Item : Puisque tu m’as dit (enq.)
Général
- Titre
- Puisque tu m’as dit (enq.)
- Description
Marie Couillault chante Puisque tu m’as dit qui relate les regrets d’un Français face à son amour pour une Italienne qui lui refuse le sien.
Personnes
- Enquêteurs
- Pierre Morin
- Informateurs
- Marie Couillault
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0005_0012_008
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00005c piste 2 début - Item 28
Données techniques
- Durée estimée
- 00:04:06
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
- Genre(s) de la chanson
- Chanson populaire
Texte/Paroles
- Paroles
Puisque tu m’as dit fière et jeune fille
L’âge et le pays de ton fiancé.
Puisque j’ai pour toi quitté ma famille
Et le toit rustique où je fus bercé.
Puisque je n’ai plus en toi l’espérance
De lier ma vie à la tienne un jour,
Adieu ! S’en est fait, je retourne en France
Pour voir si l’on peut oublier l’amour.Adieu ! Mets ta main dans la mienne
Et pour consoler ton erreur,
Souviens-toi, belle Italienne,
De ton ami le voyageur.Pourtant quand mon bras le soir à la danse
Enlaçait ta taille, il m’avait semblé
Que tes beaux yeux noirs dans leur nonchalance
Jetaient des regards par l’amour troublé.
Mais non, ta pensée était en voyage,
Et quand mon espoir riait au bonheur,
D’un autre que moi tu voyais l’image
Tu croyais sentir son coeur sur ton coeur.Adieu ! Mets ta main dans la mienne
Et pour consoler ton erreur,
Souviens-toi, belle Italienne,
De ton ami le voyageur.Tu n’as pas dit non, cependant coquette,
Quand je t’achetais de beaux anneaux d’or.
Toute fille est folle au mot de toilette
Rien qu’en y pensant tu souris_encore.
Tu disais en toi, je serai plus belle,
Il m’aimera mieux quand il reviendra.
Moi, j’étais heureux. Étais-tu cruelle
Car l’on peut mourir de ce bonheur là ?Adieu ! Mets ta main dans la mienne
Et pour consoler ton erreur,
Souviens-toi, belle Italienne,
De ton ami le voyageur.Ton dédain me rend, oui, à ma patrie
Je vais la revoir, c’est encore des pleurs.
Ainsi que mon cœur n’en emmène aussi
Les regrets ici, là-bas la douleur.
Laisse moi penser, les heures sont brèves,
Que tu garderas, c’est mon seul désir,
Le tableau naïf de nos plus doux rêves
Dans le médaillon de ton souvenir.Adieu ! Mets ta main dans la mienne
Et pour consoler ton erreur,
Souviens-toi, belle Italienne,
De ton ami le voyageur.
Voix/Instruments
- Organisation musicale
- Monodie
- Formation musicale
- Solo