Personne : Les Gens de Cherves 01 en 1971 à Cherves

Prénom
en 1971 à Cherves
Nom
Les Gens de Cherves 01
Civilité(s)
Alias

Rôles

Enquêteur

Naissance

Date de naissance
Lieu de naissance

Décès

Date de décès
Lieu de décès
Biographie

Groupe d'enquête de l’association des Gens de Cherves, dont la composition peut être variable d'une enquête à une autre. Il s'agit ici du groupe menant une enquête auprès d'un couple d'informateur·trice·s inconnu·e·s (dits Informateur 01, de Cherves et Informatrice 01, de Cherves).

URI

Contributions

Enquêteur

Item Description
La cause de mes malheurs (enq.) (Fragment) L'informateur interprète une partie d'un chant de conscription titré La cause de mes malheurs.
En revenant des noces ou À la claire fontaine (Coi.) / À la claire fontaine (Laf.) L'enregistrement débute sur un vers d'une chanson non titrée et s'interrompt rapidement. Ensuite, l'informatrice interprète ce qui peut être considéré comme un refrain par les propos du collecteur. Ce dernier dit : - Voilà, c'est ça. Vous ne vous souvenez pas des couplets ? L'informatrice lui répond par la négative et commence des explications qui ne sont pas enregistrées.
Mademoiselle Eugénie (enq.) (Fragment) L'informateur interprète la gavotte de danse Mademoiselle Eugénie.
Maître de la nature (doc.) L'informatrice interprète l'air Maître de la nature. Elle est rejointe sur le vers "Dieu tout puissant" par l'assemblée avant de continuer seule.
Nous partons pour Bordeaux (enq.) L'informateur interprète l'air Nous partons pour Bordeaux présentant un dialogue entre deux amants dont l'un part à Bordeaux. La jeune femme a peur qu'il l'oublie mais il lui assure qu'il ne l'oubliera pas et lui écrira des lettres. Il a une hésitation sur le deuxième vers, entre parisienne et bergère. Après avoir essayé de chanter le vers sur bergère il corrige en disant : Ol est bien parisienne. L'informatrice inconnue de Cherves, présente durant l'enquête, semble connaître également cette chanson. Les deux informateurs échangent sur le contenu de la chanson et se complètent aux moments de doute.