Item : Les deux amoureux dans la danse III (Le jeune et le vieux) (Coi.) / Les deux amoureux (Le vieux et le jeune) (Laf.) ; Les coiffes
Général
- Titre
- Les deux amoureux dans la danse III (Le jeune et le vieux) (Coi.) / Les deux amoureux (Le vieux et le jeune) (Laf.) ; Les coiffes
- Autre(s) titre(s)
- Par ma foi j'aimerais mieux (enq.) (fragment) ; Les coiffes
- Traduction(s) titre(s)
- MA FOI J’AIMRAIS MIEUX
- Description
Mme Baudu chante un extrait d'une chanson à la marche Par ma foi j'aimerais mieux. Elle précise que cette chanson était chantée en marchant en revenant du bal.
Mme Baudu donne ensuite des informations sur les coiffes, le canion et la pantine, et sur leurs prix. Note du documentaliste : Il semble que deux items différents aient été assemblé.
Personnes
- Enquêteurs
- Pierre Morin
- en 1973-04 stage OSTOP de Verrue – Groupe de Pierre Morin Les Gens de Cherves
- Informateurs
- (Mme) Baudu
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0004_0037_002
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00008c piste 2 début - Item 2
Données techniques
- Durée estimée
- 00:01:23
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Témoignage, Chanson
- Genre(s) de la chanson
- Chanson traditionnelle
- Fonction(s)
- à marcher
- circonstance de noces
Texte/Paroles
- Refrain
Par ma foi j'aimerais mieux
Un jeune amoureux qu'un vieux
- Paroles
Légende :
Italique : dit par l'enquêteur·trice(s) et/ou ajouts/commentaires de l'analyste
Normal : dit par l'informateur·triceChanson
Ma mère me dit : — Prends les tous deux.
Prends le vieux pour sa fortune
Et prends le jeune pour ses beaux yeux.
Par ma foi j’aimrais mieux
Un jeune amoureux qu’un vieux.On chantait souvent ça en se rendant du bal, en marchant (on ne dansait pas).
Témoignage
— Le canion, c’était dans les Deux-Sèvres. On portait beaucoup le canion dans les Deux-Sèvres... les femm’s des Deux-Sèvres...
— Pourtant à Verrue, i nous on dit le canion !
— Nous, c’était la pantine, c’est ma fille qui l’a... Le canion est plus petit ! ?...
— Dans c’temps-là il avait coûté 50 francs, 50 francs ia 100 ans ! ...
(C’était une somme importante. D’après les salaires de domestique dont nous parle la famille Pelletier de Verrue, DOC. 32 a 8, cela représente 2 mois de salaire... Donc, tout le monde ne pouvait pas se payer une pantine, à la fin du 19ème siècle.)
- Coupe
- 9M-7F-8M
Voix/Instruments
- Organisation musicale
- Monodie
- Formation musicale
- Solo