Personne : Roy (M.)

Prénom
(M.)
Nom
Roy
Civilité(s)
Alias

Rôles

Informateur

Naissance

Date de naissance
Lieu de naissance
Marigny-Brizay

Décès

Date de décès
Lieu de décès
Biographie

M. Roy serait âgé de 81 ans au moment de sa première enquête par les Gens de Cherves en février 1974, dans le cadre de l'OSTOP de Vendeuvre.
C'est un ancien cultivateur.
Son grand-père était musicien.
Précision : il ne s'agit pas de Maximilien Roy.
Date de naissance partielle : XXX-11-08

URI

Contributions

Informateur

Item Description
�Éléments biographiques sur M. Roy M. Roy répond aux questions de l'enquêteur. Il est âgé de 81 ans, est né à Marigny-Brizay et est arrivé à Vieux, commune de Vendeuvre, lorsque son père a acheté là-bas. Il s'est ensuite marié et est venu vivre à Vendeuvre.
Les surnoms de personnes des environs, de certains dans sa famille et du nom de Villemalnommée M. Roy se souvient de surnoms. Dans sa famille, certains Roy étaient notamment surnommés Cadets. Il évoque aussi l'ancien surnom de Chabournay, Villemalnommée.
Parcours d'un musicien pour une noce à Marigny- Brizay M. Roy évoque un musicien (noté comme son grand-père dans le document d'analyse de P. Morin) et une noce que ce dernier a faite à Marigny-Brizay. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin : Le grand-père de monsieur Roy était musicien routinier : « - Pi arrivé à Mirebeau, à Marigny-Brizay pour jouer devant la mariée ! À pieds ! Et oui, avec son instrument. (voulant faire comprendre que tout ce chemin, il l’a fait à pied) - […] Dix heures ou dix heures et demi. (Il a fait 45 km à pied). - Ah bah il a pas dormi, il est arrivé là-bas, (à Marigny-Brizay, au mariage), on lui a donné son coup de Bordeaux et puis aller. (il a joué devant la mariée). »
Coutumes de la Saint-Jean M. Roy répond aux questions de l'enquêteur sur la Saint-Jean. Il se souvient que certaines personnes amenaient des branches de noyer et des noix et qu'ils jetaient une pierre dans le feu. Ensuite ils faisaient une ronde, mais il ne se rappelle pas si ils chantaient.
Farce : Imitation du cri du cochon M. Roy raconte une farce que faisait son frère (surnommé Néness) en imitant le grognement du cochon. Les gens pensaient que leur goret s'était enfuit alors ils le poursuivaient, ce qui pouvait durer longtemps. Un jour, le stratagème a été découvert par une dame. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin : Parce qu'il avait fait l'imitation du cochon, alors il fout l'camp (en continuant de faire le bruit du cochon il s’éloigne de la ferme). L'bonhomme se lève, (croyant entendre son cochon) il court après l'goret quoi !