Item : Relais et auberges dans les environs
Général
- Titre
- Relais et auberges dans les environs
- Description
Raymond Terrasson se souvient du fonctionnement des relais des environs, particulièrement celui d'Étables. Il est précisé dans le document d'analyse de P. Morin : « Les diligences, après y a eu le transport des postes, on les appelait des postiers, alors c’était des … (il dit un mot assez incompréhensible qui n’émeut pas Dominique).
Personnes
- Informateurs
- Raymond Terrasson
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0016_0001_006
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- K7 00017 (XVII) GDC piste 1 – Item 005
- Remarques concernant les données d'archivage
- Cote Cerdo : K7 GDC 00017 (XVII) _ Item 005
Données techniques
- Durée estimée
- 00:01:32
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Témoignage
Texte/Paroles
- Paroles
Légende :
Italique : dit par l'enquêteur·trice(s) et/ou ajouts/commentaires de l'analyste
Normal : dit par l'informateur·trice(s)— Les diligences, après y a eu le transport des postes, on les appelait des postiers, alors c’était des chevaux avec un harnachement spécial.
— Y avait des relais, là ?
— Oui, à Étables ! Et y en avait un à Neuville, là sur la grande place, le grand café, qui fait le coin-là. Mais tout ça, ça a changé, c'était un grand relais. C’était un hôtel où ils mettaient leurs chevaux, et pi leur voiture, ils couchaient là, ils prenaient pension pi ils couchaient là.
— C’était chez Renaud...
— Oui, oui, chez Renaud.
— C’était sur quel trajet ça : Poitiers-Paris ?
— Là, je vous le dirai pas.
— Poitiers Saumur ?
— Mais Poitiers c'était... Euh Neuville, c’était un genre de nœud. Mon avis, il pouvait diriger là beaucoup de... Aux alentours ! De directions ! Après j'vous dis, y en avait un à Étables que ça s’appelle. Un grand relais, là. Je ne me souviens pu qui c’est qui y habite maintenant. Y a Sabourin qui y habite en ce moment, pi après, je ne me souviens plus qui c’est qui est à côté. Mais enfin y avait de quoi, là-dedans pour mettre des chambres et pi de grandes écuries pour loger tous ces chevaux, parce que y avait un trafic qui se faisait comme ça à ce moment-là. Moi je ne l’ai jamais vu. C’est ce qu’on m’a dit.