Item : Mauvais traitements des domestiques dans de grosses fermes
Général
- Titre
- Mauvais traitements des domestiques dans de grosses fermes
- Traduction(s) titre(s)
- À propos de grosses fermes où les propriétaires maltraitaient les domestiques couchés dans l’écurie
- Description
Raymond Terrasson parle de la maltraitance de certains riches propriétaires envers leurs domestiques.
Personnes
- Informateurs
- Raymond Terrasson
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0016_0004_014
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- K7 00018 (XVIII) GDC piste 1 – Item 012
- Remarques concernant les données d'archivage
- Cote Cerdo : K7 GDC 00018 (XVIII) _ Item 012 ; L'item a bénéficié d'un découpage via Audacity afin de le séparer de l'item précédent (UPOI_GDC_0016_0004_014)
Données techniques
- Durée estimée
- 00:01:32
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Témoignage
Texte/Paroles
- Paroles
Légende :
Italique : dit par l'enquêteur·trice(s) et/ou ajouts/commentaires de l'analyste
Normal : dit par l'informateur·trice(s)— On a parlé des riches par rapport aux pauvres. On disait que les riches aidaient un peu les pauvres. Est-ce qu’il y avait d’autres occasions comme ça où les riches aidaient un peu ?
— Oh y avait réellement des mauvaises maisons par rapport à l’employé qu'ils avaient. On le mettait à coucher dans l’écurie avec les chevaux avec quatre piquets avec des bois, des planches tout le tour qui faisaient un bois de lit, une paillasse et pi une coite (//couette)... Il couchait là-dedans avec les trois chevaux. Bê vous savez, avec les toiles d’araignée en plus, c’était pas des plus recommandable pour la maison. [...] Dans certaines maisons, y avait que deux repas. Y en a qui mangeaient que le matin. Après quelques temps ils ont dit : C’est tout de même pas possible qu’on ai que ça à manger.
Y en avait un qu’avait oublié son mouchoir sur la table, alors i y est retourné, ça faisait l’occasion de retourner, pi il a vu que y avait autre chose à manger. C’était pas le même menu.
— Ah oui, il y avait eu deux repas, ils avaient fait manger avant.
— Y avait le repas pour les domestiques pi après copieux pour les maîtres. Comprenez-vous ? Alors, c’est pas une bonne indication, donc ce n’étaient pas des bonnes gens ceux-là.