Item : L’infanticide qu’on s’apprête à pendre (Coi.) / La fille pendue et sa mère (Laf.)
Général
- Titre
- L’infanticide qu’on s’apprête à pendre (Coi.) / La fille pendue et sa mère (Laf.)
- Autre(s) titre(s)
- C'était la fille d'un lion d'or (inc.)
- Description
Olive Marche se souvient des chansons mais les contes c'est difficile. Elle commence à chantonner avec Stella Renouf. Olive Marche chante la chanson d'une jeune fille qui a joué de ses amours et a tué le bébé. Elle est en prison et sera soumise au bourreau.C’est défunt Gaslard/Gaspard? qui lui chantait cette chanson. Elle recherche le nom d'une autre chanson.
Personnes
- Enquêteurs
- Mark Cormier
- Informateurs
- Olive Marche
- Stella Renouf
Indications géographiques et culturelles
- Lieux
- Cap Saint-Georges
- Langues
- Français de Terre-Neuve
- Contexte d'enregistrement
- Enquête chez l'informateur
Données d'archivage
- Cote
- MFLA_COR_0001_0005_004
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- C3243-03C3243-04C3243-05
- Remarques concernant les données d'archivage
- - Document déposé au Centre scolaire et communautaire Sainte La Grand Terre, octobre 2010 par Ronald Labelle.- Inventaire par Steeve Ferron.
Données techniques
- Durée estimée
- 00:06:47
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
C'était la fille d'un "Liondor" (bis)
Elle a joué de ses amourettes |
Par trois marins de La Rochelle. | bisSa mère lui dit_et à tous les jours :
— Ma fille prend attention de ton enfant,
Un jour viendra il t'sauvera la vie.La belle y'a l'gamin elle attendi,
Oh elle l'a pris, l'a jeté,
Elle l'a noyé dans la rivière.
Oh elle l'a pris, l'a jeté,
Dans la rivière de La Rochelle.Le fils du roi qui l'avait vue,
Croise Tite la petite Marguerite :
— Oh j'irai avertir la justice.Le monde d'la justice avont v'nu.
Ils l'avont pris, ils l'avont menée
Dans les prisons de La Rochelle.Les trois marins y sont allés.
Ils sont allés pour cueillir la rose.
— Faites la moi voir votre prisonnière.— La prisonnière, tu la voira pas,
Viens demain matin dessus la palière,
Le bourreau s'ra en avant et l'arche derrière.Quant elle s'fut en haut sur s'echaffaud,
Regarde en avant, regarde en arrière,
Oh elle aperçoit sa tendre mère.— Maman, maman, n'avez pas de regrets,
D'avoir élevé une si jolie fille,
Et maintenant c'est d'la voir mourrir ?— Non, non ma fille j'n'ai pas de r'grets,
Toutes les jeunes filles qui faisont folie,
Y marie-t-on c'est de y être punie.Oui, oui ma fille, oui, j'ai des r'grets,
Oh je donn'ra Paris, Sainte Denis,
Oh ça s'rait pour avoir ta vie.
- Coupe
- 8/9M-8/9F-8/9F