce aux lumats (inf.) | L'ensemble joue La sauce aux lumats. On entend les pas des danseurs. |
Polka piquée (inf.) | L'ensemble joue La polka piquée. On entend les pas des danseurs. |
Entrée de bal de Saintonge (inf.) | L'ensemble joue L'Entrée de bal de Saintonge. On entend les pas des danseurs. |
La Scottish (inf.) | L'ensemble joue La Scottish. On entend les pas des danseurs. |
Marche nuptiale (inf.) au violone ; Information sur l'air joué | René Doublet joue en lisant une partition, commente et fredonne une marche nuptiale. Elle aurait été recueillie par M. Bellivier {orth?} en 1896. Le carnet de notes d'enquête de J.-M. Bourreau indique : "déchiffré sur le bulletin de la SEFCO". Le carnet de notes d'enquête de M. Pichonnet-Andral indique : "appris s/ revue". |
Marche nuptiale (inf.) au violon | René Doublet joue en lisant une partition (même air qu'à l'item précédent). Il demande confirmation aux enquêtrices. Le carnet de notes d'enquête de J.-M. Bourreau indique : "déchiffré sur le bulletin de la SEFCO". Le carnet de notes d'enquête de M. Pichonnet-Andral indique : "appris s/ revue". |
En revenant des noces (enq.) au violon | René Doublet joue et Émilien Doublet commente. Le carnet de notes d'enquête de M. Pichonnet-Andral indique : "version locale". Même air qu'aux items 4, 28, 29. |
En revenant des noces (enq.) au violon | René Doublet reprend l'air joué à l'item précédent. Une enquêtrice indique qu'il s'agit de la version de la page 105 du bulletin de juillet-août 1969 {probablement Le Subiet} de la SEFCO - Société d'Ethnologie et de Folklore du Centre-Ouest. Elle indique également la page de la marche nuptiale qu'il a "chanté" précédemment. Émilien Doublet joue l'air à son tour. Même air qu'aux items 3, 28, 29. |
Marche nuptiale (fragments) (enq.) au violon | René Doublet joue une marche nuptiale (essai). Il précise "on la joue aux noces, celle-ci". Même air qu'aux items 6 et 7. |
Marche nuptiale (fragment) (enq.) au violon | René Doublet joue une marche nuptiale (essai). Il mentionne les tonalités de l'accordéon. Il précise "on la joue aux noces, celle-ci". Même air qu'aux items 5 et 7. |
Marche nuptiale (enq.) au violon | René Doublet joue une marche nuptiale (en entier). Il précise "on la joue aux noces, celle-ci". Même air qu'aux items 5 et 6. |
Marche nuptiale (enq.) au violon | René Doublet joue une marche nuptiale. Il indique : "Une que je jouais aux noces autrefois aussi" (cf. item 7) Même air qu'aux items 9, 10, 23. |
Marche nuptiale (enq.) au violon | Émilien Doublet reprend la marche nuptiale précédemment jouée par René Doublet. Même air qu'aux items 8, 10, 23. |
Marche nuptiale (enq.); Témoignage sur les musiciens de sa famille et sur son apprentissage. | René Doublet reprend la marche nuptiale précédemment jouée Informations sur les musiciens de sa famille et sur la musique au régiment. Même air qu’aux items 8, 9, 23 |
Marche nuptiale (enq.); Marche nuptiale (enq.) | René Doublet joue deux marches nuptiales tenues de ses oncles via des cahiers de musique (cf. item 12). La seconde est reprise aux items 26 et 27. |
Marche nuptiale (enq.); Témoignage sur son apprentissage et sur sa pratique de musicien | René Doublet joue une marche nuptiale tenue de ses oncles via des cahiers de musique. Témoignage sur son apprentissage et sur sa pratique de musicien. |
Les musiques de bal avant 1914. | René Doublet évoque le déroulement des bals et le fait de payer au quadrille dansé. Il pouvait y avoir beaucoup de quadrilles dans un bal. Il parle aussi des partitions. |
Les compositeurs-marchands de musique. | René Doublet évoque la famille Dupeyrat ainsi que d’autre compositeurs de musique de son époque. |
Le virtuose, quadrille (fragments) (enq.) ; Les compositeurs-marchands de musique. | René Doublet joue un air d’avant-deux de quadrille, puis parle des différentes partitions d’éditeurs de musique. |
Valse Souvenir de … (enq.) ; Les compositeurs-marchands de musique et apprentissage de René Doublet | René Doublet joue une valse puis évoque les partitions de cet éditeur. Il témoigne de son apprentissage du violon. Éditée par F. Blocquel |
Les frères Garnier, les cahiers de musique des professeurs de René Doublet | René Doublet évoque les frères Garnier, musiciens reconnus puis les cahiers de ses professeurs de violon. |
La Bertoune / La Bortoune (inf.) à l’accordéon ; Les anciens musiciens. | Émilien et René évoquent le comportement du père de l’un d’eux lors des bals, son tapement de pieds. Dans la fanfare il ne fallait pas taper du pied, sous peine de se faire reprendre par le directeur. Ils parlent d’autres musiciens. Émilien joue un air à l’accordéon. La Bertoune ou Bortoune [orth.?] - Air joué à son groupe folklorique |
Le violon du père de René Doublet. | René Doublet montre aux informatrices le violon de son père. |
Les violons de René et Émilien Doublet ; Accordage du violon du père de René Doublet. | Les informateurs parlent de leurs instruments en accordant le violon du père de René, sorti précédemment. |
Valse allemande (inf.) au violon ; Information sur son oncle | René Doublet joue "une vieille valse allemande qu’on jouait dans le temps" sur le violon de son père. Joué sur le violon de son père Victor Doublet |
Valse allemande (inf.) jouée sur deux violons différents | René Doublet joue "une vieille valse allemande qu’on jouait dans le temps", sur le violon de son père Victor Doublet, puis un extrait sur le sien. Il commente la différence de sonorité. Joué sur le violon de son père Victor Doublet, puis sur celui de René Doublet |
Marche nuptiale (enq.) au violon | René Doublet reprend une marche de noces précédemment jouée Même air qu’aux items 8, 9, 10 |
Marche nuptiale à Machon (enq.) au violon | René Doublet reprend une marche de noces précédemment jouée Émilien Doublet mentionne “la marche à Machon”. Même air qu’à l’item 11 |
Marche nuptiale (enq.) au violon | René Doublet joue une marche de noces. Les carnets d'enquête indiquent qu'il s'agirait de la marche "dite de Machon parce qu'apprise sur le disque de Machon" (Saintes). |
Marche nuptiale (enq.) au violon ; Information sur la source de ses marches | À part la marche dite de Machon apprise sur disque, René Doublet a appris ses airs de marche de ses oncles, qui les avaient appris d’autres vieux musiciens. [Problème de vitesse de la bande magnétique à la fin de l’item] Même air qu'aux items 11 et 27. Air issu du répertoire de ses oncles Fernand Thenaud et Alphonse Doublet. |
Marche nuptiale (enq.) au violon | Le carnet d’enquête de M. Pichonnet-Andral indique “Reprise de la dernière marche de noces [...] car à l’écoute, il ne la trouvait pas “en mesure”. À l’écoute, il est satisfait de cette 2e version.” Même air qu'aux items 11 et 26. Air issu du répertoire de ses oncles Fernand Thenaud et Alphonse Doublet. |
Marche nuptiale issue de l'avant-deux du quadrille "Un Souvenir" (inf.); En revenant des noces (enq.) | Cette marche nuptiale était également jouée par les oncles de René Doublet. D'après ses souvenirs, c’était l'air de l’avant-deux du quadrille “Un Souvenir”. En revenant des noces (enq.) : même air qu'aux items 3, 4, 29. Marche de noces issue du répertoire de ses oncles Fernand Thenaud et Alphonse Doublet. |
En revenant des noces (enq.) joué à deux violons | René et Émilien Doublet jouent ensemble. Émilien Doublet joue à l'octave grave, René Doublet joue à l'octave aiguë. Même air qu'aux items 3, 4, 28. |
A la pêche des moules (enq.) au violon | Émilien Doublet joue l’air de A la pêche aux moules |
A la pêche des moules (enq.) à l’accordéon | René Doublet reprend l'air à l'accordéon chromatique. Le carnet d'enquête de M. Pichonnet-Andral précise "accordéon chromatique italien". |
Les crécelles et le Vendredi Saint | Les cousins évoquent la coutume des crécelles pendant les frairies ainsi du Vendredi Saint pendant lequel il ne fallait pas toucher la terre. |
Le patois | René Doublet évoque son rapport au patois qu’il n’aime pas parler. Émilien quant à lui parle et aime cela. Il a déjà raconté des histoires en poitevin sur un disque. |
Le Bal Breton (inf.) au violon | René Doublet joue et indique qu’ils appelaient cet air “le Bal breton”, qui s’est ensuite appelé "L’Entrée de bal de Saintonge" (chanté à l’item suivant). René Doublet indique qu’ils appelaient cet air “le Bal breton”, qui s’est ensuite appelé "L’Entrée de bal de Saintonge". |
Le Bal Breton (inf.) chanté | René Doublet chante l’air qu’il vient de jouer et en explique les paroles. Il mentionne “La Boulangère”. René Doublet indique qu’ils appelaient cet air “le Bal breton”, qui s’est ensuite appelé "L’Entrée de bal de Saintonge". |
La Boulangère (inf.) à deux violons | René Doublet joue La Boulangère, son cousin Émilien Doublet se joint à lui. Cet air de Boulangère était celui de la cinquième figure d’un quadrille nommé “Février”. Cet air est chanté et décrit à l'item suivant |
La Boulangère (inf.) chanté ; Deux autres airs de Boulangères (fragment) | René Doublet chante l'air joué à l'item précédent, et joue d'autres airs au violon. René et Émilien Doublet donnent des informations sur ces airs et sur la chorégraphie de la Boulangère. Le premier air de Boulangère était celui de la cinquième figure d’un quadrille nommé “Février”. Cet air est joué aux violons à l’item précédent |
Polka (inf.) au violon | René Doublet joue une polka au violon et semble dire que le début n’est "pas ça". Il y a "peut-être 30 ans {qu’il n’a} pas joué ça". Le carnet d’enquête de M. Pichonnet-Andral indique “Polka que R. Doublet jouait toujours après le quadrille des lanciers”. |
Polka (inf.) à deux violons ; Informations sur les airs apportés au groupe folklorique Les Barguenas; Polka (inf.) au violon ; scottish (fragment) (inf.) fredonnée | Polka jouée à deux violons. René Doublet raconte ses apports au groupe folklorique des Barguenas. Émilien Doublet joue un air qui semble être une polka. René Doublet fredonne une scottish (extrait). |
Scottish (inf.) à deux violons | Scottish jouée à deux violons. Arrivée d’”un petit-fils”. Les deux cousins se préparent à jouer La Bobine, danse pour enfants, à l’accordéon chromatique (René Doublet) et au violon (Émilien Doublet). |
La Bobine (inf.) ; Information sur le répertoire de danses de bal | Les deux cousins jouent La Bobine, danse pour enfants, à l’accordéon chromatique (René Doublet) et au violon (Émilien Doublet). Ils énumère les danses qu'ils connaissaient avant le groupe folklorique. |
Fabrication des sifflets d'écorce | René Doublet explique la fabrication de sifflets en saule, frêne ou marronnier. Il évoque une formulette qu’il chante à l’item suivant Suite aux items 43 et 44 |
Formulette (inf.). Fabrication des sifflets d'écorce. Lieu de naissance de René Doublet | René Doublet énonce une formulette pour la fabrication de sifflets d’écorce et continue ses explications de fabrication. Suite de l'item 42 et il continue à l’item 44 |
Fabrication des sifflets d'écorce | René et Émilien Doublet finissent d’expliquer la fabrication de sifflets en écorce. Suite des items 42 et 43 |
Fabrication de pétoires, sur les charivaris, les noces et les musiciens | René Doublet explique la fabrication de pétoires. Sur demande des enquêtrices, il évoque la coutume du charivari : faire du bruit devant la porte de futur mariés dont l’un d’eux était veuf, jusqu’à ce que les parents paient à boire. Il parle également des musiciens devant les cortèges de noces. Il raconte des anecdotes. |
Carrière de musicien de René Doublet | René Doublet évoque sa carrière de musicien, au violon et à l’accordéon, avant et après la guerre. Un autre musicien lui a proposé de venir jouer dans un groupe. |
Un bal à l'École Normale (inf.); Compositions de Louis Martin | Jean-Jacques Doublet annonce et chante une chanson. Fin de l’item = début de l’enquête 0009 auprès de Louis Martin à Saint-Hippolyte (Les Roches). |
La bouteille de Quoi (inf.) | Louis Martin Clément chante sur l'air de "Au son du biniou" de Théodore Botrel. Ne chante pas toutes les paroles de sa chanson. Chanson composée de parlé et de chanté avec deux refrains et 4 couplets Début de l’item = fin de l’enquête 008 présent à l’item UPOI_ATP_0001_0008_047 |
Composition des chansons de Louis Martin | Louis Martin raconte la manière dont il écrit ses chansons pendant des périodes d’insomnies. |
Première chanson composée par Louis Martin | Louis Martin a composé sa première chanson vers 17-18 ans. Il raconte la manière dont elle lui est venue. Il évoque le lieu où il est né et la profession de ses parents maraîchers dans la culture d'artichauds. Il parle de la politique et des clans dans la commune. Suite à l’item suivant. |
Première chanson composée par Louis Martin (suite) | Louis Martin continue à expliquer la manière dont il a composé sa première chanson de cinq couplets. Il l’avait fait publier par un ami journaliste. Suite de l'information de Louis Martin, enregistrée sur l'item 003, sur la première chanson qu'il a composé à dix-sept ans. |
Chanson sur le Comité républicain (inf.) | Louis Martin chante quelques couplets de la première chanson qu’il a composée et donne des informations au sujet de celle-ci. Il évoque les parlers dans ses chansons ainsi qu’une autre de ses compositions "C'est moi qui suis son frère" que chantait son père (chantée sur l'item suivant de cette enquête). |
C'est moi qui suis son frère (inf.) chanté | Louis Martin interprète la chanson "C'est moi qui suis son frère". Il y a des parties parlées dans la chanson. Chanson chantée par son père |
Veillées et composition des chansons | Louis Martin évoque les veillées, qu’il n’aimait pas mais où il était obligé de participer pour casser les noix. Ses parents y chantaient. Il évoque le journal Le Subiet dans lequel il s’intéressait à la politique et apprenait des monologues en poitevin-saintongeais. Il traduisait parfois des chansons en poitevin. Louis Martin a été à l’école jusqu’à 13 ans et avait une grande facilité d’apprentissage. Il parle du journal et des publications. |
Les années de théâtre de Louis Martin | Louis Martin évoque ses années de théâtre après-guerre, avec les anciens combattants, pour acquérir des fonds pour la mutuelle. C’est pour cela que du monde le connaît. Il parle des représentations. Il en a fait par la suite avec l’instituteur, puis avec le curé. |
Chansons de Louis Martin publiées pour le théâtre et leur composition | Louis Martin évoque les chansons qu’il composait et faisait publier pour les pièces de théâtre dans lesquelles il jouait. Sur demande des informatrices, il parle de son processus d’écriture de chansons. |
Gravures sur obus exécutées pendant la guerre 1914-18. | Louis Martin n’a pas joué aux cartes pendant la guerre. Il a cependant gravé des douilles d’obus et des balles, des briquets, porte-plumes, timbales… |
Souvenirs de la guerre 1914-18. | Louis Martin n’a pas composé de chansons pendant la guerre 14-18. Il a été à Verdun et y est retourné il y a quelques années avec les anciens combattants. Il évoque deux chansons composées sur l’air de la Madelon. |
La Madelon (inf.) | L'informateur chante le premier couplet de la chanson La Madelon, ainsi que le refrain. |
Chanson composée sur l'air de "La Madelon". | Louis Martin a composé trois chansons sur l’air de la Madelon. L’une, un peu personnelle, pour inaugurer la batteuse de sa société de battage qu’il a été chanter au village d’à côté. Il l’a un peu modifiée par la suite pour la publier sur le journal Le Subiet. Il a composé la troisième il y a quelques années qu’il a également publiée. Louis Martin chante la chanson dont il est question dans l’item suivant. |
Encore un coup (inf.) | Louis Martin chante "Encore un coup" sur l'air de "La Madelon", chanson dont il a composé les paroles. Louis Martin explique le processus de composition de cette chanson dans l’item précédent. |
Les chansons patoises | Sur demande des informatrices, Louis Martin parle des autres chansons en poitevin composées par d’autres compositeurs avant lui et publiées sur le journal. Il parle de ces compositeurs de chansons et monologues en poitevin. |
La composition d’histoires | Louis Martin parle d’une collaboration avec une autre personne qui lui envoie une version d’histoire que, lui, développe par la suite. Il raconte une histoire qui est arrivée à cette femme. Il parle des histoires qu’il a pu écrire et publier, et la manière dont il les a écrites. |
Le volume des compositions | Sur demande des enquêtrices, Louis Martin évoque le volume de ses compositions, qui ont toutes été relevées par un M. Il a écrit moins d’histoires que de chansons car il a beaucoup chanté et aimait cela. Il écrivant des chansons comiques et des romances. Il écrivait sur des airs de chansons populaires qu’il savait déjà. Il y avait des marchands de chanson qu’il écoutait chanter quand il était jeune, dans les foires. |
Les chansons apprises dans les foires | Louis Martin évoque les différentes foires et des chansons qu’il a pu y apprendre. Il chante cette chanson dans l’item suivant. |
Il y a quelques temps dans la grande ville (inf.) | Louis Martin chante la chanson populaire dont il parlait précédemment, qu’il a apprise dans une foire, parlant d’un petit bonhomme qui va séduire une petite ouvrière. |
Musiciens qui ont inspiré Louis Martin | Louis Martin évoque un musicien de noces qu’il a connu, bon violoneux qui ne savait pas chanter mais était bon musicien. Il est mort jeune. C’est dans une noce que Louis Martin a commencé à chanter en publique. |
Airs joué par un violoneux de noces et des musiciens qui l’accompagnaient | Louis Martin évoque les marches, quadrilles et autres danses joués par ce musicien lors des noces. Il jouait parfois avec un piston et une clarinette. Il évoque des musiciens de sociétés folkloriques, qui jouaient de vieilles danses. Il fredonne un air de danse. Il a été enfant de chœur mais n’a pas utilisé de crécelles pour Pâques. |
Fabrication de rhombe | Louis Martin raconte la fabrication de rhombes, petit bout de planche que l’on faisait tourner au bout d’une ficelle pour faire du bruit. |
Fabrication des sifflets | Louis Martin évoque la fabrication de sifflets en branches de frênes |
Formulette pour fabriquer les sifflets (fragment) (enq.) | Formulette pour fabriquer les sifflets (essai) et information sur la femme de Louis Martin présente au moment de l'enquête. Ils évoquent aussi la fabrication d’autres instruments de musique à base de plantes : mirliton, sifflet,… |
Les jeux de garçons | Sur demande des enquêtrices, Louis Martin évoque les jeux de garçon, différents de ceux des filles : billes, mogettes de couleur,...rhombes. |
Fabrication d'un rhombe par Louis Martin | Sur demande des enquêtrices, Louis Martin fabrique un rhombe. |
Fabrication et essai du rhombe | Louis Martin parle du bois utilisé et de la manière de faire le son. On entend Louis Martin fabriquer le rhombe, après quoi il l’essaie et commente cet essai. |
O se savait partout à Trizay (inf.) | L'informateur chante sa chanson. Chanson Interrompue en fin de bobine. Chanson imprimée sur une feuille volante et que Louis Martin a composée après la dernière guerre |
Apprentissage et métier de musicien. | Ernest Peluchon témoigne. On entend également parler sa femme. |
Carrière de musicien de noces et de bals d’Ernest Peluchon | Ernest Peluchon témoigne. On entend également parler sa femme. |
Accordage du violon. | Ernest Peluchon accorde son violon |
Première figure de quadrille (inf.) au violon | Ernest Peluchon interprète la première figure du quadrille "Le favori des artistes" |
Troisième figure de quadrille (inf.) au violon | Ernest Peluchon interprète la troisième figure du même quadrille |
Valse (inf.) au violon | Ernest Peluchon interprète une valse au violon |
Marche nuptiale (in.) au violon et information sur l'arrêt la clarinette | Ernest Peluchon interprète une marche nuptiale et évoque son arrêt de son premier instrument, la clarinette. |
Scottish (inf.) au violon | Ernest Peluchon interprète une scottish au violon |
Polka de Longueteau (inf.) | Ernest Peluchon interprète la polka de Longueteau au violon, composée par un compositeur de La Rochelle |
Apprentissage de la chanson de "la coucoute" | L'informateur témoigne. On entend également témoigner sa femme. |
Marche nuptiale (inf.) au violon | Ernest Peluchon interprète une marche nuptiale au violon |
Marche nuptiale (inf.) au violon | L'informateur joue la marche nuptiale avec des erreurs L’informateur joue de nouvelle cette marche à l’item suivant. |
Marche nuptiale (inf.) au violon et information sur les quadrilles | L'informateur joue la même marche nuptiale que la précédente et témoigne au sujet des quadrilles |
Quadrille des lanciers, figure Les visites (inf.) | Ernest Peluchon interprète la figure Les visites du quadrille des lanciers |
Structure mélodique du quadrille | Ernest Peluchon parle du quadrille et de sa structuration mélodique |
Répertoire d’Ernest Peluchon et instrument qu’il joue | Ernest Peluchon évoque sa connaissance de son instrument et parle du violon sur lequel il joue. |
Valse (inf.) au violon | L'informateur joue la valse. On l'entend frapper des pieds. |
Valse (inf.) au violon et information sur cette valse | Ernest Peluchon interprète une valse et évoque son apprentissage de cette valse et de son répertoire en général. |
Musiciens de la région connus de Paul Passebon | Paul Passebon évoque des musiciens qu’il a connu |
Carrière de musicien de Paul Passebon | Paul Passebon évoque son apprentissage du violon, son professeur et des endroits où il a pu se produire. |
Apprentissage des airs et souvenir de marches de noces | Paul Passebon évoque des moments qu’il a vécus alors qu’il jouait pour des noces, seul ou non. |
Les sociétés de musique de la région | Paul Passebon évoque les différentes fanfares de son coin. |
Carrière de musicien et entrepreneur de parquet de Paul Passebon | Paul Passebon et sa femme témoignent à propos de leur activité d’entrepreneurs de parquets, des occasions de le monter, mais aussi des occasions de bal tout au long de l’année. Paul Passebon évoque la manière dont il a acquis ses violons. (suite de l'information enregistrée à l'item002) |
Déroulement des noces pour les musiciens et coutumes | Paul Passebon témoigne à propos des noces et de leur déroulement pour les musiciens ainsi que de quelques coutumes de noces. On entend sa femme parler. |
Rétribution des musiciens de bal | Paul Passebon témoigne à propos du tarif payé à un musicien, de son tivoli, ainsi que de son arrêt du violon. On entend sa femme parler. |
Accordage du violon. | Paul Passebon accorde son violon |
Marche nuptiale (inf.) (fragment) | Essai d'une marche de noce et accords du violon. |