Item : Puisque la reine des cieux (enq.)
Général
- Titre
- Puisque la reine des cieux (enq.)
- Description
Ambroisine Cramois interprète la chanson Puisque la reine des cieux, racontant le départ d'une jeune femme pour le couvent.
En arrière-plan, on entend des conversation. Chanson faisant partie de la rubrique 082 « Couvent » du catalogue de classification de la chanson francophone de Partice Coirault.
Personnes
- Enquêteurs
- Pierre Morin
- Informateurs
- Ambroisine Cramois
Indications géographiques et culturelles
- Lieux
- Montreuil-Bonnin
- Langues
- Français du Poitou
- Contexte d'enregistrement
- Enquête chez l'informateur
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0002_0030_002
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00003d piste 2 fin – Item 003
- Remarques concernant les données d'archivage
- Cote cerdo : DCC 00763_Item 003
Données techniques
- Durée estimée
- 00:02:34
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
- Genre(s) de la chanson
- Chanson traditionnelle
Texte/Paroles
- Paroles
Puisque la reine des cieux / Veut que je sois religieuse
Religieuse dans un couvent / Passer ma vie bienheureuse. (bis)Adieu, ma chère mère, adieu, / Dites adieu à votre fille
Vous ne la reverrez plus / Qu’au travers d’une grille. (bis)Adieu ma soeur Eulalie, / Ainsi que ma soeur Angélique,
Et tous mes autres frères / Je m’en vais au monastère. (bis)Couturières qui faites mes habits / Je n'vous avais point prévenues,
Vous faites mes derniers habits / Pour le reste de ma vie. (bis)Perruquier beau perruquier, / Vous qui frisiez ma tête blonde,
N’auriez-vous point de regret / De m’y voir quitter le monde ? (bis)Cocher qui conduisez les chevaux / Et la voiture de mon père.
Ah ! Conduis-les bien vite / Que j’arrive au monastère. (bis)Aussitôt que je fus entrée, / Que derrière moi on ferme la porte,
Et là je me suis écriée : / À mon secours, je suis morte ! (bis)
- Coupe
- 8M-8F-8M-8F
Voix/Instruments
- Organisation musicale
- Monodie
- Formation musicale
- Solo