Personne : Laroche Raoul

Prénom
Raoul
Nom
Laroche
Civilité(s)
Alias
Gustave

Rôles

Informateur

Naissance

Date de naissance
Lieu de naissance

Décès

Date de décès
Lieu de décès
Biographie

Raoul Séraphin Gustave Laroche est né en 1891. Musicien brancardier durant la guerre 1914-18, il épouse Olga Givelet en 1919. Ancien musicien, joueur de trombone, il lisait la musique et se démarquait des autres par la précision des thèmes musicaux qu’il exprimait en chantant. Il faisait danser lors de certaines soirées de fêtes communales comme le 14 juillet.
De nature réservée, les anecdotes de Raoul Larche étaient d'une grande précision, originaux et détaillés. Il a battu au fléau a quatre personnes mais a vu faire à huit.
M. Laroche avait des liens familiaux avec Mme Jenny Manteau
De 1972 à 1974, il a été rencontré que 7 ou 8 fois.

URI

Contributions

Informateur

Item Description
Battages : pose du bouquet sur le paillé M. Laroche raconte comment était posé le bouquet sur le paillé en fin de battage. Il explique le déroulement de la célébration.
Nout' journie eut be finie (enq.) L'enregistrement débute par un échange sur le paillé entre l'enquêteur et M. Laroche. Ensuite, ce dernier interprète la chanson Nout' journée eut bê finie. Il ralentit sur le neuvième couplet ainsi que sur le dernier. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin : Version complète, suite au document 49 b 2 (UPOI_GDC_0015_0002_003).
Le battage au clia M. Laroche évoque le battage au fléau (aussi appelé clia). Lorsque l'informateur propose d'interpréter la chanson La Guimbarde, il est interrompu et recentré sur le témoignage. L'informateur évoque également une épidémie de typhoïde ayant poussé les patrons à s'entraider face au départ des métiviers.
La fête des reliques à Saint-Jouin de Marnes M. Laroche raconte ses souvenirs sur la fête des reliques de Saint-Jouin-de-Marnes.
La légende de Saint-Jouin M. Laroche raconte la légende de Saint-Jouin de Marnes. Elle lui a été transmise par ses arrières grands-parents.
Quand i va tous noces (ou La guimbarde) (enq.) Au début de l'enregistrement, M. Laroche échange avec l'enquêteur pour savoir ce qui va être chanté. Raoul Laroche indique le contexte dans lequel étaient chantées les chansons. M. Laroche interprète la chanson Quand i va tou noces, aussi appelée La Guimbarde, présentant l'histoire d'une famille se rendant aux noces sur une calèche.
Quand i va tous noces (reprise) (enq.) M. Laroche interprète la chanson Quand i va tou noces, aussi appelée La Guimbarde, présentant l'histoire d'une famille se rendant aux noces sur une calèche. L'informateur, en chantant, prend deux voix différentes, une rattachée à la jeune femme (atténuée) et une à un jeune homme (plus forte) La répétition du dernier vers avec l'imitation de la voix féminine amuse les enquêteurs présents. Il est précisé par P. Morin dans le document d'analyse que la guimbarde était un véhicule à quatre roues. Cette chanson se chantait en couple, d'où la différenciation des voix faite par l'informateur.
Les gars de Sarboué : Limousine (enq.) L'enregistrement débute par une discussion inaudible jusqu'à ce que l'enquêteur fasse signe à M. Laroche de commencer. M. Laroche interprète la gavotte de limousine Les gars d'Sarbouè. L'enregistrement est interrompu avant la fin du deuxième couplet.
C'est la femme à Jean Brisquet (enq.) M. Laroche interprète le début de la gavotte de brisquet C'est la femme à Jean Brisquet. Il chante la première partie sur les paroles et la seconde sur des tralalas
Adieu Marie (conscrit) (enq.) M. Laroche commence à interpréter l'air Adieu Marie mais il s'interrompt et dit ne pas s'en souvenir. Il précise que c'était un air de conscrit.