Item : Lendemain de noces : la casse du pot
Général
- Titre
- Lendemain de noces : la casse du pot
- Description
Raymond Terrasson explique la coutume de faire casser le pot de chambre de la mariée par un enfant de la famille ou par la mariée elle-même.
Personnes
- Informateurs
- Raymond Terrasson
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0016_0004_002
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- K7 00018 (XVIII) GDC piste 1 – Item 002
- Remarques concernant les données d'archivage
- Cote Cerdo : K7 GDC 00018 (XVIII) _ Item 002 ; L'item a bénéficié d'un redécoupage via Audacity afin de le séparer de l'item suivant (UPOI_GDC_0016_0004_003)
Données techniques
- Durée estimée
- 00:00:54
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Témoignage
Texte/Paroles
- Paroles
Légende :
Italique : dit par l'enquêteur·trice(s) et/ou ajouts/commentaires de l'analyste
Normal : dit par l'informateur·trice(s)— Et le lendemain ?
— Le lendemain, on allait casser le pot. Comme ça s'appelait. On bandait les yeux à la mariée. Pi y avait un fil de tendu. On appelait ça Colin Maillart. Toute la jeunesse était là, on s’amusait quoi.
— Y avait que des jeux, quoi ?
— Ouais, c’était pour passer le temps. Après, ceux qu’étaient étrangers au pays étaient obligés de partir, mais ceux qu’étaient dans le pays même, ils faisaient ça.
— Mais la coutume pour casser le pot, là, c’était pour n’importe quel enfant de la famille ou c’était... ?
— Ouais ! C’était pour finir la noce, quoi. Mais pas dans toutes les maisons parce que ça ne se faisait pas partout.